(URGENT) Salutations,
J'ai un questionnaire de lecture cursive sur la nouvelle. (Il faut choisir.) J'ai prit le papa de Simon.
Je ne sais pas comment y dire dans cette question :
Quelle nouvelle as-tu préférée ? Pourquoi ? (Le Papa de Simon)
Celui là je ne sais pas comment y justifier.
Comment se termine-t-elle ? (le papa de Simon)
et aussi :
"Ecris un petit paragraphe pour donner envie à un camarade de lire l'ouvrage que tu viens de lire." (C'est toujours le papa de Simon)
Merci de me répondre. (Urgent)
J'ai un questionnaire de lecture cursive sur la nouvelle. (Il faut choisir.) J'ai prit le papa de Simon.
Je ne sais pas comment y dire dans cette question :
Quelle nouvelle as-tu préférée ? Pourquoi ? (Le Papa de Simon)
Celui là je ne sais pas comment y justifier.
Comment se termine-t-elle ? (le papa de Simon)
et aussi :
"Ecris un petit paragraphe pour donner envie à un camarade de lire l'ouvrage que tu viens de lire." (C'est toujours le papa de Simon)
Merci de me répondre. (Urgent)
More Questions From This User See All
Lista de comentários
La nouvelle se termine par l'adoption de Simon par le forgeron Philippe Rémy, puisqu'il va épouser sa mère, la Blanchotte, suivant le conseil des autres forgerons qui l'assurent de leur soutien. Le calvaire de Simon à l'école prend immédiatement fin, car le forgeron est respecté, de plus c'est un colosse qui promet qu'il viendra lui-même tirer les oreilles des chenapans qui s'en prendraient encore à Simon, donc plus personne ne moufte.
Pour donner envie de lire l'histoire, tu peux dire :
1) qu'elle est toujours très actuelle, dans la mesure où Simon est victime de harcèlement à l'école parce qu'il est différent (propre, poli, soigné, bon élève),
2) que les apparences sont trompeuses : ce n'est pas parce qu'une femme est mère célibataire qu'elle est forcément dénaturée, ou mauvaise mère,
3) que l'histoire pose la question suivante : et nous, de quel côté nous plaçons-nous ? Sommes-nous des victimes, ou des bourreaux ? Et si nous assistons à du harcèlement, prenons-nous position pour défendre la victime, comme Philippe Rémy, ou restons-nous indifférent ?