Albert Camus le premier homme 1) M. Bernard "aimait passionnément son metier" : comment cette passion se manifeste-t-elle dans sa manière de faire la classe? Expliquez en vous appuyant sur le premier paragraphe du texte.
2)Lignes 29 à 40 : a) Quels paysages les récits des manuels scolaires évoquaient-ils ? b) Pourquoi ces récits faisaient-ils partie de "la puissante poésie de l'école " (l.47)? Justifiez.
3)Comment le regard du narrateur adulte se manifeste-t-il dans ce texte ?Développez votre réponse.
4)"Ces récits...encriers."(l.46 à53) : a) Soulignez les compléments du verbe "s'alimentait". b) Quels sont les deux champs lexicaux qui leur sont communs?
5)" la misère est une forteresse sans pont-levis "(l.59): a)Quelle est la figure de style emploée? b) Comment la comprenez-vous? c) À quels temps et mode le verbe Est-il conjugué? Quelle est la valeur de ce temps?
6)Récrivez la phrase : Il en rêvait, peuplait ses rédactions de descriptions d'un monde qu'il n'avait jamais vu, et ne cessait de questionner sa grand-mère sur une chute de neige qui avait eu lieu pendant une heure vingt ans auparavant sur la région d'Alger " en remplaçant "il" par "elles".Faites les modifications nécessaires.
1) M. Bernard "aimait passionnément son métier" : comment cette passion se manifeste-t-elle dans sa manière de faire la classe? Expliquez en vous appuyant sur le premier paragraphe du texte.
La passion de M. Bernard pour son métier se manifeste dans sa manière d'enseigner dès le premier paragraphe du texte. Il "saisissait son éponge" avec une "certaine violence", montrant ainsi son engagement actif dans l'enseignement. Le choix du verbe "saisir" suggère un acte énergique et impliqué. De plus, on note que sa salle de classe "était la meilleure", soulignant son désir d'offrir le meilleur environnement éducatif possible à ses élèves. Sa passion se traduit également dans son souci du détail, comme l'atteste la description minutieuse de la disposition des bureaux. L'ensemble de ces éléments montre que M. Bernard est passionné par son métier et qu'il s'investit pleinement dans la création d'un environnement éducatif favorable.
2) Lignes 29 à 40 :
a) Les récits des manuels scolaires évoquent des paysages exotiques et lointains, tels que "les forêts d'Amérique tropicale" et "les montagnes de la Nouvelle-Zélande".
b) Ces récits font partie de "la puissante poésie de l'école" parce qu'ils éveillent l'imagination des élèves en les transportant vers des lieux lointains et extraordinaires. Ces descriptions poétiques stimulent l'intérêt des élèves et contribuent à créer un univers enchanteur, élargissant ainsi leurs horizons intellectuels.
3) Comment le regard du narrateur adulte se manifeste-t-il dans ce texte ? Développez votre réponse.
Le regard du narrateur adulte se manifeste par un mélange de nostalgie et d'admiration envers M. Bernard et son enseignement. Le narrateur adulte évoque avec émotion le souvenir de M. Bernard et reconnaît la valeur de son enseignement. La description détaillée de la classe et des méthodes d'enseignement révèle un regard rétrospectif teinté d'une certaine fascination pour le passé et l'influence positive de M. Bernard.
4) "Ces récits...encriers." (l.46 à 53) :
a) "S'alimentait" a comme compléments "de tous les rêves" et "de toutes les rêveries".
b) Les deux champs lexicaux communs sont ceux des "rêves" et des "rêveries", soulignant l'idée que l'encrier est une source d'inspiration pour l'imagination des élèves.
5) "La misère est une forteresse sans pont-levis" (l.59) :
a) Figure de style : C'est une métaphore.
b) Explication : La métaphore suggère que la misère est une réalité difficile à surmonter, comparée à une forteresse imprenable sans moyen de franchir ses défenses.
c) Temps et mode du verbe "est" : Il est conjugué au présent de l'indicatif. La valeur de ce temps est une affirmation générale, soulignant la permanence de la réalité évoquée.
6) Récrivez la phrase : "Elle en rêvait, peuplait ses rédactions de descriptions d'un monde qu'elle n'avait jamais vu, et ne cessait de questionner sa grand-mère sur une chute de neige qui avait eu lieu pendant une heure vingt ans auparavant sur la région d'Alger" en remplaçant "il" par "elles". Faites les modifications nécessaires.
"Elles en rêvaient, peuplaient leurs rédactions de descriptions d'un monde qu'elles n'avaient jamais vu, et ne cessaient de questionner leur grand-mère sur une chute de neige qui avait eu lieu pendant une heure vingt ans auparavant sur la région d'Alger."
Pour répondre à vos questions, je vais examiner le texte fourni.
1: M. Bernard "aimait passionnément son métier" : comment cette passion se manifeste-t-elle dans sa manière de faire la classe? Expliquez en vous appuyant sur le premier paragraphe du texte.
Dans le premier paragraphe, la passion de M. Bernard pour son métier transparaît à travers son implication émotionnelle. On peut observer son enthousiasme à transmettre des connaissances, sa manière d'encourager la curiosité des élèves et de partager son amour pour les récits de voyages. Son énergie et son engagement contribuent à créer un environnement d'apprentissage dynamique.
2: Lignes 29 à 40 :
a) Quels paysages les récits des manuels scolaires évoquaient-ils ?
Les récits des manuels scolaires évoquent des paysages lointains et exotiques, notamment des déserts, des montagnes, et des forêts, transportant les élèves vers des mondes inconnus.
b) Pourquoi ces récits faisaient-ils partie de "la puissante poésie de l'école" (l. 47)? Justifiez.
Ces récits font partie de "la puissante poésie de l'école" car ils offrent aux élèves une évasion imaginaire, élargissent leurs horizons et stimulent leur créativité. Ils créent une expérience éducative enrichissante et inspirante.
3:Comment le regard du narrateur adulte se manifeste-t-il dans ce texte? Développez votre réponse.
Le regard du narrateur adulte se manifeste par une réflexion nostalgique sur l'époque de l'école. À travers ses souvenirs, le narrateur exprime une compréhension plus profonde des motivations et de la passion de M. Bernard, ainsi qu'une appréciation rétrospective de l'influence de l'enseignant sur sa vie.
4: "Ces récits...encriers." (l. 46 à 53) :
a) Soulignez les compléments du verbe "s'alimentait".
"S'alimentait" est suivi des compléments "de l'encrier", "des plumes", et "du papier quadrillé".
b) Quels sont les deux champs lexicaux qui leur sont communs?
Les deux champs lexicaux communs sont ceux de l'écriture (encrier, plumes, papier) et de l'éducation.
5: "La misère est une forteresse sans pont-levis" (l. 59) :
a) Quelle est la figure de style employée?
Il s'agit d'une métaphore.
b) Comment la comprenez-vous?
La métaphore compare la misère à une forteresse sans pont-levis, suggérant que la misère peut être difficile à surmonter, hermétiquement fermée aux opportunités d'amélioration.
c) À quels temps et mode le verbe est-il conjugué? Quelle est la valeur de ce temps?
Le verbe "est" est conjugué au présent de l'indicatif. Sa valeur indique une affirmation générale ou une vérité universelle.
6: Récrivez la phrase : "Il en rêvait, peuplait ses rédactions de descriptions d'un monde qu'il n'avait jamais vu, et ne cessait de questionner sa grand-mère sur une chute de neige qui avait eu lieu pendant une heure vingt ans auparavant sur la région d'Alger" en remplaçant "il" par "elles". Faites les modifications nécessaires.
"Elles en rêvaient, peuplaient leurs rédactions de descriptions d'un monde qu'elles n'avaient jamais vu, et ne cessaient de questionner leur grand-mère sur une chute de neige qui avait eu lieu pendant une heure vingt ans auparavant sur la région d'Alger."
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1) M. Bernard "aimait passionnément son métier" : comment cette passion se manifeste-t-elle dans sa manière de faire la classe? Expliquez en vous appuyant sur le premier paragraphe du texte.
La passion de M. Bernard pour son métier se manifeste dans sa manière d'enseigner dès le premier paragraphe du texte. Il "saisissait son éponge" avec une "certaine violence", montrant ainsi son engagement actif dans l'enseignement. Le choix du verbe "saisir" suggère un acte énergique et impliqué. De plus, on note que sa salle de classe "était la meilleure", soulignant son désir d'offrir le meilleur environnement éducatif possible à ses élèves. Sa passion se traduit également dans son souci du détail, comme l'atteste la description minutieuse de la disposition des bureaux. L'ensemble de ces éléments montre que M. Bernard est passionné par son métier et qu'il s'investit pleinement dans la création d'un environnement éducatif favorable.
2) Lignes 29 à 40 :
a) Les récits des manuels scolaires évoquent des paysages exotiques et lointains, tels que "les forêts d'Amérique tropicale" et "les montagnes de la Nouvelle-Zélande".
b) Ces récits font partie de "la puissante poésie de l'école" parce qu'ils éveillent l'imagination des élèves en les transportant vers des lieux lointains et extraordinaires. Ces descriptions poétiques stimulent l'intérêt des élèves et contribuent à créer un univers enchanteur, élargissant ainsi leurs horizons intellectuels.
3) Comment le regard du narrateur adulte se manifeste-t-il dans ce texte ? Développez votre réponse.
Le regard du narrateur adulte se manifeste par un mélange de nostalgie et d'admiration envers M. Bernard et son enseignement. Le narrateur adulte évoque avec émotion le souvenir de M. Bernard et reconnaît la valeur de son enseignement. La description détaillée de la classe et des méthodes d'enseignement révèle un regard rétrospectif teinté d'une certaine fascination pour le passé et l'influence positive de M. Bernard.
4) "Ces récits...encriers." (l.46 à 53) :
a) "S'alimentait" a comme compléments "de tous les rêves" et "de toutes les rêveries".
b) Les deux champs lexicaux communs sont ceux des "rêves" et des "rêveries", soulignant l'idée que l'encrier est une source d'inspiration pour l'imagination des élèves.
5) "La misère est une forteresse sans pont-levis" (l.59) :
a) Figure de style : C'est une métaphore.
b) Explication : La métaphore suggère que la misère est une réalité difficile à surmonter, comparée à une forteresse imprenable sans moyen de franchir ses défenses.
c) Temps et mode du verbe "est" : Il est conjugué au présent de l'indicatif. La valeur de ce temps est une affirmation générale, soulignant la permanence de la réalité évoquée.
6) Récrivez la phrase : "Elle en rêvait, peuplait ses rédactions de descriptions d'un monde qu'elle n'avait jamais vu, et ne cessait de questionner sa grand-mère sur une chute de neige qui avait eu lieu pendant une heure vingt ans auparavant sur la région d'Alger" en remplaçant "il" par "elles". Faites les modifications nécessaires.
"Elles en rêvaient, peuplaient leurs rédactions de descriptions d'un monde qu'elles n'avaient jamais vu, et ne cessaient de questionner leur grand-mère sur une chute de neige qui avait eu lieu pendant une heure vingt ans auparavant sur la région d'Alger."
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Pour répondre à vos questions, je vais examiner le texte fourni.
1: M. Bernard "aimait passionnément son métier" : comment cette passion se manifeste-t-elle dans sa manière de faire la classe? Expliquez en vous appuyant sur le premier paragraphe du texte.
Dans le premier paragraphe, la passion de M. Bernard pour son métier transparaît à travers son implication émotionnelle. On peut observer son enthousiasme à transmettre des connaissances, sa manière d'encourager la curiosité des élèves et de partager son amour pour les récits de voyages. Son énergie et son engagement contribuent à créer un environnement d'apprentissage dynamique.
2: Lignes 29 à 40 :
a) Quels paysages les récits des manuels scolaires évoquaient-ils ?
Les récits des manuels scolaires évoquent des paysages lointains et exotiques, notamment des déserts, des montagnes, et des forêts, transportant les élèves vers des mondes inconnus.
b) Pourquoi ces récits faisaient-ils partie de "la puissante poésie de l'école" (l. 47)? Justifiez.
Ces récits font partie de "la puissante poésie de l'école" car ils offrent aux élèves une évasion imaginaire, élargissent leurs horizons et stimulent leur créativité. Ils créent une expérience éducative enrichissante et inspirante.
3:Comment le regard du narrateur adulte se manifeste-t-il dans ce texte? Développez votre réponse.
Le regard du narrateur adulte se manifeste par une réflexion nostalgique sur l'époque de l'école. À travers ses souvenirs, le narrateur exprime une compréhension plus profonde des motivations et de la passion de M. Bernard, ainsi qu'une appréciation rétrospective de l'influence de l'enseignant sur sa vie.
4: "Ces récits...encriers." (l. 46 à 53) :
a) Soulignez les compléments du verbe "s'alimentait".
"S'alimentait" est suivi des compléments "de l'encrier", "des plumes", et "du papier quadrillé".
b) Quels sont les deux champs lexicaux qui leur sont communs?
Les deux champs lexicaux communs sont ceux de l'écriture (encrier, plumes, papier) et de l'éducation.
5: "La misère est une forteresse sans pont-levis" (l. 59) :
a) Quelle est la figure de style employée?
Il s'agit d'une métaphore.
b) Comment la comprenez-vous?
La métaphore compare la misère à une forteresse sans pont-levis, suggérant que la misère peut être difficile à surmonter, hermétiquement fermée aux opportunités d'amélioration.
c) À quels temps et mode le verbe est-il conjugué? Quelle est la valeur de ce temps?
Le verbe "est" est conjugué au présent de l'indicatif. Sa valeur indique une affirmation générale ou une vérité universelle.
6: Récrivez la phrase : "Il en rêvait, peuplait ses rédactions de descriptions d'un monde qu'il n'avait jamais vu, et ne cessait de questionner sa grand-mère sur une chute de neige qui avait eu lieu pendant une heure vingt ans auparavant sur la région d'Alger" en remplaçant "il" par "elles". Faites les modifications nécessaires.
"Elles en rêvaient, peuplaient leurs rédactions de descriptions d'un monde qu'elles n'avaient jamais vu, et ne cessaient de questionner leur grand-mère sur une chute de neige qui avait eu lieu pendant une heure vingt ans auparavant sur la région d'Alger."