SVP URGENT C'EST POUR DEMAIN !!! j'ai une rédaction en lien avec le livre "Vipère au poing". (Pour ce qui ne connaisse pas il y a des résumés sur internet) Sujet: Bouleversé par sa 1ére rencontre avec sa mère , Jean décide d'écrire un journal intime et de se confier. Dans un premier paragraphe, il lui racontera la scène de sa 1ère rencontre avec sa mère et donnera ses impression avec un regard critique, vous donnerais des information sur tous ce que Jean ressant lors de la scène (elle le gifle et lui ordonne de prendre ses baguages, pour qu'il avance plus vite elle lui donna un coup de tibia) vous commencerais votre récit par "Cher journal, J'ai décidé de te raconter ce qui m'est arrivé aujourd'hui..." Dans un second paragraphe, il expliquera ses plans pour résister et exprimer toute sa haine envers Folcoche. CRITÈRES DE RÉUSSITE : -Respect de la forme du journal intime. -Respect des consignes précises. -Connaissance du roman, cohérence avec l'histoire. - Expression écrite soigné (Même pour exprimer la haine, vous ne devez pas vous montrer Familier) MERCI D'AVANCE !!!
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sosofa
Cher journal, j'ai décidé de te raconter ce qui m'est arriver aujourd'hui. comme je t'ai dit hier, Aujourd'hui, pour la 1ère fois j'ai rencontrer ma mère et mon père. ce ne s'est pas passé comme prévu... Nous étions arriver a la gare avec Tante Thérèse et Mlle.Lion , nous attendîmes. Ce fut très long et je me disais, Comment sera-t-elle ? Comment va-t-elle nous trouver ? Je n'avais vraiment aucun souvenir d'elle, et je me posais mille et une questions sur notre futur relation. Quand j'entendis ma tante crier << Les voilà !! >>, Elle me fit sortir de mes penser. Nous étions devant la porte du train quand nous vîmes notre père sortir , il nous prit dans ses bras et nous embrassa. Après ce petit moment d’émotions, nous attendions que notre mère sorte afin de se retrouver. J'étais impatient de voir la personne que j'allais appeler "Maman".<< Venez prendre les bagages Mademoiselle.>> Tout en descendant du train ,ce fut ses premiers mots en notre présence et je cru comprendre qu'elle prenait Mlle.Lion pour la femme de chambre. À l'écoute de cette phrases nous nous précipitâmes vers ses jambes. A ce moment, Elle nous ordonna de nous écarter .Surpris de sa réaction je regardais Frédie avec un air très étonner, il fit de même. Sans le sentir venir, elle nous gifla avec une force inouïe, a un tel point qu'on s'était retrouver au sol en sanglots . Tout le monde était étonné de son comportement. Il eu un moment de silence jusqu'à ce quel le coupe en nous ordonnant de porter ses bagages. J'étais bien trop faible pour soulever cette valise, donc pour me donner plus de forces elle me donna un coup dans le tibia. Après ça je ne voulais déjà plus l'appeler "Maman". pour le deuxième paragraphe reprend quelque truc du livre
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comme je t'ai dit hier, Aujourd'hui, pour la 1ère fois j'ai rencontrer ma mère et mon père. ce ne s'est pas passé comme prévu...
Nous étions arriver a la gare avec Tante Thérèse et Mlle.Lion , nous attendîmes. Ce fut très long et je me disais, Comment sera-t-elle ? Comment va-t-elle nous trouver ? Je n'avais vraiment aucun souvenir d'elle, et je me posais mille et une questions sur notre futur relation. Quand j'entendis ma tante crier << Les voilà !! >>, Elle me fit sortir de mes penser. Nous étions devant la porte du train quand nous vîmes notre père sortir , il nous prit dans ses bras et nous embrassa.
Après ce petit moment d’émotions, nous attendions que notre mère sorte afin de se retrouver. J'étais impatient de voir la personne que j'allais appeler "Maman".<< Venez prendre les bagages Mademoiselle.>> Tout en descendant du train ,ce fut ses premiers mots en notre présence et je cru comprendre qu'elle prenait Mlle.Lion pour la femme de chambre. À l'écoute de cette phrases nous nous précipitâmes vers ses jambes. A ce moment, Elle nous ordonna de nous écarter .Surpris de sa réaction je regardais Frédie avec un air très étonner, il fit de même. Sans le sentir venir, elle nous gifla avec une force inouïe, a un tel point qu'on s'était retrouver au sol en sanglots . Tout le monde était étonné de son comportement. Il eu un moment de silence jusqu'à ce quel le coupe en nous ordonnant de porter ses bagages. J'étais bien trop faible pour soulever cette valise, donc pour me donner plus de forces elle me donna un coup dans le tibia. Après ça je ne voulais déjà plus l'appeler "Maman".
pour le deuxième paragraphe reprend quelque truc du livre