Bonjour qui pourrais m'aider à traduire ça en anglais ? j'en ai besoin rapidement :/ merci beaucoup :) je donne 19 points +5 pour la meilleur réponse :) le texte: fini ! le héros était rentré dans le rêve d'une de ces amis. Le décors était très étrange car il était sombre et sans vis - Je dois découvrir se qu'elle a En effet depuis quelque temps cette personne ( je te laisse la liberté du sexe du personnage ^^) était très distant alors que se n'était pas dans son habitude. Il explora se monde de ténèbres et de tristesse dans l'espoir de trouvé la cause. Il entra dans un temple. Il était immense mais on aurai dit qu'il était abandonné. Des plantes poussaient sur les murs, ils allaient même peut être s'effondre. Il arriva alors dans la salle principale. Sur le sol était représenté un cercle magique. Au centre se trouvait son pire ennemi ( le prénom je te laisse le choix ^^) -Je t 'attendais ( le prénom de ton héros) * rigole * j'espère que tu es prêt pour notre combat final ! * sort son arme* bat toi si tu es un homme ! le héros en question sortit son arme il était prêt à attaque * -Qu'es que tu fais dans le rêve de mon ami ?! - Oh...Il ( ou elle) ne t'a pas explique ? Comme ces dommage ! Il l'attaque avec son arme mais notre héros réussie éviter le coup et à contre attaqué mais sa contre attaque n'a servis à rien. Il avait réussi à l'éviter -Dit moi se que tu fais la ! -Oh c'est simple ! Je suis ton ami ! L'homme rigola. Son rire était machiavélique. Il regarda le héros. Il était désemparé, choqué de la révélation. Il fonça sur lui pour l'attaqué. Bien sur le méchant ( le prénom du perso) répliqua. Le combat dura longtemps. Aucun des deux n'arrivait à prendre l'avantage. Ils étaient à boude de souffle. Le méchant ( toujours le prénom) rigola encore une fois - pauvre fou ! Tu crois pouvoir me battre ? Nous somme dans mon territoire je te rappelle je peux tout contrôle ! Les lianes qui avait poussés sur les murs commencèrent à bouger pendant que le méchant . Les lianes emprisonnèrent le héros. Le méchant s'approcha alors de lui -Alors qu'es que tu vas faire maintenant ? Notre héros esseya tant bien que mal de se libéré de l'emprise des lianes. Sans sucés. Il n'y avait plus aucun espoirs alors que le méchant pointa le héros avec son armes. Alors que le héros allait accepté sa mort imminente son ami rentra dans la salle principale. _( le noms du héros) ne t'inquiète pas je suis venu t'aider ! -( je pense qu'on pourrai donné un nom différent pour l'ami même si le méchant c'est lui)si tu le tues tu meurs aussi ! -Je suis prêt(e) à courir le risque L'ami de notre héros fonça sur son pire ennemie un épée à la main. Il l'enfonça profondément dans l'abdomen du méchant. Il cracha alors du sang en se tenant l'abdomen. Le temple commence à tremblé. Il allait s'effondre -Tu es vraiment idiot(e) ! Tu vas crevé toi aussi ! Il (ou elle) ne fis pas attention à la remarque de son double et se mit aussi à cracher du sang. Il (ou elle) se retourna vers son ami Dépêche toi sinon tu vas toi aussi mourir ! M...Mais... ( nom du héros) Sort d'ici et vite ! Il (ou elle) lui adressa un dernier sourire avant que notre héros quitte son reve. Il était en larmes. Il avait perdu son ami(e) le plus chère
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Je donne 19 points à celui qui répond à ces questions :) Il avait tourné les talons en m’accompagnant jusqu’au châlit de Maurice Halbwachs. — Dein Herr Professor, avait-il chuchoté, kommt heute noch durch’s Kamin ! J’avais pris la main de Halbwachs qui n’avait pas eu la force d’ouvrir les yeux. J’avais senti seulement une réponse de ses doigts, une pression légère : message presque imperceptible. Le professeur Maurice Halbwachs était parvenu à la limite des résistances humaines. Il se vidait lentement de sa substance, arrivé au stade ultime de la dysenterie qui l’emportait dans la puanteur. Un peu plus tard, alors que je lui racontais n’importe quoi, simplement pour qu’il entende le son d’une voix amie, il a soudain ouvert les yeux. La détresse immonde, la honte de son corps en déliquescence y étaient lisibles. Mais aussi une flamme de dignité, d’humanité vaincue mais inentamée. La lueur immortelle d’un regard qui constate l’approche de la mort, qui sait à quoi s’en tenir, qui en a fait le tour, qui en mesure face à face les risques et les enjeux, librement : souverainement. Alors, dans une panique soudaine, ignorant si je puis invoquer quelque Dieu pour accompagner Maurice Halbwachs, conscient de la nécessité d’une prière, pourtant, la gorge serrée, je dis à haute voix, essayant de maîtriser celle-ci, de la timbrer comme il faut, quelques vers de Baudelaire. C’est la seule chose qui me vienne à l’esprit. Ô mort, vieux capitaine, il est temps, levons l’ancre… Le regard de Halbwachs devient moins flou, semble s’étonner. Je continue de réciter. Quand j’arrive à … nos cœurs que tu connais sont remplis de rayons, un mince frémissement s’esquisse sur les lèvres de Maurice Halbwachs. Il sourit, mourant, son regard sur moi, fraternel. questions: L'expérience des limites: 1) Par quels termes la perte de dignité physique du malade est-elle décrite ? Qu'est-ce qui vient contredire cette "déliquescence" ? 2) Quel rôle le narrateur veut-il jouer auprès du mourant ? Y semble-t-il préparé ? L'expérience de la fraternité: 3) Indiquez quels langages sont employés par les deux hommes pour communiquer. Quel est le rôle de leurs mains ? 4)Observez précisément les détails indiquant les réactions du mourant. Comment l'antithèse entre leur fragilité et leur grandeur spirituelle est-elle exprimée ? L'expérience de la dignité humaine: 5) Où et comment le mourant manifeste-t-il le plus fortement sa dignité ? 6) Commentez le rythme des phrase L12 à L16 :"Mais aussi une flamme [...] souverainement." en vous aidant de leur structure syntaxique et en relevant les mots isolés mis en valeur. Que suggère ainsi Semprun ? 7) Qu'est-ce qu'un "tombeau" en littérature ? En opposant le propos de Semprun à celui du Kapo qui ouvre le texte, pouvez-vous dire que ce passage est un tombeau pour M.Halbwachs ?
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