Urgent : Pouvez-vous m'aidez pour un questionnaire sur la nouvelle《 Aux champs》de Maupassant?
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Ollie
Je n'ai pas le texte sous les yeux, et même si je l'avais, les lignes ne correspondraient pas forcément. Mais je connais bien l'histoire, donc voici des pistes qui t'aideront à répondre :
Question 9 : parce que Madame d'Hubières commence affectivement par dire qu'elle veut prendre l'enfant (au lieu de parler d'adoption), les Tuvache se mettent en colère : pour eux, c'est comme si les riches venaient encore les dépouiller de leur seule richesse : leurs enfants. Il y a aussi un malentendu parce que la mère Tuvache comprend qu'on lui demande de vendre son enfant. Elle est blessée dans son orgueil : oui, elle est pauvre, mais elle n'est pas une mère indigne ou dénaturée !
Question 10 : cette fois, c'est Monsieur d'Hubières qui prend la parole et qui fait miroiter tous les avantages ; au début, les Vallin refusent, jusqu'au moment où on leur propose une forte somme d'argent : ils veulent accepter, mais n'osent pas le dire, ils sont "torturés", hésitants, ils se consultent du regard, puis le mari laisse plus ou moins sa femme répondre à sa place ("Qu'est-ce que t'en dis ?"). Alors la phase des négociations commence. Les Vallin ne sont rassurés qu'à partir du moment où il est question du contrat signé devant le notaire. C'est la seule question qui les intéresse, à cause de la garantie officielle.
Question 11 : l'argument, c'est le manque à gagner pour eux, elle demande des bonus et Madame d'Hubières qui "trépigne d'impatience" accepte tout, pour pouvoir emmener l'enfant de suite.
Question 12 : les Tuvache observent la scène, mais très vite ils feront toutes sortes d'allusions et de critiques, par pure jalousie, car les Vallin vivent bien grâce à la pension, mais pas eux.
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Erza13
merci beaucoup, j'ai trouvé tes réponses très explicites.
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Question 9 : parce que Madame d'Hubières commence affectivement par dire qu'elle veut prendre l'enfant (au lieu de parler d'adoption), les Tuvache se mettent en colère : pour eux, c'est comme si les riches venaient encore les dépouiller de leur seule richesse : leurs enfants. Il y a aussi un malentendu parce que la mère Tuvache comprend qu'on lui demande de vendre son enfant. Elle est blessée dans son orgueil : oui, elle est pauvre, mais elle n'est pas une mère indigne ou dénaturée !
Question 10 : cette fois, c'est Monsieur d'Hubières qui prend la parole et qui fait miroiter tous les avantages ; au début, les Vallin refusent, jusqu'au moment où on leur propose une forte somme d'argent : ils veulent accepter, mais n'osent pas le dire, ils sont "torturés", hésitants, ils se consultent du regard, puis le mari laisse plus ou moins sa femme répondre à sa place ("Qu'est-ce que t'en dis ?"). Alors la phase des négociations commence. Les Vallin ne sont rassurés qu'à partir du moment où il est question du contrat signé devant le notaire. C'est la seule question qui les intéresse, à cause de la garantie officielle.
Question 11 : l'argument, c'est le manque à gagner pour eux, elle demande des bonus et Madame d'Hubières qui "trépigne d'impatience" accepte tout, pour pouvoir emmener l'enfant de suite.
Question 12 : les Tuvache observent la scène, mais très vite ils feront toutes sortes d'allusions et de critiques, par pure jalousie, car les Vallin vivent bien grâce à la pension, mais pas eux.