Pouvez vous m aider a faire un résumé de français svp merci . L’histoire se passer dans un désert avec un homme qui marchait depuis longtemps. Il devait se rendre à un endroit il était à 5h de cet endroit mais il avait pas trouvé d’eau. Depuis la veille. Tout était sec. Il a trouvé une fontaine mais elle était sèche, il avait cru voir une silhouette au fond cru que c’était, un tronc d’arbres, mais un berger avec une centaine de moutons posé près de lui. Le berger passé un peu d’eau au monsieur avec sa gourde. Le berger tirait son eau dans un trou naturel très profond. Cet homme ne parlait pas beaucoup. Il vivait pas dans une cabane, mais dans une maison en pierre, sa maison était solide est propre. Il mangeait ensemble avec l’accord de passer une nuit chez lui. Le monsieur le proposait de fumer un peu de sa pipe, mais le berger lui répondis Je ne fume pas après ce repas le berger sorti un sac de gland qu’il commençait à trier. Mettez les bons avec les bons. Mets-moi un peu avec les bon et les glands bon et ils allèrent se coucher, le lendemain, le berger j’ai pris le sac de bon gland et trempe dans un peu d’eau, puis il laisse les moutons avec le chien et demande au monsieur de l’accompagner en haut de la colline. Le berger Creusat, un trou avec sa tringle de fer émis en gland, referma le trou. Il peut les chaînes et planter son gland et recommencer . Le berger dit quand tout, il a planté 100 000 gland depuis trois ans, et que il n’y avait que 20 milles qui était sorti et dit son nom il s’appelait Elizeart bouffer. Après cela, il se séparera le lendemain, en 1 an après il y avait la guerre ou le monsieur était dans l’armée, le monsieur décida de lui rendre visite après la guerre, en espérant qu’il n’était pas mort Elizeart n’était pas mort, mais avait changé de métier. Il était apiculteur, et il avait quatre moutons et une belle forêt de chien qui avait 10 ans. Maintenant il y avait un ruisseau avec de l’eau. Le monsieur n’a plus fait un an sans voir Elizeart . Un jour, l’État voulu mettre la forêt sous les gardes de l’État, mais ils n’ont pas pris la décision et ont décidé de ne rien faire. Le monsieur avait dit le secret à un autre monsieur de l’armée et il allait prendre un casse-croûte à trois, la deuxième guerre éclata et les soldats couper les arbres de la forêt maintenant au village, tout le monde se parlait en étant joyeux, mais en 1947 Elizeart Est mort, paisiblement à l’hospice Banon .
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Pouvez vous m aider a faire un résumé en français s il vous plait merci. Pour que le caractère d’un être humain dévoile des qualités vraiment exceptionnelles, il faut avoir la bonne fortune de pouvoir observer son action pen- dant de longues années. Si cette action est dépouillée de tout égoïsme, si l’idée qui la dirige est d’une gé- nérosité sans exemple, s’il est absolument certain qu’elle n’a cherché de récompense nulle part et qu’au surplus elle ait laissé sur le monde des marques vi- sibles, on est alors, sans risque d’erreurs, devant un caractère inoubliable. Il y a environ une quarantaine d’années, je faisais une longue course à pied, sur des hauteurs absolu- ment inconnues des touristes, dans cette très vieille région des Alpes qui pénètre en Provence. Cette région est délimitée au sud-est et au sud par le cours moyen de la Durance, entre Sisteron et Mira- beau ; au nord par le cours supérieur de la Drôme, de- puis sa source jusqu’à Die ; à l’ouest par les plaines du Comtat Venaissin et les contreforts du Mont-Ventoux. Elle comprend toute la partie nord du département des Basses-Alpes, le sud de la Drôme et une petite en- clave du Vaucluse. C’était, au moment où j’entrepris ma longue pro- menade dans ces déserts, des landes nues et mono- tones, vers 1200 à 1300 mètres d’altitude. Il n’y pous- sait que des lavandes sauvages. Je traversais ce pays dans sa plus grande largeur et, après trois jours de marche, je me trouvais dans une désolation sans exemple. Je campais à côté d’un squelette de village abandonné. Je n’avais plus d’eau depuis la veille et il me fallait en trouver. Ces maisons agglomérées, quoique en ruine, comme un vieux nid de guêpes, me firent penser qu’il avait dû y avoir là, dans le temps, une fontaine ou un puit. Il y avait bien une fontaine, mais sèche. Les cinq à six maisons, sans toiture, rongées de vent et de pluie, la petite chapelle au clocher écroulé, étaient rangées comme le sont les maisons et les chapelles dans les villages vivants, mais toute vie avait disparu. C’était un beau jour de juin avec grand soleil, mais sur ces terres sans abri et hautes dans le ciel, le vent soufflait avec une brutalité insupportable. Ses gron- dements dans les carcasses des maisons étaient ceux d’un fauve dérangé dans son repas. Il me fallut lever le camp. A cinq heures de marche de là, je n’avais toujours pas trouvé d’eau et rien ne pouvait me donner l’espoir d’en trouver. C’était partout la même sécheresse, les mêmes herbes li- gneuses. Il me sembla apercevoir dans le lointain une petite silhouette noire, debout. Je la pris pour le tronc d’un arbre solitaire. A tout hasard, je me dirigeai vers elle. C’était un berger. Une trentaine de moutons cou- chés sur la terre brûlante se reposaient près de lui. Il me fit boire à sa gourde et, un peu plus tard, il me conduisit à sa bergerie, dans une ondulation du plateau. Il tirait son eau - excellente - d’un trou natu- rel, très profond, au-dessus duquel il avait installé un treuil rudimentaire. Cet homme parlait peu. C’est le fait des solitaires, mais on le sentait sûr de lui et confiant dans cette assurance. C’était insolite dans ce pays dépouillé de tout. Il n’habitait pas une cabane mais une vraie mai- son en pierre où l’on voyait très bien comment son travail personnel avait rapiécé la ruine qu’il avait trouvé là à son arrivée. Son toit était solide et étanche. Le vent qui le frappait faisait sur les tuiles le bruit de la mer sur les plages. Son ménage était en ordre, sa vaisselle lavée, son parquet balayé, son fusil graissé ; sa soupe bouillait sur le feu. Je remarquai alors qu’il était aussi rasé de frais, que tous ses boutons étaient solidement cou- sus, que ses vêtements étaient reprisés avec le soin minutieux qui rend les reprises invisibles. Il me fit partager sa soupe et, comme après je lui of- frais ma blague à tabac, il me dit qu’il ne fumait pas. Son chien, silencieux comme lui, était bienveillant sans bassesse. Il avait été entendu tout de suite que je passerais la nuit là ; le village le plus proche était encore à plus d’une journée et demie de marche. Et, au surplus, je connaissais parfaitement le caractère des rares vil- lages de cette région. Il y en a quatre ou cinq disper- sés loin les uns des autres sur les flancs de ces hau- teurs, dans les taillis de chênes blancs à la toute extré- mité des routes carrossables. Ils sont habités par des bûcherons qui font du charbon de bois. Ce sont des endroits où l’on vit mal. Les familles serrées les unes contre les autres dans ce climat qui est d’une rudesse excessive, aussi bien l’été que l’hiver, exaspèrent leur égoïsme en vase clos. L’ambition irraisonnée s’y dé- mesure, dans le désir continu de s’échapper de cet endroit.
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Pouvez vous m aider a faire un résumé s il vos plait merci. Histoire se passer dans une ville nommée Wood’stown Qui avait une immense forêt au bord d’un beau fleuve. Mais un jour, comme les autres, le gouvernement de Washington ont eu le droit de couper la forêt pour faire une très belle ville de bois, les bûcherons et les charpentiers se sont mis Tout de suite au travail avec des haches et Grosse haches Déracina les arbres et les couper bientôt presque plus de forêt et comme si cela ne suffisait pas la neige, s’ abattis sur la ville . Quelques jours plus tard, une nouvelle ville belle est propre, déjà habitée par les plâtres, Un jour, un orage violent que nous sent même sur nos pieds, Le seul commençait à s’agiter dans chaque maison. Tout ce qui était fait en bois, fenêtre, porte etc. plus rien ne marchait. Les plâtres. Disaient que c’était de l’humidité de plus en plus tous Ce qui était fait de bois, commencer à avoir une teinte verte comme de la moisissure, légèrement comme une dentelle. Mais, Avant le soir, Des bouquets de verdure S’épanouissaient Partout sur les meubles, Sur les murailles. Les bras grandissaient à vue d’œil, on les sentait grandir et débattre comme des ailes . Le tous les appartements avaient l’air de serres , Liane, suivez les rampes d’escalier, La ville bruyant, l’ombre des avenues forestiers. Les gens sortaient dehors, pour constater les dégâts. Tout le monde était stupéfait par cette étrange évènement. Bien évidemment, l’ancienne forêt voulait reconquérir sa place à côté du fleuve. Du coup les humains se battaient contre les racines même avec beaucoup d’espoir et des haches Les racines ont gagné la bataille et l’ancienne forêt redonna vie à la nouvelle forêt. Toujours près du fleuve. Les humains ne sont plus à les couper, les arbres, et tout le monde furent heureux jusqu’au fond des temps.
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