Mathilde Loisel, belle, jeune et femme au foyer, mariée à un à un petit employé du ministère de l'instruction public.Un soir, alors que son mari rentrait comme chaque soir du travail, il proposa à son épouse de se rendre en sa compagnie à une fête organisée par le ministère.Mathilde ayant le désir de se mettre en avant, décide d'emprunter une parure de diamant à son amie riche Madame Forestier.La soirée se déroule à merveille, Mathilde est belle, et attire l'attention sur elle. Mais c'est de retour chez elle que sa vie est celle de son mari va basculer. Elle s'aperçoit que la parure n'est plus accroché autour de son cou. Elle décida alors d'en racheter une à son amie ne voulant pas lui avouer la vérité. Elle s'endetta alors de près de 36 000 francs. Pendant près de 10 ans, le couple vécu dans la misère et dans l'obligation d'effectuer des travaux souvent délicats en vue de rembourser l'énorme près. Un beau jour, Mathilde croisa son amie et décida enfin de lui avouer la vérité, celle ci répondit :
« Oh ! ma pauvre Mathilde ! Mais la mienne était fausse. Elle valait au plus cinq cents francs !... »
Mathilde Loisel, après avoir appris la terrible vérité, se sentit soudain prise d’un vertige. Elle ne pouvait croire qu’elle avait sacrifié dix ans de sa vie pour une parure fausse, qu’elle avait enduré tant de misère et de souffrance pour rien. Elle se mit à pleurer, puis à rire nerveusement, comme si elle venait de comprendre une mauvaise plaisanterie. Madame Forestier, qui la regardait avec stupeur, crut qu’elle était devenue folle.
Mais, Mathilde, calmez-vous ! lui dit-elle. Ce n’est pas si grave, après tout. Vous avez fait une erreur, c’est tout. Vous pouvez encore vous rattraper.
Me rattraper ? Comment ? s’écria Mathilde. Vous ne voyez donc pas que je suis ruinée, que je n’ai plus rien, que je suis vieille et laide ? Vous ne voyez donc pas que j’ai gâché ma vie pour un rêve ?
Allons, allons, ne dramatisez pas ! reprit Madame Forestier. Vous avez encore votre mari, qui vous aime. Vous avez encore des amis, qui vous soutiendront. Vous avez encore de l’espoir, qui vous fera vivre.
De l’espoir ? Quel espoir ? Celui de retrouver un jour la parure que j’ai perdue ? Celui de vous rendre un jour les 36 000 francs que je vous dois ? Celui de redevenir un jour la belle Mathilde que j’étais ?
Non, non, pas cela ! dit Madame Forestier. Laissez tomber cette parure, elle ne vaut rien. Laissez tomber cette dette, je vous la pardonne. Laissez tomber cette beauté, elle n’est pas essentielle. L’espoir dont je vous parle, c’est celui de trouver le bonheur dans ce que vous avez, et non dans ce que vous n’avez pas.
Mathilde Loisel secoua la tête. Elle ne comprenait pas les paroles de son amie. Elle ne voyait pas comment elle pourrait être heureuse dans sa situation actuelle. Elle ne voyait pas comment elle pourrait oublier sa faute et ses regrets. Elle ne voyait pas comment elle pourrait accepter son sort et se résigner.
Elle se leva brusquement et dit à Madame Forestier :
Adieu, Jeanne. Je ne veux plus jamais vous revoir. Vous êtes trop différente de moi. Vous avez tout ce que je n’ai pas. Vous êtes tout ce que je ne suis pas.
Et elle s’enfuit en courant, laissant son amie stupéfaite et attristée.
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Mathilde Loisel, belle, jeune et femme au foyer, mariée à un à un petit employé du ministère de l'instruction public.Un soir, alors que son mari rentrait comme chaque soir du travail, il proposa à son épouse de se rendre en sa compagnie à une fête organisée par le ministère.Mathilde ayant le désir de se mettre en avant, décide d'emprunter une parure de diamant à son amie riche Madame Forestier.La soirée se déroule à merveille, Mathilde est belle, et attire l'attention sur elle. Mais c'est de retour chez elle que sa vie est celle de son mari va basculer. Elle s'aperçoit que la parure n'est plus accroché autour de son cou. Elle décida alors d'en racheter une à son amie ne voulant pas lui avouer la vérité. Elle s'endetta alors de près de 36 000 francs. Pendant près de 10 ans, le couple vécu dans la misère et dans l'obligation d'effectuer des travaux souvent délicats en vue de rembourser l'énorme près. Un beau jour, Mathilde croisa son amie et décida enfin de lui avouer la vérité, celle ci répondit :
« Oh ! ma pauvre Mathilde ! Mais la mienne était fausse. Elle valait au plus cinq cents francs !... »
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Mathilde Loisel, après avoir appris la terrible vérité, se sentit soudain prise d’un vertige. Elle ne pouvait croire qu’elle avait sacrifié dix ans de sa vie pour une parure fausse, qu’elle avait enduré tant de misère et de souffrance pour rien. Elle se mit à pleurer, puis à rire nerveusement, comme si elle venait de comprendre une mauvaise plaisanterie. Madame Forestier, qui la regardait avec stupeur, crut qu’elle était devenue folle.
Mais, Mathilde, calmez-vous ! lui dit-elle. Ce n’est pas si grave, après tout. Vous avez fait une erreur, c’est tout. Vous pouvez encore vous rattraper.
Me rattraper ? Comment ? s’écria Mathilde. Vous ne voyez donc pas que je suis ruinée, que je n’ai plus rien, que je suis vieille et laide ? Vous ne voyez donc pas que j’ai gâché ma vie pour un rêve ?
Allons, allons, ne dramatisez pas ! reprit Madame Forestier. Vous avez encore votre mari, qui vous aime. Vous avez encore des amis, qui vous soutiendront. Vous avez encore de l’espoir, qui vous fera vivre.
De l’espoir ? Quel espoir ? Celui de retrouver un jour la parure que j’ai perdue ? Celui de vous rendre un jour les 36 000 francs que je vous dois ? Celui de redevenir un jour la belle Mathilde que j’étais ?
Non, non, pas cela ! dit Madame Forestier. Laissez tomber cette parure, elle ne vaut rien. Laissez tomber cette dette, je vous la pardonne. Laissez tomber cette beauté, elle n’est pas essentielle. L’espoir dont je vous parle, c’est celui de trouver le bonheur dans ce que vous avez, et non dans ce que vous n’avez pas.
Mathilde Loisel secoua la tête. Elle ne comprenait pas les paroles de son amie. Elle ne voyait pas comment elle pourrait être heureuse dans sa situation actuelle. Elle ne voyait pas comment elle pourrait oublier sa faute et ses regrets. Elle ne voyait pas comment elle pourrait accepter son sort et se résigner.
Elle se leva brusquement et dit à Madame Forestier :
Adieu, Jeanne. Je ne veux plus jamais vous revoir. Vous êtes trop différente de moi. Vous avez tout ce que je n’ai pas. Vous êtes tout ce que je ne suis pas.
Et elle s’enfuit en courant, laissant son amie stupéfaite et attristée.
Voilà pour toi j'ai eu 19/20 avec ça !