Salut, j'ai une rédaction à rendre et je voudrais que quelqu’un me corrige, pas seulement les fautes d’orthographe mais aussi la syntaxe.
Voici le sujet : Un soldat hospitalisé écrit à sa famille et se plaint de la façon dont il est traité ; il utilise le registre satirique pour décrire les infirmières et leur comportement.
Voici ma rédaction :
27 février 1916, Metz
Ma chère Elise,
J’ai été blessé lors d’une offensive à Verdun. Un éclat d’obus m’a touché tout le long du bras. Le médecin (un ancien forgeron) a ordonné l’amputation de tout mon bras, jusqu’à l’épaule. Je ne puis arrêter de me morfondre sur mon sort : jamais plus je ne pourrai te serrer dans mes bras, jamais plus je ne pourrai porter Edward et le faire tourner comme il aime tant. Que va-t-il dire lorsqu’il me verra sans bras ? Mon propre fils aura peur de moi ! Si tu me voyais, tu fuirais à toutes jambes ! Je suis méconnaissable : mon visage est défiguré par les cicatrices, des cernes énormes sous les yeux par manque de sommeil, me manquant un bras, etc. Malgré tout, je voudrai tant être près de toi. Ici, les infirmières sont toutes vieilles et laides à regarder, aucune d’entre elles ne t’arrivent à la cheville. Elles sont froides et indifférentes à notre souffrance. Elles se dépêchent de faire leur travail, en le bâclant, et partent. Les autres soldats passent leur temps à discuter et rigoler, comme si tout allait bien. Je suis épuisé et il m’est impossible de dormir dans cette infirmerie. Mon voyage de Verdun pour arriver à l’hôpital de Metz était horrible et j’en fais encore des cauchemars. L’ambulancier, un ancien boulanger, adore les sensations fortes. Il prit toutes les routes pleines de bosses, nous faisant tanguer de nos brancards tachés de sang. Ensuite il nous demanda comment nous avions trouvé le voyage, nous répondîmes ‘’Fantastique’’. Tout ça pour dire que tu me manques ma chérie. Je voudrai tellement être avec toi dans ces moments difficiles.
J’ai été blessé lors d’une offensive à Verdun. Un éclat d’obus m’a touché en plein bras. Le médecin qui était un ancien forgeron a ordonné l’amputation de mon bras, au niveau de l’épaule. Je ne puis arrêter de me morfondre sur mon sort : jamais plus je ne pourrai te serrer dans mes bras, jamais plus je ne pourrai porter Edward et le faire tourner comme il aime tant. Que va-t-il dire lorsqu’il me verra sans bras ? Mon propre fils aura peur de moi ! Si tu me voyais, tu fuirais à toutes jambes ! Je suis méconnaissable : mon visage est défiguré par les cicatrices, j’ai des cernes énormes sous les yeux par manque de sommeil et il me manque un bras. Malgré tout, je voudrais tant être près de toi. Ici, les infirmières sont toutes vieilles et laides à regarder, aucune d’entre n’est aussi belle que toi. Elles sont froides et indifférentes à notre souffrance. Elles se dépêchent de faire leur travail, en le bâclant puis partent. Les autres soldats passent leur temps à discuter et rigoler, comme si tout allait bien. Je suis épuisé et il m’est impossible de dormir dans cette infirmerie. Mon voyage de Verdun pour arriver à l’hôpital de Metz était horrible et j’en fais encore des cauchemars. L’ambulancier, un ancien boulanger, adore les sensations fortes. Il prit toutes les routes pleines de bosses, nous faisant tanguer de nos brancards tâchés de sang. Ensuite il nous demanda comment nous avions trouvé le voyage, nous répondîmes ‘’Fantastique’’. Tout ça pour dire que tu me manques ma chérie. Je voudrais tellement être avec toi dans ces moments difficiles.
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J’ai été blessé lors d’une offensive à Verdun. Un éclat d’obus m’a touché en plein bras. Le médecin qui était un ancien forgeron a ordonné l’amputation de mon bras, au niveau de l’épaule. Je ne puis arrêter de me morfondre sur mon sort : jamais plus je ne pourrai te serrer dans mes bras, jamais plus je ne pourrai porter Edward et le faire tourner comme il aime tant. Que va-t-il dire lorsqu’il me verra sans bras ? Mon propre fils aura peur de moi !
Si tu me voyais, tu fuirais à toutes jambes ! Je suis méconnaissable : mon visage est défiguré par les cicatrices, j’ai des cernes énormes sous les yeux par manque de sommeil et il me manque un bras.
Malgré tout, je voudrais tant être près de toi. Ici, les infirmières sont toutes vieilles et laides à regarder, aucune d’entre n’est aussi belle que toi. Elles sont froides et indifférentes à notre souffrance. Elles se dépêchent de faire leur travail, en le bâclant puis partent.
Les autres soldats passent leur temps à discuter et rigoler, comme si tout allait bien. Je suis épuisé et il m’est impossible de dormir dans cette infirmerie. Mon voyage de Verdun pour arriver à l’hôpital de Metz était horrible et j’en fais encore des cauchemars. L’ambulancier, un ancien boulanger, adore les sensations fortes. Il prit toutes les routes pleines de bosses, nous faisant tanguer de nos brancards tâchés de sang. Ensuite il nous demanda comment nous avions trouvé le voyage, nous répondîmes ‘’Fantastique’’.
Tout ça pour dire que tu me manques ma chérie. Je voudrais tellement être avec toi dans ces moments difficiles.
Ton mari qui pense à toi