Bonjour, j'ai besoin d'aide pour un devoir d'histoire sur : " L’Union européenne et la France dans la mondialisation " S'il vous plait. Merci d'avance au réponde
Après avoir passé en revue ce qu'il appelle l'Union européenne et l'option euro-atlantique dans les tendances de la politique étrangère française depuis l'époque de De Gaulle à l'ombre du général, il souligne que la France devrait poursuivre sa propre politique étrangère et de défense à l'ère de la mondialisation. Une politique qui affirme la protection de ses propres intérêts tout en continuant à être occidentale, alliée aux États-Unis et également européenne.
Pour ce qui est des relations avec les États-Unis, Hubert Védrine utilise l'expression suivante, qui peut résumer sa vision de ce que devrait être la politique de la France: "Amis et alliés, sans parti pris". Ainsi, des points possibles de "débat" avec les États-Unis au cours de la période à venir déterminent la possibilité d'une action militaire unilatérale des États-Unis contre l'Iran,
Accélérer le projet de bouclier antimissile américain en Pologne et en République tchèque sans discussion suffisante et sans prêter attention au ressentiment russe, aux propositions russes et aux questions européennes. Les Américains ont demandé au président Sarkozy, en tant qu'ami, de fournir une aide que la France ne voulait pas en Irak, en Afghanistan ou dans toute autre région.
La politique de la France à l'égard du monde arabe et de l'Afrique comporte quelques pages à la fin du livre. Vedrine pense que l'abandon de "la politique arabe de la France" pourrait être une concession inutile à une partie de la presse américaine et de la droite israélienne. Ce qui importe, c’est de rendre cette politique plus "claire" et de "reformuler" afin de tenir compte du fait qu’il n’est pas possible d’adopter une politique unique à l’égard du monde arabe "divisé" dans son ensemble, mais plutôt d’adopter une politique de "spécificité" avec chaque pays.
Fedrin estime que les relations de la France avec le monde arabe devraient être mises à l'épreuve dans le cadre d'un "partenariat pour la modernisation politique et économique" dans lequel les pays arabes ont le rôle de "plus grands partenaires" que de "l'impasse Moyen-Orient".
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Après avoir passé en revue ce qu'il appelle l'Union européenne et l'option euro-atlantique dans les tendances de la politique étrangère française depuis l'époque de De Gaulle à l'ombre du général, il souligne que la France devrait poursuivre sa propre politique étrangère et de défense à l'ère de la mondialisation. Une politique qui affirme la protection de ses propres intérêts tout en continuant à être occidentale, alliée aux États-Unis et également européenne.
Pour ce qui est des relations avec les États-Unis, Hubert Védrine utilise l'expression suivante, qui peut résumer sa vision de ce que devrait être la politique de la France: "Amis et alliés, sans parti pris". Ainsi, des points possibles de "débat" avec les États-Unis au cours de la période à venir déterminent la possibilité d'une action militaire unilatérale des États-Unis contre l'Iran,
Accélérer le projet de bouclier antimissile américain en Pologne et en République tchèque sans discussion suffisante et sans prêter attention au ressentiment russe, aux propositions russes et aux questions européennes. Les Américains ont demandé au président Sarkozy, en tant qu'ami, de fournir une aide que la France ne voulait pas en Irak, en Afghanistan ou dans toute autre région.
La politique de la France à l'égard du monde arabe et de l'Afrique comporte quelques pages à la fin du livre. Vedrine pense que l'abandon de "la politique arabe de la France" pourrait être une concession inutile à une partie de la presse américaine et de la droite israélienne. Ce qui importe, c’est de rendre cette politique plus "claire" et de "reformuler" afin de tenir compte du fait qu’il n’est pas possible d’adopter une politique unique à l’égard du monde arabe "divisé" dans son ensemble, mais plutôt d’adopter une politique de "spécificité" avec chaque pays.
Fedrin estime que les relations de la France avec le monde arabe devraient être mises à l'épreuve dans le cadre d'un "partenariat pour la modernisation politique et économique" dans lequel les pays arabes ont le rôle de "plus grands partenaires" que de "l'impasse Moyen-Orient".