Bonjour j'espère que vous allez bien pouvez vous m'aider Il y (eut/avait) une fois un prince qui (voulut/voulait) épouser une princesse, mais une princesse véritable. Il (fit/faisait) donc le tour du monde pour en trouver une et, à la vérité, les princesses ne (manquèrent/manquaient) pas mais il ne (put/pouvait) jamais s’assurer si (ce/c’) (furent/étaient) de véritable les princesses, toujours quelque chose en elles lui (parut/paraissait) suspect. En conséquence, il (revint/revenait) bien affligé de n’avoir pas trouvé ce qu’il (désira/désirait). Un soir, il (fit/faisait) un temps horrible, les éclairs (se croisèrent/se croisaient), le tonnerre (gronda/grondait), la pluie (tomba/tombait) à torrent, (ce/c’) (fut/était) épouvantable ! Quelqu’un (frappa/frappait) à la porte du château et le vieux roi (s’empressa/ s’empressait) d’ouvrir. Andersen, La Princesse sur un pois.
Il y avait une fois un prince qui voulait épouser une princesse, mais une princesse véritable. Il fit donc le tour du monde pour en trouver une et, à la vérité, les princesses ne manquèrent pas mais il ne put jamais s’assurer si c’étaient de véritable les princesses, toujours quelque chose en elles lui paraissait suspect. En conséquence, il revint bien affligé de n’avoir pas trouvé ce qu’il désirait. Un soir, il faisait un temps horrible, les éclairs se croisaient), le tonnerre grondait, la pluie tombait à torrent, ce fut épouvantable ! Quelqu’un frappait à la porte du château et le vieux roi s’empressa d’ouvrir.(...)
Elo15
de rien. En fait c'est une action d'arrière- plan. D'abord une personne sonne ensuite le roi s'empresse. L'action du roi est plus importante donc c'est passé simple pour le deuxième verbe
Il y avait une fois un prince qui voulait épouser une princesse, mais une princesse véritable. Il fit donc le tour du monde pour en trouver une et, à la vérité, les princesses ne manquèrent pas mais il ne put jamais s’assurer si c’étaient de véritable les princesses, toujours quelque chose en elles lui paraissait suspect. En conséquence, il revint bien affligé de n’avoir pas trouvé ce qu’il désirait. Un soir, il faisait un temps horrible, les éclairs se croisaient, le tonnerre grondait, la pluie tombait à torrent, c’était épouvantable ! Quelqu’un frappait à la porte du château et le vieux roi s’empressa d’ouvrir.
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Il y avait une fois un prince qui voulait épouser une princesse, mais une princesse véritable. Il fit donc le tour du monde pour en trouver une et, à la vérité, les princesses ne manquèrent pas mais il ne put jamais s’assurer si c’étaient de véritable les princesses, toujours quelque chose en elles lui paraissait suspect. En conséquence, il revint bien affligé de n’avoir pas trouvé ce qu’il désirait. Un soir, il faisait un temps horrible, les éclairs se croisaient), le tonnerre grondait, la pluie tombait à torrent, ce fut épouvantable ! Quelqu’un frappait à la porte du château et le vieux roi s’empressa d’ouvrir.(...)
Andersen, La Princesse sur un pois.
Bonjour
Il y avait une fois un prince qui voulait épouser une princesse, mais une princesse véritable. Il fit donc le tour du monde pour en trouver une et, à la vérité, les princesses ne manquèrent pas mais il ne put jamais s’assurer si c’étaient de véritable les princesses, toujours quelque chose en elles lui paraissait suspect. En conséquence, il revint bien affligé de n’avoir pas trouvé ce qu’il désirait. Un soir, il faisait un temps horrible, les éclairs se croisaient, le tonnerre grondait, la pluie tombait à torrent, c’était épouvantable ! Quelqu’un frappait à la porte du château et le vieux roi s’empressa d’ouvrir.
:)