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Lycée

Bonjour, j'ai besoin d'aide pour faire mes travaux de math pouvez-vous m'aider?je vous remercie en avance. consigne: développer et réduire les expressions suivantes: a. 8 + 2 x ( y - 3 ) b.5y(2y -6) c. (-4 - 3y) x 2 d.-3 (4 - y2) e.10y - 3 (4y - 7) + 9 f. (4y2 - 3)x 2 + 4y g.2n + (n - 5) h.8k - (5k + 6)x 2 i.27 - (-8 - 2y) j.10m + 2 + (-m - 7) k.(-3t + 2) - t
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Quel est le périmètre d'un rectangle de dimensions 83m et 217m?
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quel est, en dm, le périmètre d'un triangle 'équilatéral de côté 7cm?
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bonjour g des problemes avec mes devoirs de math et je viens vous demandez si vous pouvez m'aider à les faire.Je vous remercie deja.le travail est:en tapant 147:19 sur une calculatrice, on obtient:7,736842105pour chacun des nombres ici-dessous, dire s'il est, pour 147/19 , une troncature, un arrondi, les deux ou l'un ni l'autre. pr+esicer le cas echéant, *a quel rang.a. 7b. 8c. 7,73d. 7,8e. 7,7f. 7,7368g. 7,737h. 7,74
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BONJOUR A TOUS, pouvez-vous m'aider avec ça s'il vous plait: Exercice 1: a. Relevez les phrases comportant un verbe transitif et soulignez le complément d’objet. b. Relevez les phrases comportant un verbe intransitif. A. Les enfants construisent un château de sable. B. Elles travaillent. C. Son père est le maire du village. D. l’avion a atterri. E. Nous avons bien compris son expose. F. Tu chantes. G. Vous avez inventé toute cette histoire. H. Nous lisons. I. Nous aimons aller au cinéma. J. Ou dormez-vous ? K. Nous marchons. L. Pourquoi attends-tu ? M. Elles attendent le bus. N. Elles dansent. O. Tu ne me comprends pas. Exercice 2 : Classez les verbes de ces phrases en deux colonnes : transitifs directs ou transitifs indirects. A. J’aime ce tableau. B. Elle répète son rôle. C. Nous avons téléphone à grand-mère. D. Elle se souviendra longtemps de ce jour. E. Je n’ai pas écouté la réponse. F. Elle pense à toi. G. Je ne lui ai pas parlé. H. J’apprécie ce livre. I. J’espère partir vite. J. Ce petit chien n’obéit qu’à son maitre. K. Les enfants participeront au marathon. L. Je l’ai vue tous les jours. M. Où avez-vous trouve cette idée ?
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bonjour, pouvez vous me aider j'ai besoin de trouver les mot qui apartienne au champ lexical de ville dans ces trois textes mais je n'arrive pas. les trois textes: Texte 1 : extrait, Le Père Goriot, H. de Balzac, 1834 Un jeune provincial, Eugène de Rastignac, monte à Paris pour faire des études de droit. Le jour tombait, un humide crépuscule agaçait les nerfs, il regarda la tombe et y ensevelit sa dernière larme de jeune homme, cette larme arrachée par les saintes émotions d'un cœur pur, une de ces larmes qui, de la terre où elles tombent, rejaillissent jusque dans les cieux. Il se croisa les bras, contempla les nuages, et, le voyant ainsi, Christophe le quitta. Rastignac, resté seul, fit quelques pas vers le haut du cimetière et vit Paris tortueusement couché le long des deux rives de la Seine où commençaient à briller les lumières. Ses yeux s'attachèrent presque avidement entre la colonne de la place Vendôme et le dôme des Invalides, là où vivait ce beau monde dans lequel il avait voulu pénétrer. Il lança sur cette ruche bourdonnante un regard qui semblait par avance en pomper le miel, et dit ces mots grandioses : « A nous deux maintenant ! » Le Père Goriot, H. de Balzac, 1834. Texte 2 : extrait, Au Bonheur des Dames, E. Zola, 1883 Alors, Denise eut la sensation d’une machine, fonctionnant à haute pression, et dont le branle aurait gagné jusqu’aux étalages. Ce n’étaient plus les vitrines froides de la matinée ; maintenant, elles paraissaient comme chauffées et vibrantes de la trépidation intérieure. Du monde les regardait, des femmes arrêtées s’écrasaient devant les glaces, toute une foule brutale de convoitise. Et les étoffes vivaient, dans cette passion du trottoir : les dentelles avaient un frisson, retombaient et cachaient les profondeurs du magasin, d’un air troublant de mystère ; les pièces de drap elles-mêmes, épaisses et carrées, respiraient, soufflaient une haleine tentatrice ; tandis que les paletots se cambraient davantage sur les mannequins qui prenaient une âme, et que le grand manteau de velours se gonflait, souple et tiède, comme sur des épaules de chair, avec les battements de la gorge et le frémissement des reins. Au bonheur des Dames, E. Zola, 1883 Texte 3: extrait, Bel-Ami, G. de Maupassant, 1885 Il tourna vers la Madeleine et suivit le flot de foule qui coulait accablée par la chaleur. Les grands cafés, plein de monde, débordaient sur le trottoir, étalant leur public de buveurs sous la lumière éclatante et crue de leur devanture illuminée. Devant eux, sur de petites tables carrées ou rondes, les verres contenaient des liquides rouges, jaunes, verts, bruns, de toutes les nuances ; et dans l’intérieur des carafes, on voyait briller les gros cylindres transparents de glace qui refroidissaient la belle eau claire. Duroy avait ralenti sa marche et l’envie de boire lui séchait la gorge. Une soif chaude, une soif de soir d’été le tenait, et il pensait à la sensation délicieuse des boissons froides coulant dans la bouche. Mais s’il buvait seulement deux bocks dans la soirée, adieu le maigre souper du lendemain, et il les connaissait trop les heures affamées de la fin du mois.
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