bonsoir, pouvez vous maider il faut faire un Commentaire : Vous commenterez l’extrait de La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette (texte A).     Présentation de Mlle de Chartres, qui deviendra la princesse de Clèves.Il parut alors une beauté à la Cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l’on doit croire que c’était une beauté parfaite, puisqu’elle donna de l’admiration dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison1 que le vidame2 de Chartres et une des plus grandes héritières de France. Son père était mort jeune, et l’avait laissée sous la conduite de Madame de Chartres, sa femme, dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires. Après avoir perdu son mari, elle avait passé plusieurs années sansrevenir à la Cour. Pendant cette absence, elle avait donné ses soins à l’éducation de sa fille, mais elle ne travailla pas seulement à cultiver son esprit et sa beauté, elle songea aussi à lui donner de la vertu et à la lui rendre aimable. La plupart des mères s’imaginent qu’il suffit de ne parler jamais de galanterie3 devant les jeunes personnes pour les en éloigner. Madame de Chartres avait une opinion opposée, elle faisait souvent à sa fille des peintures de l’amour, elle lui montrait ce qu’il a d’agréable pour la persuader plus aisément sur ce qu’elle lui en apprenait de dangereux ; elle lui contait le peu de sincérité des hommes, leurs tromperies et leur infidélité, les malheurs domestiques4 où plongent les engagements5, et elle lui faisaitvoir, d’un autre côté, quelle tranquillité suivait la vie d’une honnête femme, et combien la vertu donnait d’éclat et d’élévation à une personne qui avait de la beauté et de la naissance, mais elle lui faisait voir aussi combien il était difficile de conserver cette vertu, que par une extrême défiance de soi-même et par un grand soin de s’attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d’une femme, qui est d’aimer son mari et d’en être aimée. Cette héritière était alors un des grands partis qu’il y eût en France, et quoiqu’elle fût dans une extrême jeunesse, l’on avait déjà proposé plusieurs mariages. Madame de Chartres, qui était extrêmement glorieuse6, ne trouvait presque rien digne de sa fille. La voyant dans sa seizième année, elle voulut la mener à la Cour. Lorsqu’elle arriva, le vidame alla au-devant d’elle ; il fut surpris7 de la grande beauté de Mademoiselle de Chartres, et il en fut surpris avec raison. La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l’on n’a jamais vu qu’à elle ; tous ses traits étaient réguliers, et son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes.  
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Bonjour,  j'ai un commentaire entierement redigée a faire sur Le Clézio, Désert, (1980)merci d'avance de tout aide Lalla remonte vers la vieille ville, elle gravit lentement les marches de l’escalier défoncé oùcoule l’égout qui sent fort. En haut de l’escalier, elle tourne à gauche, puis elle marche dansla rue du Bon-Jésus. Sur les vieux murs lépreux, il y a des signes écrits à la craie, des lettres et des dessins incompréhensibles, à demi effacés. Par terre, il y a plusieurs taches rouges comme le sang, où rôdent des mouches. La couleur rouge résonne dans la tête de Lalla, fait un bruit de sirène, un sifflement qui creuse un trou, vide son esprit. Lentement, avec effort, Lalla enjambe une première tache, une deuxième, une troisième. Il y a de drôles de choses blanches mêlées aux taches rouges, comme des cartilages, des os brisés, de la peau, et la sirène résonne encore plus fort dans la tête de Lalla. Elle essaie de courir le long de la rue en pente, mais les pierres sont humides et glissantes, surtout quand on a des sandales de caoutchouc. Rue du Timon, il y a encore des signes écrits à la craie sur les vieux murs, des mots, peut-être des noms ? Puis une femme nue, aux seins pareils à des yeux, et Lalla pense au journal obscène déplié sur le lit défait, dans la chambre d’hôtel. Plus loin, c’est un phallus énorme dessiné à la craie sur une vieille porte, comme un masque grotesque.Lalla continue à marcher, en respirant avec peine. La sueur coule toujours sur son front, lelong de son dos, mouille ses reins, pique ses aisselles. Il n’y a personne dans les rues à cette heure-là, seulement quelques chiens au poil hérissé, qui rongent leurs os en grognant. Lesnfenêtres au ras du sol sont fermées par des grillages, des barreaux. Plus haut, les volets sont tirés, les maisons semblent abandonnées. Il y a un froid de mort qui sort des bouches des soupirails, des caves, des fenêtres noires. C’est comme une haleine de mort qui souffle le long des rues, qui emplit les recoins pourris au bas des murs. Où aller ? Lalla avance lentement de nouveau, elle tourne encore une fois à droite, vers le mur de la vieille maison. Lalla a toujours un peu peur, quand elle voit ces grandes fenêtres garnies de barreaux, parce qu’elle croit que c’est une prison où les gens sont morts autrefois : on dit même que la nuit, parfois, on entend les gémissements des prisonniers derrière les barreaux des fenêtres. Elle descend maintenant le long de la rue des Pistoles, toujours déserte, et par la traverse de la Charité, pour voir, à travers le portail de pierre grise, l’étrange dôme rose qu’elle aime bien. Certains jours elle s’assoit sur le seuil d’une maison, et elle reste là à regarder très longtemps le dôme qui ressemble à un nuage, et elle oublie tout, jusqu’à ce qu’une femme vienne lui demander ce qu’elle fait là et l’oblige à s’en aller.Mais aujourd’hui, même le dôme rose lui fait peur, comme s’il y avait une menace derrièreses fenêtres étroites, ou comme si c’était un tombeau. Sans se retourner, elle s’en va vite, elle redescend vers la mer, le long des rues silencieuses. Le vent qui passe par rafales fait claquer le linge, de grands draps blancs aux bords effilochés, des vêtements d’enfants, d’homme, des lingeries bleues et roses de femme ; Lalla ne veut pas les regarder, parce qu’ils montrent des corps invisibles, des jambes, des bras, des poitrines, comme des dépouilles sans tête.Elle longe la rue Rodillat, et là aussi il y a ces fenêtres basses, couvertes de grillage, fermées de barreaux, où les hommes et les enfants sont prisonniers. Lalla entend par moments les bribes de phrases, les bruits de vaisselle ou de cuisine, ou bien la musique nasillarde, et elle pense à tous ceux qui sont prisonniers, dans ces chambres obscures et froides, avec les blattes et les rats, tous ceux qui ne verront plus la lumière, qui ne respireront plus le vent.
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Bonjour à tous, j'aurais besoin d'aide, en effet, j'ai un devoir en français oral de 3mn ou il faudrait faire, Raconté au passé l’expérience la plus extraordinaire que tu aies vécue. Il pourra s’agir d’une anecdote que tu as réellement vécue ou d’une scène que tu inventeras, l’important étant de décrire cette expérience de la façon la plus détaillée possible. Tu veilleras à employer le lexique, le passé simple et l’imparfaitpouvez vous corriger et dire si ça correspont a la question merciIl m’est arrivé beaucoup de choses extraordinaires dans ma vie, des choses agréables et d’autres moins mais la plupart ont découlé d’un événement apparemment sans importance qui a décidé de ma vie.  J'avais oublié. Cet été , nous étions mes parents et moi en vacances en Bretagne sur l’île de groix , où nous avons une maison. Nos chaises étaient vieilles et abîmées, nous avions donc décidé de les changer. Mon père alla regarder sur internet s’il n’y avait pas des chaises à vendre sur l’île .Oui, 6 chaises étaient à vendre ,il téléphona et la personne lui répondit de passer les voir. Avant d’aller à la plage , nous y sommes allés. J’ai sonné à la porte et le maire de ma ville m’ouvrit. Incroyable, le maire….je savais qu’elle avait une maison sur l’île mais je ne pensais pas qu’elle m’ ouvrirait un jour la porte de sa maison de campagne. Elle sourit, elle vit que j’étais gêné . Je lui dis : Madame vous êtes le Maire de la ville c’est incroyable jamais je n’aurais cru me retrouver chez vous.Mes parents achetèrent les chaises, et depuis cet été, nous avons donc les chaises de le maire de ma ville dans la maison de campagne. depuis que le professeur nous a demandé de faire ce devoir est racontait un aventure extraordinaire que j’aie vécue.
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Bonjour à tous et bonne année, pouvez vous me traduire ce texte en espagnol s.v.p merci d'avance de tout aideIl m'est arrivé beaucoup de choses extraordinaires dans ma vie, des choses agréables et d'autres moins, mais la plupart ont découlé d'un événement apparemment sans importance qui a décidé de ma vie. J'avais oublié, il y a quelques années, un été, cela a influencé ma vie . Je me souviens que nous avions passé une très bonne journée, installés dans son jardin à discuter de la ville, mais aussi de la Bretagne et la plage fut oubliée. Nous partîmes tard et heureux de notre journée. Mes parents achetèrent les chaises, que nous avons gardées très longtemps, nous étions mes parents et moi en vacances en Bretagne sur l'île de Groix, où nous avons une maison. Nos chaises étaient vieilles et abîmées, nous avions donc décidé de les changer. Mon père alla regarder sur internet il n'y avait pas de chaises à vendre sur l'île .Oui, six chaises étaient à vendre, il téléphona et la personne lui répondit de passer les voir, avant d'aller à la plage, nous y sommes allés. J'ai sonné à la porte et la maire de la ville m'ouvrit. Incroyable, la maire.... je savais qu'elle avait une maison sur l'île, mais je ne pensais pas qu'elle m'ouvrirait un jour la porte de sa maison de campagne. Elle sourit, elle vit que j'étais gêné. Je lui dis : Madame vous êtes la Maire de la ville c'est incroyable jamais je n'aurais cru me retrouver chez vous. Mes parents achetèrent les chaises et depuis cet été, nous avons donc les chaises du maire de ma ville dans la maison de campagne. Comme nous avions été très bien accueillis et cela a donc influencé mon avenir je m'étais dit alors que les hommes et les femmes politiques étaient comme nous et l'on pouvait même discuter avec eux, qu'ils n'étaient pas si prétentieux que cela. Alors, à la fin de mes études, j'ai travaillé à la mairie et j'ai fait du bénévolat, depuis je suis devenu maire de ma ville quand la maire a pris sa retraite.
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Bonjour, pouvez-vous corriger mon devoir et m'aider pour les questions que je n'ai pas su faire s'il vous plaît, merci d'avance de tout aideTenía idealizada la figura del escritor La narradora habla de su relación con la literatura. Asistí a unas charlas sobre literatura. Iba siempre en compañía de Antonia, que era la que me informaba sobre las características del orador: si era un novelista, un poeta, un profesor, si de él podía esperarse una intervención amena y brillante. Las charlas solían tener lugar en cajas de ahorros y colegios mayores, y el momento clave venía al principio, cuando el conferenciante recorría el pasillo precedido por el presentador, subía con mayor o menor desenvoltura los escalones del estrado y ocupaba su asiento ante el botellín de agua y el micrófono. En realidad, de aquellos hombres y mujeres me interesaban menos las palabras que el aspecto, menos las ideas que la forma de comportarse. Tenía idealizada la figura del escritor. Pensaba que los escritores eran unos seres instalados en un nivel superior de la existencia, personas que tenían respuestas para todo y a las que me habría gustado poder acceder para contrastar mis inquietudes y pedir consejo. Si un escritor no sabía orientarse en el laberinto de la vida, ¿quién entonces? Por eso ese primer minuto era tan importante: porque en él debía descubrir los rasgos4 que revelan su genio. Estaba segura de que, si alguna vez me hubiera cruzado por la calle con un escritor de los que yo admiraba, con Pasternak5 o con Hemingway6, una simple ojeada me habría bastado para percibir su superioridad, una superioridad que procedía de la experiencia del dolor y de la habilidad para convertir esa experiencia en arte. Con aquellos escritores de la caja de ahorros ese primer vistazo resultaba siempre decepcionante, y sus palabras no hacían otra cosa que confirmarlo. Los encontraba humanos, demasiado humanos: pequeños, miserables. Mencionaban títulos de libros desconocidos dando por supuesto que todos los habíamos leído, y de vez en cuando descalificaban a algún que otro autor clásico para darse importancia y situarse por encima. Con sus barbitas recortadas y sus gafas de concha tenían algo de impostores, de charlatanes (…) No, seguro que ni Pasternak ni Hemingway eran así. Me volvía hacia Antonia y le decía al oído: “A éste tampoco me apetece leerle.” Y ella me lo reprochaba en un susurro: “¡Mujer, cómo eres!” Antonia era de las que luego, cuando acababa la charla, se acercaban con su ejemplar y hacían cola para conseguir una dedicatoria. Yo la esperaba a la salida. Ella se reunía conmigo al cabo de unos minutos. Llevaba el libro como las colegialas llevan sus carpetas, apretado contra el pecho. Ignacio Martínez de Pisón, El tiempo de las mujeres, 2003 Questions : 1) Identifica a los dos personajes del texto e indica cuál es la relación que las unía y qué actividad compartían. Los dos personajes del texto son la narador y antonia. Son amigos y participan juntos a unas charlas sobre literatura. 2)Para la narradora, ¿qué momento de la charla era el más intenso de las charlas? ¿Por qué? Apunta dos frases del texto.Para la narradora, el momento de la charla era el más intenso es el primer minuto : '' Por eso ese primer minuto era tan importante: porque en él debía descubrir los rasgos que revelan su genio'' 3)Cita una frase del texto que muestra que a la narradora no le interesaba realmente el discurso de los escritores.La frase del texto que muestra que a la narradora no le interesaba realmente el discurso de los escritores es '' En realidad, de aquellos hombres y mujeres me interesaban menos las palabras que el aspecto, menos las ideas que la forma de comportarse.'' 4) Apunta dos frases que muestran que la narradora « tenía idealizada la figura del escritor».Je ne sais pas5) La narradora asistió a unas conferencias dadas por Pasternak y Hemingway. ❒ Verdadero / ❒ Falso Justifica tu respuesta a partir del texto. La narradora asistió a unas conferencias dadas por Pasternak y Hemingway : Falso, '' Estaba segura de que, si alguna vez me hubiera cruzado por la calle con un escritor de los que yo admiraba, con Pasternak o con Hemingway. 6) ¿Por qué no le gustaban a la narradora los autores que veía en las charlas? Apóyate por lo menos en dos elementos del texto.Je ne sais pas7) Explica por qué, al final de las charlas, los dos personajes no reaccionaban de la misma manera.Je ne sais pas
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Bonsoir, j'ai besoin d'aide pour ce devoir merci d'avance de tout aideExpression écriteWrite “A New Kind of Warrior” from the mother’s point of view, using the first person narrative : she could see her boy come back, lazy and dejected. She thought of his childhood and wondered why. (250 mots) le texte:A New Kind of Warrior -When I got back to the reservation, my family wasn’t surprised to see me. They’d been expecting me back since the day I left for Seattle. There’s an old Indian poet who said that Indians can reside in the city, but they can never live there. That’s as *close to truth as any of us get. Mostly I watched television. For weeks I flipped through channels, searched for answers in the game shows and soap operas. My mother would circle the want ads in red and hand the paper to me. “What are you going to do with the rest of your life?” she asked, “Don’t know, ”I said, and normally, for almost any other Indian in the country, that would have been a perfectly fine answer. But I was special, a former college student, a smart kid. I was one of those Indians who was supposed to make it, to rise above the rest of the reservation like *a fucking eagle or something, I was the new kind of warrior. For a few months, I didn’t even look at the ads my mother circled. I just left the newspaper where she had set it down. After a while though, I got tired of television and started to play basketball again. I’d been a good player in high school, nearly great, and almost played at the college I *attended for a couple of years. But I’d been too *out of shape from drinking and sadness to ever be good again. Still, I liked the way the ball felt in my hands and the way my feet felt inside my shoes. At first I just *shot baskets by myself. It was selfish, and I also wanted to learn the game against anybody else. Since I’d been good before and embarrassed tribal members, I knew they would take revenge on me. Forget about the cowboys versus Indians business. The most intense competition on any reservation was Indians versus Indians. A. Sherman, The Lone Ranger and Tonto Fistfight in Heaven, 1994
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bonjour, pouvez vous corriger svpEn quoi le recueil Les Mains libres pourrait-il être qualifié de jeu d’ombres et de lumière ? Justifiez votre réponse. Man Ray (1890-1976), est un peintre, photographe, réalisateur de films, dessinateur, puis du Surréalisme en France.Il arrive à Paris en 1921 et rencontre les écrivains surréalistes Louis Aragon, André Breton, Paul Eluard.En 1935, puis en 1937, il collabore avec Paul Eluard. • Film : Essai de simulation de délire photographique (1935).• Peintures : Le beau temps (1939) ; Peinture naturelle (1958)…• Dessins : Les Mains libres (1937) Il a pas obscurité sans lumière, il as de la lumière dans l' obscurité et lui il a les deux dans ses œuvre la lumière est très présent : plein soleil, brillante, feu, celui, soleil, chaleur. Elle met en évidence ce que les artistes cherchent à dire. l'ombre renvoie l'imagination du lecteur au funeste, à la mort, au désordre, l'homme mauvais de la lumière et lui permet de relâcher ses pulsions néfastes L'ombre et la lumière vont avoir une grande importance, puisqu'elles vont permettre de voir et de ne pas voir, qui met en lumière un personnage, un lieu, une action. choisir un détail ou un moment du récit en lui donnant une existence visuelle,Grâce aux jeux d'éclairage à la volonté de l'auteur, nous pouvons distinguer trois utilisations des notions d'ombres et de lumière. l'ombre renvoie l'imagination et ce qu'on ne voit pas, et c'est pour cela qu'elle est inquiétante, et mystérieuse. La nuit, pleine d'ombre, protège l'homme mauvais de la lumière et lui permet de relâcher ses pulsions néfastes. La nuit est alors opposée au jour dans le sens où l'on fait la nuit ce que l'on n'ose pas ou ce que l'on ne peut pas faire de jour  et la lumière renvoie au positif, à la vie et à l'espoir, utilisant l'ombre et la lumière, Le même enchevêtrement de l'ombre et la lumière est présent chez les deux auteurs, ce qui révèle un même souci de la représentation de la subtilité et de l’ambiguïté de l'homme. Cela donne ainsi plus de poids sur lequel se fonde son recueil.
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bonjour, a corriger svpCreo que el conflicto es el resultado de un política inapropiada.¿ La inmigración enriquece o empobrece un país? Este es un tema demasiado importante y demasiado complejopara que no nos dejemos llevar por nuestros pensamientos. De hecho, para mí la inmigración presenta ventajas y desventajas, y entonces cada uno de nosotros vive junto a esta inmigración según su experiencia propia de la vida. La inmigración no es una amenaza o un problema, porque es y ha sido siempre un beneficio, ¡es principalmente la mentalidad la que necesita evolucionar! Los inmigrantes no son nuestros enemigos, debemos aprovechar sus conocimientos para enriquecernos. En su artículo publicado en El País, Carlos Fuentes reacciona y contesta al universitario Huntington que ha publicado un ensayo muy polemista sobre las civilizaciones. En éste, Huntington explica que los inmigrantes mexicanos son una plaga para los Estados Unidos, con una visión muy despectiva y alarmista de los inmigrantes y de la inmigración en general. Huntington presenta a los latinoamericanos y mexicanos como una raza defectuosa e inferior que empobrece EEUU y los quiere invadir y colonizar hasta hacer desaparecer a los estadounidenses por completo. La teoría alarmista y racista de Huntington menciona el empleo y el idioma como argumentos para defender su teoría.Yo no comparto la opinión del universitario sobre los migrantes, primero porque no creo que los occidentales sean superiores a los otros hombres, y luego porque para mí somos todos iguales, pero no tenemos las mismas oportunidades. Además me parece lógico que una persona vaya a vivir donde pueda encontrar empleo, para alimentar y cuidar su familia. Por fin, su teoría sobre la invasión planeada por los mexicanos me parece tan ridícula como exagerada.Para concluir, me parece importante luchar contra los que quieren generalizar sus visiones racistas y xenófobas del mundo, y comparto la indignación visible de Fuentes en su texto.
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Bonsoir c a corriger svpUne première partie qui peut aller de la fin du XIXe siècle à 1945 et qui explique en quoi et pourquoi la France a été un pays d’immigration précoce et massive jusqu’à la crise des années trente.Première partie : La France, pays d’immigration précoce jusqu’à la crise des années trente. Les années 1880-1930 correspondent à la première phase d’immigration majeure en France. La France est le premier pays d’immigration d’Europe jusqu’à la Première Guerre mondiale, elle est même le premier du monde dans les années vingt au moment où les États-Unis ferment leurs frontières. La France compte 3 millions d’étrangers en 1930, autant en pourcentage qu’aujourd’hui. Cette situation est due à deux facteurs majeurs. La faible croissance démographique, aggravée par les pertes de la Guerre de 14-18 : l’immigration répond aux besoins de population active du pays, il s’agit donc principalement d’une immigration de travail. Le régime républicain et sa législation favorable à l’acquisition de la nationalité française : le droit du sol et la réputation de la France comme patrie des droits de l’homme font du pays une terre d’asile. Les flux de main d’oeuvre ou de réfugiés sont principalement d’origine européenne. L’apport de ces migrants à la société française est multiple : outre leur rôle économique, ils participent aux deux guerres mondiales et à la diversité culturelle du pays. Ce qui n’empêche pas les tensions entre les immigrés et le reste de la population, particulièrement dans les périodes de crises économiques, durant la Grande dépression (1873-1895) et plus encore lors de la crise des années trente qui déclenche un durcissement de la politique migratoire et le renvoi d’immigrés dans leur pays. Le régime de Vichy (1940-1944), rompt quant à lui avec les principes républicains, en adoptant une législation antisémite et xénophobe.Une deuxième partie couvrant la période des Trente Glorieuses, de 1945 à 1975,correspondant à la deuxième phase d’immigration massive en France.Les Trente Glorieuses (1945-1975), deuxième phase d’immigration massive. Les années cinquante-soixante, années de forte croissance économique et d’arrivée des classes creuses d’avant-guerre en âge d’activité, sont marquées par une forte reprise de l’immigration de main d’oeuvre. A nouveau, les immigrés jouent un rôle majeur dans l’expansion économique du pays. L’État encourage ces entrées par une politique active de recrutement dans les pays de départ avec la création d’un Office national de l’Immigration (1945) qui planifie et organise l’immigration en France. La différence avec la première phase d’immigration importante est dans l’origine de ces migrants. Les européens sont désormais moins nettement majoritaires (60% encore en 1970), les flux en provenance d’Afrique - du Nord ou subsaharienne - et de Turquie progressent fortement. Si les immigrés européens s’intègrent facilement, ces nouveaux migrants africains ou turcs, de religion musulmane, faiblement qualifiés et cantonnés dans des quartiers périphériques s’intègrent plus difficilement.une troisième, des années 1970 à nos jours, marquée au contraire par le ralentissement et le contrôle des flux migratoires.Depuis les années soixante-dix, une immigration ralentie et contrôlée. La crise économique et le chômage de masse des années soixante-dix/quatre-vingt-dix débouchent sur des politiques migratoires et d’acquisition de la nationalité plus restrictives. Les flux migratoires diminuent sans s’interrompre : à une petite immigration de main d’oeuvre et de refuge qui se poursuit s’ajoutent à partir de 1976, les effets du regroupement familial (entrée légale des familles de travailleurs immigrés déjà installés pour favoriser leur intégration). En réalité, l’immigration devient plus complexe. Dans le contexte de la mondialisation les flux se diversifient à l’extrême et deviennent plus difficilement contrôlables entraînant l’essor de l’immigration clandestine. En revanche la création de l’espace Schengen fluidifie les flux entre pays de l’UE et favorise ainsi les entrées de ressortissants européens. Mais cette dernière phase de notre histoire migratoire est surtout marquée par le débat ouvert au sein de la société française sur la question de l’immigration et la place des étrangers. Ce débat s’est particulièrement focalisé sur la question des banlieues qui paraissent concentrer les effets de la crise – chômage, précarité, violence, repli communautaire – et illustrent ainsi la panne du modèle français d’intégration.
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Sujet, problématique et plan ?c'est a corriger merciLe sujet correspond à peu près à l’intitulé de l’étude du thème consacrée à « l’immigration et la société française au XXe siècle ». Il ne faut pas pour autantreproduire le cours intégralement mais en réorganiser les éléments pour qu’ils répondentde manière cohérente et ordonnée au sujet. Il s’agit ici de montrer les caractéristiques etl’évolution de l’immigration en France et la place des immigrés dans la société française,la France ayant une situation originale en matière de migrations par rapport à ses voisins,puisqu’elle a été un pays d’immigration précoce, dès la fin du XIXe siècle – à un moment oùla quasi-totalité des pays européens étaient des pays d’émigration - et le premier en Europejusqu’au début des années trente.IntroductionLa France est le plus ancien pays d’immigration d’Europe. L’impact de ces migrants sur la démographie et la société françaises a été considérable. Cependant cette immigration n’a pas suivi une évolution linéaire, les flux d’immigrés ont fluctué en fonctionde la conjoncture économique et des politiques migratoires comme ont pu varier les réactions suscitées par ces nouveaux arrivants dans la population française. La France a connu une première période d’immigration importante de la fin du XIX° siècle au début des années trente avant que la crise et la guerre ne stoppent les flux et, parfois, les inversent. Elle a bénéficié d’une deuxième phase d’immigration massive durant les Trente Glorieuses marquée par la croissance et l’ouverture des frontières, avant de subir un nouveau ralentissement et de nouvelles tensions liées à ces questions depuis la crise des années soixante-dix- quatre-vingt.
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