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pameloux11
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pameloux11
January 2021 | 1 Respostas
pour ce texte donner le titre l'auteur et le genre ,De quoi parle t il ques-ce que j'ai compris en quoi est ce un discours « Je voudrais sans la nommer Vous parler d'elle Comme d'une bien aimée, D'une infidèle, Une fille bien vivante Qui se réveille À des lendemains qui chantent Sous le soleil. C'est elle que l'on matraque, Que l'on poursuit, que l'on traque, C'est elle qui se soulève, Qui souffre et se met en grève. C'est elle qu'on emprisonne, Qu'on trahit, qu'on abandonne, Qui nous donne envie de vivre, Qui donne envie de la suivre Jusqu'au bout, jusqu'au bout. Je voudrais sans la nommer Lui rendre hommage : Jolie fleur du mois de mai Ou fruit sauvage, Une plante bien plantée Sur ses deux jambes Et qui traîne en liberté Où bon lui semble. Je voudrais sans la nommer Vous parler d'elle : Bien-aimée ou mal-aimée, Elle est fidèle ; Et si vous voulez Que je vous la présente, On l'appelle Révolution permanent
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pameloux11
January 2021 | 2 Respostas
Bonjour a tous je suis en 4 eme Pour chaque texte donner le titre l'auteur et le genre de quoi parle t il qu’est ce que j'ai compris en quoi est ce un discours . TEXTE ( 4 ) Il fut terrible, jamais il n'avait parlé si violemment. D'un bras, il maintenait le vieux Bonnemort, il l'étalait comme un drapeau de misère et de deuil, criant vengeance. En phrases rapides, il remontait au premier Maheu, il montrait toute cette famille usée à la mine, mangée par la Compagnie, plus affamée après cent ans de travail ; et, devant elle, il mettait ensuite les ventres de la Régie, qui suaient l'argent, toute la bande des actionnaires entretenus comme des filles depuis un siècle, à ne rien faire, à jouir de leur corps. N'était-ce pas effroyable ? un peuple d'hommes crevant au fond de père en fils, pour qu'on paie des pots-de-vin à des ministres, pour que des générations de grands seigneurs et de bourgeois donnent des fêtes ou s'engraissent au coin de leur feu ! Il avait étudié les maladies des mineurs, il les faisait défiler toutes, avec des détails effrayants : l'anémie, les scrofules, la bronchite noire, l'asthme qui étouffe, les rhumatismes qui paralysent. Ces misérables, on les jetait en pâture aux machines, on les parquait ainsi que du bétail dans les corons, les grandes Compagnies les absorbaient peu à peu, réglementant l'esclavage, menaçant d'enrégimenter tous les travailleurs d'une nation, des millions de bras, pour la fortune d'un millier de paresseux. Mais le mineur n'était plus l'ignorant, la brute écrasée dans les entrailles du sol. Une armée poussait des profondeurs des fosses, une moisson de citoyens dont la semence germait et ferait éclater la terre, un jour de grand soleil. Et l'on saurait alors si, après quarante années de service, on oserait offrir cent cinquante francs de pension à un vieillard de soixante ans, crachant de la houille, les jambes enflées par l'eau des tailles. Oui ! le travail demanderait des comptes au capital, à ce dieu impersonnel, inconnu de l'ouvrier, accroupi quelque part, dans le mystère de son tabernacle, d'où il suçait la vie des meurt-de-faim qui le nourrissaient ! On irait là-bas, on finirait bien par lui voir sa face aux clartés des incendies, on le noierait sous le sang, ce pourceau immonde, cette idole monstrueuse, gorgée de chair humaine ! Germinal - Emile Zola - Extrait de la quatrième partie, chapitre 7
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pameloux11
January 2021 | 1 Respostas
pour chaque texte donner le titre l'auteur et le genre de quoi parle t il qu’est ce que j'ai compris en quoi est ce un discours . TEXTE ( 1 ) Il se dressa tout droit, debout, les cheveux au vent, les mains sur les hanches, l’œil fixé sur les gardes nationaux qui tiraient, et il chanta : On est laid à Nanterre, C’est la faute à Voltaire ; Et bête à Palaiseau, C’est la faute à Rousseau. Puis il ramassa son panier, y remit, sans en perdre une seule, les cartouches qui en étaient tombées, et, avançant vers la fusillade, alla dépouiller une autre giberne (2). Là une quatrième balle le manqua encore. Gavroche chanta : Je ne suis pas notaire, C’est la faute à Voltaire ; Je suis petit oiseau, C’est la faute à Rousseau. Une cinquième balle ne réussit qu’à tirer de lui un troisième couplet : Joie est mon caractère, C’est la faute à Voltaire ; Misère est mon trousseau, C’est la faute à Rousseau. Cela continua ainsi quelque temps. Le spectacle était épouvantable et charmant. Gavroche, fusillé, taquinait la fusillade. Il avait l’air de s’amuser beaucoup. C’était le moineau becquetant les chasseurs. Il répondait à chaque décharge par un couplet. On le visait sans cesse, on le manquait toujours. Les gardes nationaux et les soldats riaient en l’ajustant . Il se couchait, puis se redressait, s’effaçait dans un coin de porte, puis bondissait, disparaissait, reparaissait, se sauvait, revenait, ripostait à la mitraille par des pieds de nez, et cependant pillait les cartouches, vidait les gibernes et remplissait son panier. Les insurgés (4), haletants d’anxiété, le suivaient des yeux. La barricade tremblait ; lui, il chantait. Ce n’était pas un enfant, ce n’était pas un homme ; c’était un étrange gamin fée. On eût dit le nain invulnérable de la mêlée. Les balles couraient après lui, il était plus leste qu’elles. Il jouait on ne sait quel effrayant jeu de cache-cache avec la mort ; chaque fois que la face camarde (5) du spectre s’approchait, le gamin lui donnait une pichenette. Une balle pourtant, mieux ajustée ou plus traître que les autres, finit par atteindre l’enfant feu follet (6). On vit Gavroche chanceler, puis il s’affaissa. Toute la barricade poussa un cri ; mais il y avait de l’Antée (7) dans ce pygmée (8) ; pour le gamin toucher le pavé, c’est comme pour le géant toucher la terre ; Gavroche n’était tombé que pour se redresser ; il resta assis sur son séant (9), un long filet de sang rayait son visage, il éleva ses deux bras en l’air, regarda du côté d’où était venu le coup, et se mit à chanter. Je suis tombé par terre, C’est la faute à Voltaire, Le nez dans le ruisseau, C’est la faute à… Il n’acheva point. Une seconde balle du même tireur l’arrêta court. Cette fois il s’abattit la face contre le pavé, et ne remua plus. Cette petite grande âme venait de s’envoler. voila merci d'avance
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pameloux11
January 2021 | 1 Respostas
Bonjour alors voila c'est un livre du guy de maupassant enfin c'est une nouvelle. le lecteur sait il si il prend parti pour tel ou tel perssonnage ? Y a t'il des indices ou des commentaires de sa part qui vous permettent de répondre ? desoler j'ai pas les textes
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pameloux11
January 2021 | 1 Respostas
Bonjour alors voila ma question (nouvelle aux Champs) le narrateur est-il un personnage de l'histoire ? Justifier
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