S'il vous plaît j'en ai pour demain 11*** a. Indiquez le temps et le mode des verbes en gras. b. Récrivez ce texte en mettant le premier verbe à l'imparfait. Indiquez, entre parenthèses, le temps des verbes dans le texte ainsi obtenu. « Je crois que nous sommes ensorcelés : car ces bois ne sont pas assez grands pour qu'on s'y perde. La Grise n'a qu'une idée en tête, c'est de s'en retourner à la maison. Si nous voulons nous en aller chez nous, nous n'avons qu'à la laisser faire. Mais quand nous sommes peut-être à deux pas de l'endroit où nous devons coucher, il fau- drait être fou pour recommencer une si longue route. Cependant, je ne sais plus que faire. Je crains que cet enfant-là ne prenne la fièvre si nous restons dans ce damné brouillard, ou qu'il ne soit écrasé par notre poids si le cheval vient à s'abattre en avant. »> D'après GEORGE SAND.
a. Indiquez le temps et le mode des verbes en gras:
"crois" : présent de l'indicatif
"sommes" : présent de l'indicatif
"sont" : présent de l'indicatif
"perde" : subjonctif présent
"a" : présent de l'indicatif
"voulons" : présent de l'indicatif
"en aller" : infinitif
"avons" : présent de l'indicatif
"faut" : présent de l'indicatif
"recommencer" : infinitif
"fais" : présent de l'indicatif
"crains" : présent de l'indicatif
"prenne" : subjonctif présent
"restons" : présent de l'indicatif
"soit" : subjonctif présent
"est" : présent de l'indicatif
"vient" : présent de l'indicatif
"s'abattre" : infinitif
b. Réécrivez le texte en mettant le premier verbe à l'imparfait et indiquez le temps des verbes dans le texte ainsi obtenu:
« Je croyais que nous étions ensorcelés : car ces bois n'étaient pas assez grands pour qu'on s'y perde. La Grise n'avait qu'une idée en tête, c'était de s'en retourner à la maison. Si nous voulions nous en aller chez nous, nous n'avions qu'à la laisser faire. Mais quand nous étions peut-être à deux pas de l'endroit où nous devions coucher, il fau- drait être fou pour recommencer une si longue route. Cependant, je ne savais plus que faire. Je craignais que cet enfant-là ne prenne la fièvre si nous restions dans ce damné brouillard, ou qu'il ne fût écrasé par notre poids si le cheval venait à s'abattre en avant. »
Dans le texte réécrit, les verbes sont conjugués à l'imparfait, sauf pour les verbes à l'infinitif et les verbes "faire" et "être" qui restent inchangés.
Lista de comentários
j'ai fais comme j'ai pu
a. Indiquez le temps et le mode des verbes en gras:
"crois" : présent de l'indicatif
"sommes" : présent de l'indicatif
"sont" : présent de l'indicatif
"perde" : subjonctif présent
"a" : présent de l'indicatif
"voulons" : présent de l'indicatif
"en aller" : infinitif
"avons" : présent de l'indicatif
"faut" : présent de l'indicatif
"recommencer" : infinitif
"fais" : présent de l'indicatif
"crains" : présent de l'indicatif
"prenne" : subjonctif présent
"restons" : présent de l'indicatif
"soit" : subjonctif présent
"est" : présent de l'indicatif
"vient" : présent de l'indicatif
"s'abattre" : infinitif
b. Réécrivez le texte en mettant le premier verbe à l'imparfait et indiquez le temps des verbes dans le texte ainsi obtenu:
« Je croyais que nous étions ensorcelés : car ces bois n'étaient pas assez grands pour qu'on s'y perde. La Grise n'avait qu'une idée en tête, c'était de s'en retourner à la maison. Si nous voulions nous en aller chez nous, nous n'avions qu'à la laisser faire. Mais quand nous étions peut-être à deux pas de l'endroit où nous devions coucher, il fau- drait être fou pour recommencer une si longue route. Cependant, je ne savais plus que faire. Je craignais que cet enfant-là ne prenne la fièvre si nous restions dans ce damné brouillard, ou qu'il ne fût écrasé par notre poids si le cheval venait à s'abattre en avant. »
Dans le texte réécrit, les verbes sont conjugués à l'imparfait, sauf pour les verbes à l'infinitif et les verbes "faire" et "être" qui restent inchangés.