Bonjour pouvez vous m'aidez pour ce devoir de français s'il vous plait . . Merci 1. Identifier le défaut/ caractère mis en avant 2. Observer la manière dont il est critiqué par humour? exagération? les différents procédés employés. Voici le texte ci-dessous: Le Tartuffe Ah ! si vous aviez vu comme j’en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l’amitié que je montre. Chaque jour à l’église il venait, d’un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attirait les yeux de l’assemblée entière Par l’ardeur dont au ciel il poussait sa prière ; Il faisait des soupirs, de grands élancements, Et baisait humblement la terre à tous moments : Et, lorsque je sortais, il me devançait vite Pour m’aller, à la porte, offrir de l’eau bénite. Instruit par son garçon, qui dans tout l’imitait, Et de son indigence, et de ce qu’il était, Je lui faisais des dons ; mais, avec modestie, Il me voulait toujours en rendre une partie. C’est trop, me disait-il, c’est trop de la moitié. Je ne mérite pas de vous faire pitié. Et, quand je refusais de le vouloir reprendre, Aux pauvres, à mes yeux, il allait le répandre. Enfin le ciel chez moi me le fit retirer, Et depuis ce temps-là tout semble y prospérer. Je vois qu’il reprend tout, et qu’à ma femme même Il prend, pour mon honneur, un intérêt extrême ; Il m’avertit des gens qui lui font les yeux doux, Et plus que moi six fois il s’en montre jaloux. Mais vous ne croiriez point jusqu’où monte son zèle : Il s’impute à péché la moindre bagatelle ; Un rien presque suffit pour le scandaliser, Jusque-là qu’il se vint l’autre jour accuser D’avoir pris une puce en faisant sa prière, Et de l’avoir tuée avec trop de colère.
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Bonjour pouvez vous m'aidez pour ce devoir de français s'il vous plait . . Merci 1. Identifier le défaut/ caractère mis en avant 2. Observer la manière dont il est critiqué par humour? exagération? les différents procédés employés. Voici le texte ci-dessous: Le Tartuffe Ah ! si vous aviez vu comme j’en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l’amitié que je montre. Chaque jour à l’église il venait, d’un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attirait les yeux de l’assemblée entière Par l’ardeur dont au ciel il poussait sa prière ; Il faisait des soupirs, de grands élancements, Et baisait humblement la terre à tous moments : Et, lorsque je sortais, il me devançait vite Pour m’aller, à la porte, offrir de l’eau bénite. Instruit par son garçon, qui dans tout l’imitait, Et de son indigence, et de ce qu’il était, Je lui faisais des dons ; mais, avec modestie, Il me voulait toujours en rendre une partie. C’est trop, me disait-il, c’est trop de la moitié. Je ne mérite pas de vous faire pitié. Et, quand je refusais de le vouloir reprendre, Aux pauvres, à mes yeux, il allait le répandre. Enfin le ciel chez moi me le fit retirer, Et depuis ce temps-là tout semble y prospérer. Je vois qu’il reprend tout, et qu’à ma femme même Il prend, pour mon honneur, un intérêt extrême ; Il m’avertit des gens qui lui font les yeux doux, Et plus que moi six fois il s’en montre jaloux. Mais vous ne croiriez point jusqu’où monte son zèle : Il s’impute à péché la moindre bagatelle ; Un rien presque suffit pour le scandaliser, Jusque-là qu’il se vint l’autre jour accuser D’avoir pris une puce en faisant sa prière, Et de l’avoir tuée avec trop de colère.
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Bonjour pouvez vous m'aidez pour ce devoir de français s'il vous plait . . Merci 1. Identifier le défaut/ caractère mis en avant 2. Observer la manière dont il est critiqué par humour? exagération? les différents procédés employés. Voici le texte ci-dessous: Le Tartuffe Ah ! si vous aviez vu comme j’en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l’amitié que je montre. Chaque jour à l’église il venait, d’un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il attirait les yeux de l’assemblée entière Par l’ardeur dont au ciel il poussait sa prière ; Il faisait des soupirs, de grands élancements, Et baisait humblement la terre à tous moments : Et, lorsque je sortais, il me devançait vite Pour m’aller, à la porte, offrir de l’eau bénite. Instruit par son garçon, qui dans tout l’imitait, Et de son indigence, et de ce qu’il était, Je lui faisais des dons ; mais, avec modestie, Il me voulait toujours en rendre une partie. C’est trop, me disait-il, c’est trop de la moitié. Je ne mérite pas de vous faire pitié. Et, quand je refusais de le vouloir reprendre, Aux pauvres, à mes yeux, il allait le répandre. Enfin le ciel chez moi me le fit retirer, Et depuis ce temps-là tout semble y prospérer. Je vois qu’il reprend tout, et qu’à ma femme même Il prend, pour mon honneur, un intérêt extrême ; Il m’avertit des gens qui lui font les yeux doux, Et plus que moi six fois il s’en montre jaloux. Mais vous ne croiriez point jusqu’où monte son zèle : Il s’impute à péché la moindre bagatelle ; Un rien presque suffit pour le scandaliser, Jusque-là qu’il se vint l’autre jour accuser D’avoir pris une puce en faisant sa prière, Et de l’avoir tuée avec trop de colère.
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