En 1819, une jeune fille, Jeanne Le Perthuis des Vauds, quitte son couvent rouennais pour regagner la propriété familiale des Peuples, en Normandie. Pleine de rêves et d’espérances, elle rencontre le vicomte de Lamare, un homme charmeur en quête de dot, dont elle tombe amoureuse. Ses parents poussent eux-mêmes à l’union.
La jeune mariée, que personne n’a instruite, vit sa nuit de noces presque comme un viol... Les jeunes mariés se rendent ensuite en Corse et Jeanne y connaît sur un bonheur furtif avant de regagner les Peuples. Là, elle découvre l’ennui d’une existence morne. Julien, son mari, pingre et parfois violent, ne lui apporte aucun réconfort. Rosalie, la bonne, qui avait dissimulé sa grossesse, accouche brusquement, refusant d’avouer le nom du père de l’enfant qu’elle portait. Mais quelque temps plus tard Jeanne surprend la bonne dans le lit de Julien et tombe gravement malade, un peu plus accablée quand Rosalie lui révèle que Julien la trompait depuis longtemps.
La jeune femme se résigne. Sa seule joie est d’accoucher à son tour d’un fils, Paul, qu’elle va entourer d’une affection exclusive. Une amie, la femme du comte de Fourville, la trahit, elle aussi, avec Julien et c’est Jeanne elle-même qui découvre leurs amours cachées dans un bois. Peu de temps après, Jeanne perd successivement sa mère et son mari, Julien, assassiné avec la comtesse par l’époux tir celle-ci, fou de jalousie.
Envoyé au collège du Havre, Paul dépense son argent en parties de plaisir II disparaît un jour à Londres, puis à Paris où il se met en ménage avec une amie, réclamant toujours et toujours de l’argent.
Après la mort de son père, Jeanne, épuisée par les chagrins, quitte les Peuples el s’installe près de Goderville, soutenue par Rosalie qui est revenue auprès d’elle en veuve enrichie et avisée. N’ayant pas réussi à rencontrer son fils à Paris, elle revient en Normandie où une lettre du jeune homme viendra lui apprendre qu’il a eu une petite fille et qu’il souhaite lui confier l’enfant. Le roman s’achève sur l’arrivée du bébé que Rosalie est allée chercher : « La vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit », conclut-elle.
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margoooooo
je pense que c'est pas le bon resumé...
rahalaicha66
A MAIS REGARDE SUR INTERNET PARCEQUE YA PAS 1 LIVRE YA EN PLEIN
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En 1819, une jeune fille, Jeanne Le Perthuis des Vauds, quitte son couvent rouennais pour regagner la propriété familiale des Peuples, en Normandie. Pleine de rêves et d’espérances, elle rencontre le vicomte de Lamare, un homme charmeur en quête de dot, dont elle tombe amoureuse. Ses parents poussent eux-mêmes à l’union.
La jeune mariée, que personne n’a instruite, vit sa nuit de noces presque comme un viol... Les jeunes mariés se rendent ensuite en Corse et Jeanne y connaît sur un bonheur furtif avant de regagner les Peuples. Là, elle découvre l’ennui d’une existence morne. Julien, son mari, pingre et parfois violent, ne lui apporte aucun réconfort. Rosalie, la bonne, qui avait dissimulé sa grossesse, accouche brusquement, refusant d’avouer le nom du père de l’enfant qu’elle portait. Mais quelque temps plus tard Jeanne surprend la bonne dans le lit de Julien et tombe gravement malade, un peu plus accablée quand Rosalie lui révèle que Julien la trompait depuis longtemps.
La jeune femme se résigne. Sa seule joie est d’accoucher à son tour d’un fils, Paul, qu’elle va entourer d’une affection exclusive. Une amie, la femme du comte de Fourville, la trahit, elle aussi, avec Julien et c’est Jeanne elle-même qui découvre leurs amours cachées dans un bois. Peu de temps après, Jeanne perd successivement sa mère et son mari, Julien, assassiné avec la comtesse par l’époux tir celle-ci, fou de jalousie.
Envoyé au collège du Havre, Paul dépense son argent en parties de plaisir II disparaît un jour à Londres, puis à Paris où il se met en ménage avec une amie, réclamant toujours et toujours de l’argent.
Après la mort de son père, Jeanne, épuisée par les chagrins, quitte les Peuples el s’installe près de Goderville, soutenue par Rosalie qui est revenue auprès d’elle en veuve enrichie et avisée. N’ayant pas réussi à rencontrer son fils à Paris, elle revient en Normandie où une lettre du jeune homme viendra lui apprendre qu’il a eu une petite fille et qu’il souhaite lui confier l’enfant. Le roman s’achève sur l’arrivée du bébé que Rosalie est allée chercher : « La vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit », conclut-elle.
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