Bonsoir/bonjour (20points) S’il vous plait pouvez vous m’aider? je vous en supplie ( c’est pour le 18 octobre 2021 largement le temps ) :D
Vous vous etes trouvé dans un decor inhabituel, en presence d’un personnage intimidant. Décrivez le lieu et le personnage tel qu’il vous apparu au premier rapport et rendez compte de vos sentiments de crainte, dans l’embarras dans lequel vous etiez.
Voici ce que j'ai fait à partir de ce thème. Cependant, je n'ai pas développé le sentiment de l'embarras. Vous pouvez donc partir de ce texte et y ajouter les modifications qui vous conviendront ^^
L'histoire que je m'apprête à vous conter pourrait faire écho à plusieurs lecteurs. En effet, qui n'a jamais tenter de braver les interdits...?
Des cris d'enfants. Le bruit des billes qui s'entrechoquent. Un professeur qui intervient pour arrêter deux apprentis sioux essayant de faire passer un signal de fumée à leur tribus en brûlant un banc en bois de la cour. Une cloche qui retentit, annonçant la fin de la pause. Voilà ce qu'il me reste principalement de mes souvenirs d'école. Cependant, celui que je vais vous raconter m'a bien plus marqué.
《Cap ou pas cap ?, me demanda malicieusement Jeanne.
- Cap, répondis-je
- D'entrer dans le bureau du directeur quand il s'absentera et de prendre un objet que tu nous ramèneras comme preuve.
- Mais c'est impossible ! s'exclama Nathan
- Okay ! dis-je en même temps que lui》
Le lendemain, dès que le directeur disparut, je me rendis bravement dans son bureau. Je restais, en apparence, impassible, mais en vérité je sentais les battements de mon cœur accélérer, mes poils et mes cheveux se dresser, mes muscles se tendre...
Je commençais à chercher du regard un petit objet qui pourrait disparaître discrètement. Je m'arrêtais devant le pot à crayons : un stylo de chaque couleur. Si l'un d'eux se volatilisait, cela se remarquerait immédiatement. Soudain, mon regard s'accrocha à une petite boîte. Pas plus grosse qu'une pomme, elle était toute noire. Une petite perle de nacre surmontait son couvercle. Je m'approchais et tentais de l'ouvrir. Plus j'essayais en vain et plus j'avais envie de réussir.
Au bout d'un moment, me souvenant que je n'avais pas beaucoup de temps, je décidais de mettre la boîte dans mon sac et de partir. Jeanne s'en contenterait. Alors que je me retournais pour partir, je découvris un homme immense me regardant faire, le visage impassible mais un air moqueur dans les yeux. Ses cheveux aussi noirs que ses vêtements faisaient ressortir son teint pâle et ses lèvres rouges. Peut-être était-ce à cause de la stupeur, de l'embarras et de la terreur que je ressenti à cet instant, mais il m'apparut tel un vampire prêt à me sauter à la gorge.
Un instant, mon cœur s'arrêta de battre. Je ne pouvais plus bouger. Une goutte glacée descendit le long de mon dos, et un long frisson parcouru mon corps entier. Mon visage perdir toutes ses couleurs, et je n'arrivais plus à réfléchir. J'étais tout à fait incapable d'inventer une excuse justifiant ma présence ici.
《Que faites-vous ici, jeune enfant ?
- Je... je... balbutiais-je
- Vous...? répéta le directeur, le sourcil relevé et un sourire narquois aux lèvres
- Je... cherchait quelque chose, fut tout ce que je trouvais à dire
- Dans mon bureau ? s'amusa-t-il
- Heuuu, oui...? 》
Lorsqu'il eu compris que c'était un pari, sans pour autant avoir pu m'arracher le nom de ceux qui me l'avaient lancé, il me laissa partir, tout en me recommandant "très fortement" de ne pas recommencer. Je sortais donc, prenant mes jambes à mon cou, et courais chez moi. La journée était terminée, nous avions attendu la fin des cours pour mener à bien notre pari.
Le matin suivant, j'ouvrais mon sac afin de montrer la petite boîte à Jeanne et Nathan. Jamais je ne pu leur prouver quoi que ce soit, car ma seule preuve avait disparu.
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anitaevans
MERCI MERCI ET ENCORE UNE FOIS MERCI ^^
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Réponse:
Bonsoir !
Voici ce que j'ai fait à partir de ce thème. Cependant, je n'ai pas développé le sentiment de l'embarras. Vous pouvez donc partir de ce texte et y ajouter les modifications qui vous conviendront ^^
L'histoire que je m'apprête à vous conter pourrait faire écho à plusieurs lecteurs. En effet, qui n'a jamais tenter de braver les interdits...?
Des cris d'enfants. Le bruit des billes qui s'entrechoquent. Un professeur qui intervient pour arrêter deux apprentis sioux essayant de faire passer un signal de fumée à leur tribus en brûlant un banc en bois de la cour. Une cloche qui retentit, annonçant la fin de la pause. Voilà ce qu'il me reste principalement de mes souvenirs d'école. Cependant, celui que je vais vous raconter m'a bien plus marqué.
《Cap ou pas cap ?, me demanda malicieusement Jeanne.
- Cap, répondis-je
- D'entrer dans le bureau du directeur quand il s'absentera et de prendre un objet que tu nous ramèneras comme preuve.
- Mais c'est impossible ! s'exclama Nathan
- Okay ! dis-je en même temps que lui》
Le lendemain, dès que le directeur disparut, je me rendis bravement dans son bureau. Je restais, en apparence, impassible, mais en vérité je sentais les battements de mon cœur accélérer, mes poils et mes cheveux se dresser, mes muscles se tendre...
Je commençais à chercher du regard un petit objet qui pourrait disparaître discrètement. Je m'arrêtais devant le pot à crayons : un stylo de chaque couleur. Si l'un d'eux se volatilisait, cela se remarquerait immédiatement. Soudain, mon regard s'accrocha à une petite boîte. Pas plus grosse qu'une pomme, elle était toute noire. Une petite perle de nacre surmontait son couvercle. Je m'approchais et tentais de l'ouvrir. Plus j'essayais en vain et plus j'avais envie de réussir.
Au bout d'un moment, me souvenant que je n'avais pas beaucoup de temps, je décidais de mettre la boîte dans mon sac et de partir. Jeanne s'en contenterait. Alors que je me retournais pour partir, je découvris un homme immense me regardant faire, le visage impassible mais un air moqueur dans les yeux. Ses cheveux aussi noirs que ses vêtements faisaient ressortir son teint pâle et ses lèvres rouges. Peut-être était-ce à cause de la stupeur, de l'embarras et de la terreur que je ressenti à cet instant, mais il m'apparut tel un vampire prêt à me sauter à la gorge.
Un instant, mon cœur s'arrêta de battre. Je ne pouvais plus bouger. Une goutte glacée descendit le long de mon dos, et un long frisson parcouru mon corps entier. Mon visage perdir toutes ses couleurs, et je n'arrivais plus à réfléchir. J'étais tout à fait incapable d'inventer une excuse justifiant ma présence ici.
《Que faites-vous ici, jeune enfant ?
- Je... je... balbutiais-je
- Vous...? répéta le directeur, le sourcil relevé et un sourire narquois aux lèvres
- Je... cherchait quelque chose, fut tout ce que je trouvais à dire
- Dans mon bureau ? s'amusa-t-il
- Heuuu, oui...? 》
Lorsqu'il eu compris que c'était un pari, sans pour autant avoir pu m'arracher le nom de ceux qui me l'avaient lancé, il me laissa partir, tout en me recommandant "très fortement" de ne pas recommencer. Je sortais donc, prenant mes jambes à mon cou, et courais chez moi. La journée était terminée, nous avions attendu la fin des cours pour mener à bien notre pari.
Le matin suivant, j'ouvrais mon sac afin de montrer la petite boîte à Jeanne et Nathan. Jamais je ne pu leur prouver quoi que ce soit, car ma seule preuve avait disparu.