Les sens ne sont-ils pas limités, pouvant même constituer un « obstacle » à la connaissance ?.
Un obstacle à la connaissance est particuliérement insidieux à la tache d'éduquer est la présence massive dans notre société et notre culture qui en reconnaissant rien de définitif, en laissent comme critére ultime que le soi avec ses désirs. Et sous l'apparence de la liberté, il devient une prison pour chacun, car il sépare les gens les uns des autres, enfermant chaque personne dans son prope “ego”. Des obstacle externe:nos sens, qui nous trompent sans cesse ; l'obscurité des apparence du monde, l'autorité altière d'autrui qui cherche à nous régenter, la puissance de la coutume, qui nous fait prendre pour vérité toutes naturelles à peu prés n'importe quoi. Mais si l'esprit rencontre ces obstacle extérieure, c'est en lui qu'il doit en chercher la cause
Les sens ne sont-ils pas limités, pouvant même constituer un « obstacle » à la connaissance ?
Un obstacle à la connaissance est particulièrement insidieux à la tâche d'éduquer et qui est une présence massive dans notre société et notre culture. On reconnait que rien n'est définitif, et on garde comme critère ultime le soi avec ses désirs. Sous l'apparence de la liberté, il devient une prison pour chacun, car il sépare les gens les uns des autres, enfermant chaque personne dans son propre “ego”. Des obstacles externes : nos sens, qui nous trompent sans cesse ; l'obscurité des apparences du monde, l'autorité altière d'autrui qui cherche à nous régenter, la puissance de la coutume, qui nous fait prendre pour vérité toutes naturelles à peu prés n'importe quoi. Mais si l'esprit rencontre ces obstacles extérieurs, c'est en lui qu'il doit en chercher la cause.
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mezi59
tu pense que je doit rajouté plus pour cette question
mezi59
peux tu m'aidez pour la conclusion sur nos sens
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Les sens ne sont-ils pas limités, pouvant même constituer un « obstacle » à la connaissance ?Un obstacle à la connaissance est particulièrement insidieux à la tâche d'éduquer et qui est une présence massive dans notre société et notre culture. On reconnait que rien n'est définitif, et on garde comme critère ultime le soi avec ses désirs.
Sous l'apparence de la liberté, il devient une prison pour chacun, car il sépare les gens les uns des autres, enfermant chaque personne dans son propre “ego”. Des obstacles externes : nos sens, qui nous trompent sans cesse ; l'obscurité des apparences du monde, l'autorité altière d'autrui qui cherche à nous régenter, la puissance de la coutume, qui nous fait prendre pour vérité toutes naturelles à peu prés n'importe quoi. Mais si l'esprit rencontre ces obstacles extérieurs, c'est en lui qu'il doit en chercher la cause.