Repérez, dans les extraits suivants les comparaisons, les personnifications et les répétitions : 1. Le gros tas d'arbres avait l'air d'un tombeau où ma maison était ensevelie. 2. Mes pauvres genoux vibraient comme des cymbales. 3. Et voilà que j'aperçus tout à coup, sur le seuil de ma porte, un fauteuil mon grand fauteuil de lecture, qui sortait en se dandinant. Je tressaillis. 4. La porte, au moment où je l'ouvris, poussa un cri plaintif de vieille femme égorgée. 5. Toutes les chaises du salon se mirent à danser comme des démentes. 6. Et j'avançai, perclus, agonisant d'émotion, mais j'avançai, car je suis brave, j'avançai comme un chevalier des époques ténébreuses pénétrait en un séjour de sortilèges. 7. Il n'y avait personne dans cette demeure vaste et tortueuse comme un labyrinthe. 8. Ah ! Mon cœur, mon pauvre coeur, il battait comme mille tambours ! 9. Pas de lune! Quelle nuit ! J'avais peur, une peur affreuse dans ces étroits sentiers, entre deux lignes de tombes ! Des tombes ! Des tombes ! Des tombes ! Toujours des tombes! A droite, à gauche, devant moi, autour de moi, partout, des tombes ! D. Cette femme ressemblait à une araignée qui tissait une gigantesque toile dans quelle elle comptait m'attirer. svp c pour demain❤❤
Réponse : les comparaisons,les personnifications et les répétitions :
1. Le gros tas d'arbres avait l'air d'un tombeau où ma maison était ensevelie.
2. Mes pauvres genoux vibraient comme des cymbales.
3. Et voilà que j'aperçus tout à coup, sur le seuil de ma porte, un fauteuil mon grand fauteuil de lecture, qui sortait en se dandinant. Je tressaillis. 4. La porte, au moment où je l'ouvris, poussa un cri plaintif de vieille femme égorgée.
5. Toutes les chaises du salon se mirent à danser comme des démentes. 6. Et j'avançai, perclus, agonisant d'émotion, mais j'avançai, car je suis brave, j'avançai comme un chevalier des époques ténébreuses pénétrait en un séjour de sortilèges.
7. Il n'y avait personne dans cette demeure vaste et tortueuse comme un labyrinthe.
8. Ah ! Mon cœur, mon pauvre coeur, il battait comme mille tambours !
9. Pas de lune! Quelle nuit ! J'avais peur, une peur affreuse dans ces étroits sentiers, entre deux lignes de tombes ! Des tombes ! Des tombes ! Des tombes ! Toujours des tombes! A droite, à gauche, devant moi, autour de moi, partout, des tombes !
10. Cette femme ressemblait à une araignée qui tissait une gigantesque toile dans quelle elle comptait m'attirer.
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Réponse : les comparaisons, les personnifications et les répétitions :
1. Le gros tas d'arbres avait l'air d'un tombeau où ma maison était ensevelie.
2. Mes pauvres genoux vibraient comme des cymbales.
3. Et voilà que j'aperçus tout à coup, sur le seuil de ma porte, un fauteuil mon grand fauteuil de lecture, qui sortait en se dandinant. Je tressaillis. 4. La porte, au moment où je l'ouvris, poussa un cri plaintif de vieille femme égorgée.
5. Toutes les chaises du salon se mirent à danser comme des démentes. 6. Et j'avançai, perclus, agonisant d'émotion, mais j'avançai, car je suis brave, j'avançai comme un chevalier des époques ténébreuses pénétrait en un séjour de sortilèges.
7. Il n'y avait personne dans cette demeure vaste et tortueuse comme un labyrinthe.
8. Ah ! Mon cœur, mon pauvre coeur, il battait comme mille tambours !
9. Pas de lune! Quelle nuit ! J'avais peur, une peur affreuse dans ces étroits sentiers, entre deux lignes de tombes ! Des tombes ! Des tombes ! Des tombes ! Toujours des tombes! A droite, à gauche, devant moi, autour de moi, partout, des tombes !
10. Cette femme ressemblait à une araignée qui tissait une gigantesque toile dans quelle elle comptait m'attirer.