Bonjour Pourriez-vous m’aider pour mon DM de SVT svp. Ça fait trois jours que je suis bloqué, et je n’arrive pas à répondre à une seule des questions. Le texte : Lorsqu'un obstacle se présente sur la route, un automobiliste à jeun met une seconde avant de freiner. C'est le temps de réaction nécessaire à la transmission des messages nerveux. A 50 km/h, il parcourt 14m pendant ce temps de réaction, puis 15m pour que la voiture s'arrête (distance de freinage): sa distance d'arrêt est donc de 29m. A 50 km/h mais avec 0.5 g d'alcool par litre de sang (après ingestion d'environ 2 verres de vin), l'automobiliste parcourt 21m avant de freiner, puis 15m pour que la voiture s'arrête : sa distance d'arrêt est donc de 36m. Les questions : 1. Que signifie l'expression à jeun dans le cadre de l'exercice? : / 1.5 pts 2. Comment appelle-t-on la quantité d'alcool présent dans le sang d'une personne ? / 0.5 pt 3. Quelle est l'unité (sans utiliser d'abréviation) pour mesurer l'alcool dans le / 1pt sang ? : 4. A partir de quelle alcoolémie, une personne peut-elle tomber dans un coma / 1 pt éthylique? : 5. A partir de quelle alcoolémie, une personne peut-elle mourir ? / 0.5 pt 6. Quel est le niveau autorisé d'alcoolémie au volant en France? : / 1 pt 7. L'alcoolémie d'une personne est-elle forcément de 0.5g/l après deux verres de vins? Justifiez votre réponse : / 1.5 pts / 1pt 8. Quel est le temps de réaction d'une personne à jeun ? : 9. Quelle distance parcourt une personne à jeun avant que la voiture ne s'arrête? : / 1pt 10. Quelle distance parcourt une personne alcoolisée avant que la voiture ne s'arrête? : .... / 1pt 11. Une personne ayant consommé 2 verres de vin parcourt mètres de qu'une personne à jeun. / 1pt 12. Complétez le schéma ci-dessous qui résume, pour l'automobiliste à jeun, le trajet du message nerveux entre le moment où il voit l'obstacle et celui où il appui sur la pédale de frein. / 5 pts 13. Combien de temps supplémentaire met une personne alcoolisée (0.5g/L) pour s'arrêter. Vous donnerez une explication à votre réponse. : 14. Indiquez une conséquence possible d'une augmentation de la distance d'arrêt / 2 pts
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Bonjour, Je dois répondre à ces questions sur la nouvelle " La parure " de Guy de maussapant mais je n'y arrive pas. Pourriez-vous m'aider s'il vous plaît, Merci d'avance à ceux qui prendront la peine d'essayer. Questions : a) Qui est le personnage principal ? b) Quelle est sa situation sociale ? Justifie ta réponse. c) Ce personnage est-il pauvre ? Justifie ta réponse. d) Relève le champ lexical de la souffrance dans le texte. Pourquoi ce personnage est-il malheureux ? e) Relève deux anaphores* différentes dans le texte, entre les lignes 9 et 26. Qu’opposentelles ? *Rappel : nous avons vu la définition d’anaphore dans le premier chapitre, lors de l’étude du poème de Victor Hugo « Puisque j’ai mis ma lèvre… » f) Ce début de récit te fait-il penser à un conte merveilleux ? Justifie ta réponse. Le texte en question : La parure C’était une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d’employés. Elle n’avait pas de dot1 , pas d’espérances2 , aucun moyen d’être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué ; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l’Instruction publique. 5 Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée ; car les femmes n’ont point de caste3 ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille. Leur finesse native, leur instinct d’élégance, leur souplesse d’esprit sont leur seule hiérarchie, et font des filles du peuple les égales des plus grandes dames. Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes. Elle 10 souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l’usure des sièges, de la laideur des étoffes. Toutes ces choses, dont une autre femme de sa caste ne se serait même pas aperçue, la torturaient et l’indignaient. La vue de la petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait en elle des regrets désolés et des rêves éperdus. Elle songeait aux antichambres4 nettes, capitonnées5 avec des tentures orientales, éclairées par de hautes torchères6 15 de bronze, et aux deux grands valets en culotte courte qui dorment dans les larges fauteuils, assoupis par la chaleur lourde du calorifère. Elle songeait aux grands salons vêtus de soie ancienne, aux meubles fins portant des bibelots inestimables, et aux petits salons coquets parfumés, faits pour la causerie de cinq heures avec les amis les plus intimes, les hommes connus et recherchés dont toutes les femmes envient et désirent l’attention. 20 Quand elle s’asseyait, pour dîner, devant la table ronde couverte d’une nappe de trois jours, en face de son mari qui découvrait la soupière en déclarant d’un air enchanté : « Ah ! le bon pot-au-feu ! je ne sais rien de meilleur que cela », elle songeait aux dîners fins, aux argenteries reluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d’oiseaux étranges au milieu d’une forêt de féerie ; elle songeait aux plats exquis servis en des vaisselles 25 merveilleuses, aux galanteries chuchotées et écoutées avec un sourire de sphinx, tout en mangeant la chair rose d’une truite ou des ailes de gélinotte. Elle n’avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien. Et elle n’aimait que cela ; elle se sentait faite pour cela. Elle eût tant désiré plaire, être enviée, être séduisante et recherchée. Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu’elle ne voulait plus aller voir, tant 30 elle souffrait en revenant. Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, de désespoir et de détresse.
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