Bonjour je y arrive pas pouvez vous aidez sil vous plait merci d'avance

(je le repost car c important)

III. Expression écrite (15 points) Pour conclure ce devoir, effectue un travail d’expression écrite. Voici le sujet : Imagine une nouvelle farce que Brasse-Bouillon, aidé de ses frères, pourrait faire à sa mère.

Ton récit devra faire trente lignes minimum. Voici les consignes à respecter :

1.Respecte les personnages du roman (noms et traits de caractère).

2. Emploie la première personne, comme si tu étais le narrateur.

3. Emploie principalement le passé simple de l’indicatif dans ton récit.

4. Le récit de la farce devra être bien construit : chaque étape de la farce devra être marquée par un nouveau paragraphe et être racontée de façon détaillée.

5. Décris les sentiments qu’éprouve Brasse-Bouillon.

6. Emploie deux figures de style au choix : hyperbole, énumération, gradation (souligne-les et nomme-les dans la marge de ton expression écrite).

7. Soigne ton orthographe et la correction de la langue (toutes les phrases comportent au moins un sujet et un verbe ; les groupes nominaux sont bien accordés ; les verbes sont bien conjugués et accordés ; les phrases sont bien ponctuées).

8. Pense à te relire en suivant la méthode proposée dans la dernière séance, cela te permettra de corriger tes erreurs.

Voici le roman :

Ainsi tu t’es toi-même prêtée à notre jeu. Tu ne pouvais pas ne plus t’y prêter. Et puis,

ça ne te déplaît pas, ma tendre mère ! Au dîner, en silence, voilà le bon moment. Rien à

dire. Tu ne me prendras pas en défaut. J’ai les mains sur la table. Mon dos n’offense pas la chaise.

Je suis terriblement correct. Aucune faille légale dans mon attitude

Je peux te regarder fixement, Folcoche, c’est mon droit. Je te fixe donc, je te fixe éperdument. Je ne fais que cela de te fixer.

Et je te parle en moi. Je te parle et tu ne m’entends pas.Je te

dis : « Folcoche ! Regarde-moi donc, Folcoche, je te cause ! » Alors ton regard se lève de

dessus tes nouilles à l’eau, ton regard se lève comme une vipère et se balance, indécis,

cherchant l’endroit faible qui n’existe pas. Non, tu ne mordras pas, Folcoche ! Les vipères,

ça me connaît. Je m’en fous, des vipères. Tu as dit toi-même, un jour, devant moi, que,

tout enfant, j’en avais étranglé une... « Une faute impardonnable de ma belle-mère, sifflais-tu, un manque inouï de surveillance ! Cet enfant a été l’objet d’une grande grâce ! »

Et, ce disant, le ton de ta voix reprochait cette grâce au Ciel.

Mais ton regard est entré dans le mien et ton jeu est entré dans mon jeu. Toujours en

silence, toujours infiniment correct comme il convient, je te provoque avec une grande

satisfaction. Je te cause, Folcoche, m’entends-tu ? Oui, tu m’entends
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