Le cheval continua sa course, arrivé aux jardins à la française, la bête se cabra, Hector chuta et l’animal continua sa route en direction du palais du Louvre. Sa femme et ses enfant arrivèrent quelques minutes après et le relevèrent.
Rentrés dans leur petit appartement à Versailles, le père de famille s’écroula au sol. Lucie sa femme, tenta de le réanimer avec de petites tapes sur les joues mais cette méthode fut sans succès ; elle envoya Jean l’aîné de ses deux enfants chercher le médecin. Jean revint avec le médecin […]
Je sais pas trop si ça correspond à ce que tu demandais mais j’ai essayé, j’espère que ça t’a aidé
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oliviarouland
Le médecin vint et se mit au chevet d’Hector, il écouta son cœur au stéthoscope, pris son pouls, se tourna vers Lucie la mine grave, et lui annonça : - Madame, votre époux est contaminé par la grippe espagnole ; la grippe espagnole se caractérise par des maux de tête au début, puis après par de fortes fièvres, et enfin de grosses difficultés à respirer. Vous devez à tout prix vous éloigner vous et vos enfants de votre époux sinon vous risquez de vous aussi à votre tour d’être contaminés.
oliviarouland
Lucie de savait pu quoi répondre, les larmes lui montaient aux yeux, elles ne pu les retenir, elle fondi en sanglots. Le médecin reprit : - Je vais essayer d’envoyer votre mari dans un des hôpitaux construits pour les gens comme vous : de classe précaire, mais ils sont déjà pleins. En attendant votre mari restera ici, mais vous il faut que vous vous éloignez de lui. Vous avez des gens chez qui loger ? Lucie acquiesça. L’homme continua :
oliviarouland
- Très bien. Alors il faut que vous partiez dès maintenant. Je viendrais voir votre mari tout les jours dès demain. Il ramassa ses affaires dans sa sacoche de cuir brun, mit son chapeau, salua Lucie et s’en alla. Le soir, Lucie avait ramassé ses maigres biens dans un petit sac en toile : sa robe d’hiver, ses économies dans une petite boîte en fer blanc, leur portrait
oliviarouland
de mariage, une chandelle neuve et sa couverture de laine. Jean lui avait pris : une chemise en lin, son unique petite voiture, ses billes préférées, et la montre qu’il avait dérobé à son père. Martin était trop petit pour prendre des choses vraiment essentielles mais il avait quand même pris son ours en peluche , que son père avait trouvé à l’usine, au quel il manquait un œil et la jambe décousue.
oliviarouland
Cela faisait deux semaines que Lucie et ses enfant vivait chez la mère de Lucie, quand Lucie reçu une lettre elle dû se rendre au bureau de poste le plus proche pour pouvoir en savoir son contenu, car elle était analphabète.
Arrivée au bureau de poste l’agent lui lu la lettre :
oliviarouland
- Mme Blanchard, J’ai trouvé une place à votre mari dans un hôpital de Paris il y a environ huit jours, celui-ci s’affaiblissait de plus en plus chaque fois que je lui rendait visite, si bien que j’ai dû faire appel à une calèche pour pouvoir l’y emmener car il ne tenait plus debout. Même à l’hôpital, son état empirait, tout les jours
oliviarouland
il demandait à voir sa femme et ses enfants ; dans son sommeil nous pouvions même distinguer vos prénom « Lucie, Lucie, Martin, Jean ». Mais cet état de conscience ne lui est pas resté longtemps au bout de trois jours, le traitement lui ont enlevé toute son énergie et lui ont donner sommeil même le jour. Mais le 13 juin 1881, votre mari Hector Michel
oliviarouland
Ernest Blanchard à fermé les yeux une toute dernière fois, et c’est avec tristesse et soutien que je vous annonce que votre mari est décédé le 13 juin 1881 à à peu près deux heures cinquante de l’après-midi. Toutes mes condoléances, Émet George DELACROIX
oliviarouland
C’est à la fin de la lettre que Lucie, une seconde fois les larmes lui montat aux yeux, qu’elle ne pu les retenir, et qu’elle refondi en sanglots, cette fois-ci devant un agent de poste désemparé.
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Réponse :
Le cheval continua sa course, arrivé aux jardins à la française, la bête se cabra, Hector chuta et l’animal continua sa route en direction du palais du Louvre. Sa femme et ses enfant arrivèrent quelques minutes après et le relevèrent.
Rentrés dans leur petit appartement à Versailles, le père de famille s’écroula au sol. Lucie sa femme, tenta de le réanimer avec de petites tapes sur les joues mais cette méthode fut sans succès ; elle envoya Jean l’aîné de ses deux enfants chercher le médecin. Jean revint avec le médecin […]
Je sais pas trop si ça correspond à ce que tu demandais mais j’ai essayé, j’espère que ça t’a aidé
- Madame, votre époux est contaminé par la grippe espagnole ; la grippe espagnole se caractérise par des maux de tête au début, puis après par de fortes fièvres, et enfin de grosses difficultés à respirer. Vous devez à tout prix vous éloigner vous et vos enfants de votre époux sinon vous risquez de vous aussi à votre tour d’être contaminés.
- Je vais essayer d’envoyer votre mari dans un des hôpitaux construits pour les gens comme vous : de classe précaire, mais ils sont déjà pleins. En attendant votre mari restera ici, mais vous il faut que vous vous éloignez de lui. Vous avez des gens chez qui loger ?
Lucie acquiesça. L’homme continua :
Il ramassa ses affaires dans sa sacoche de cuir brun, mit son chapeau, salua Lucie et s’en alla.
Le soir, Lucie avait ramassé ses maigres biens dans un petit sac en toile : sa robe d’hiver, ses économies dans une petite boîte en fer blanc, leur portrait
Arrivée au bureau de poste l’agent lui lu la lettre :
J’ai trouvé une place à votre mari dans un hôpital de Paris il y a environ huit jours, celui-ci s’affaiblissait de plus en plus chaque fois que je lui rendait visite, si bien que j’ai dû faire appel à une calèche pour pouvoir l’y emmener car il ne tenait plus debout. Même à l’hôpital, son état empirait, tout les jours
Toutes mes condoléances,
Émet George DELACROIX