@plume18

plume18

Novice

Bonjour ! Y aurait-il quelqu'un qui aurait les lectures linéaires suivantes bien rédigées s'il vous plaît c'est pour le bac de français, j'en ai vraiment besoin : Mme de Lafayette, La princesse de Clèves - Les portraits de Cour (de "le duc de Nevers dont la vie était..." à "dans tous les lieux où il paraissait") - Le portrait de Mlle de Chartres ("Il parut alors une beauté à la Cour" à "pleins de grâce et de charmes") - La scène du bal ("Elle passa tout le jour des fiançailles" à "connaissez sans l'avoir jamais vue") -La scène d'aveu et d'adieu entre le duc de Nemours et la princesse ("Par vanité ou par goût" à "dont un coeur ait jamais été touché") Victor Hugo, les Contemplations - Le poète s'en va Baudelaire, Les fleurs du mal -Une charogne (tout le poème si possible) La Fontaine, Les Fables -Le chat, la belette et le petit lapin -Le songe d'un habitant du mogol -Le loup et les bergers -Les deux coqs Je vous en serais très reconnaissante en vous remerciant par avance !
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Bonjour, j'aurais besoin de votre aide. Voilà je suis en train de faire mes fiches de révisions pour le bac de français et le soucis c'est que j'ai appris qu'il fallait aussi un plan pour l'oral. Le problème c'est que nous n'avons fait que des plans de commentaire en cours, et étant donné qu'il faut que notre analyse suive le déroulement du texte, je ne vois pas du tout comment faire mon plan. Serait-il possible de m'aider à trouver un plan pour mon premier texte afin de me montrer la démarche svp ? Voici mon texte, extrait de la princesse de Clèves Le duc de Nevers, dont la vie était glorieuse par la guerre et par les grands emplois qu'il avait eus, quoique dans un âge un peu avancé, faisait les délices de la cour. Il avait trois fils parfaitement bien faits : le second, qu'on appelait le prince de Clèves, était digne de soutenir la gloire de son nom ; il était brave et magnifique, et il avait une prudence qui ne se trouve guère avec la jeunesse. Le vidame de Chartres, descendu de cette ancienne maison de Vendôme, dont les princes du sang n'ont point dédaigné de porter le nom, était également distingué dans la guerre et dans la galanterie. Il était beau, de bonne mine, vaillant, hardi, libéral ; toutes ces bonnes qualités étaient vives et éclatantes ; enfin, il était seul digne d'être comparé au duc de Nemours, si quelqu'un lui eût pu être comparable. Mais ce prince était un chef-d’œuvre de la nature ; ce qu'il avait de moins admirable était d'être l'homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions, que l'on n'a jamais vu qu'à lui seul ; il avait un enjouement qui plaisait également aux hommes et aux femmes, une adresse extraordinaire dans tous ses exercices, une manière de s'habiller qui était toujours suivie de tout le monde, sans pouvoir être imitée, et enfin, un air dans toute sa personne, qui faisait qu'on ne pouvait regarder que lui dans tous les lieux où il paraissait.
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Bonjour ! Seriez-vous en mesure de m'expliquer pourquoi les poètes utilisent-ils des vers libres s'il vous plaît ? J'ai un commentaire de texte à faire sur le texte "Orphée innombrable" de Jean Gionno et j'aimerais bien développer cette idée sauf que je ne sais pas comment.
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Bonjour ! J'aurais besoin de votre aide J'ai un commentaire composé à faire sur le texte de Jean Mambrino : "Orphée innombrable". J'ai commencé à analyser le texte, le soucis c'est que je n'arrive pas à dégager de plan avec parties et sous-parties. Serait-il possible de m'aider s'il vous plaît ? Voici le texte : Orphée innombrable Parle. Ouvre cet espace sans violence. Élargis le cercle, la mouvance qui t’entoure de floraisons. Établis la distance entre les visages, fais danser les distances du monde, entre les maisons, les regards, les étoiles. Propage l’harmonie, arrange les rapports, distribue le silence qui proportionne la pensée au désir, le rêve à la vision. Parle au-dedans vers le dehors, au-dehors, vers l’intime. Possède l’immensité du royaume que tu te donnes. Habite l’invisible où tu circules à l’aise. Où tous enfin te voient. Dilate les limites de l’instant, la tessiture de la voix qui monte et descend l’échelle du sens, puisant son souffle aux bords de l’inouï. Lance, efface, emporte, allège, assure, adore. Vis. Mes grandes idées sont : - Ce texte parle de la figure du poète qui est reflétée à travers la figure d'Orphée. - Ce texte évoque la fragilité de la vie qui est donc une incitation à profiter de la vie tant qu'il en est encore temps, ce que n'a pu faire Orphée qui a perdu sa femme le jour de leur mariage.
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