Coucou svp aidez moi Imaginez une suite immédiate à l’extrait proposé : La nuit était chaude et j’avais laissé la fenêtre ouverte donnant sur le parc. Ma lettre écrite, ne me trouvant encore aucune envie de dormir, je vins à réviser mes leçons. Au milieu de ce travail qui m’absorbais, un arbre assez voisin de ma fenêtre fut violemment agité.
Tiens j'espere que ca te plait :), n'hésite pas si tu veux que je change une partie ou une autre.
La nuit était chaude et j’avais laissé la fenêtre ouverte donnant sur le parc. Ma lettre écrite, ne me trouvant encore aucune envie de dormir, je vins à réviser mes leçons. Au milieu de ce travail qui m’absorbais, un arbre assez voisin de ma fenêtre fut violemment agité. Sans m’en rendre compte mon regard s’était perdu vers l’extérieur, là-bas seule la lumière jaunâtre éclairait ma rue et l’air auparavant doux commençait à me faire frissonner. Ma fenêtre se mit à grincer, et l’arbre lui ne s’arrêtait plus, et sans même que j’ai le temps de fermer un de mes livres ma lampe de bureau s’éteignit. Dans un soupir, je me levai et alla allumer l’interrupteur relié à mon lustre, le parquet grinçait sous mes pas et chaque mètre que je traversais me figeait de plus en plus. J’enclencha le commutateur de mon index et en voyant les lampes s’allumer je ne pus m’empêcher un soulagement. L’air semblait lourd, l’atmosphère pesante, je m’approchais de ma chaise et mes bras eux avaient la chair de poule. Je me penchai pour fermer cette maudite fenêtre quand un vent froid me fouetta le visage violemment. Je rétiaire mon action mais me stoppa net quand je vis à travers l’encadrement de ma vitre, l’écorce de bois qui décorait mon jardin avait disparu, l’arbre n’était plus là. Mais ce qui m’effraya le plus, c’était que je ne reconnue pas ce que je vis dehors, ce n’étais plus mon jardin.
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Tiens j'espere que ca te plait :), n'hésite pas si tu veux que je change une partie ou une autre.
La nuit était chaude et j’avais laissé la fenêtre ouverte donnant sur le parc. Ma lettre écrite, ne me trouvant encore aucune envie de dormir, je vins à réviser mes leçons. Au milieu de ce travail qui m’absorbais, un arbre assez voisin de ma fenêtre fut violemment agité. Sans m’en rendre compte mon regard s’était perdu vers l’extérieur, là-bas seule la lumière jaunâtre éclairait ma rue et l’air auparavant doux commençait à me faire frissonner. Ma fenêtre se mit à grincer, et l’arbre lui ne s’arrêtait plus, et sans même que j’ai le temps de fermer un de mes livres ma lampe de bureau s’éteignit. Dans un soupir, je me levai et alla allumer l’interrupteur relié à mon lustre, le parquet grinçait sous mes pas et chaque mètre que je traversais me figeait de plus en plus. J’enclencha le commutateur de mon index et en voyant les lampes s’allumer je ne pus m’empêcher un soulagement. L’air semblait lourd, l’atmosphère pesante, je m’approchais de ma chaise et mes bras eux avaient la chair de poule. Je me penchai pour fermer cette maudite fenêtre quand un vent froid me fouetta le visage violemment. Je rétiaire mon action mais me stoppa net quand je vis à travers l’encadrement de ma vitre, l’écorce de bois qui décorait mon jardin avait disparu, l’arbre n’était plus là. Mais ce qui m’effraya le plus, c’était que je ne reconnue pas ce que je vis dehors, ce n’étais plus mon jardin.