Bonjour pourriez vous m'aider LE CONDITIONNEL
1) Réécrivez le texte ci-dessous en commençant par «Celui qui aurait pour charge de
défendre le gué serait....)
Celui qui avait pour charge de défendre le gué fut le premier à porter un coup à son adversaire
et il le frappa avec une violence telle que sa lance vola en éclats ; mais ce dernier riposte avec
tant de vigueur qu'il l'envoie valser les quatre fers en l'air au milieu du gué où il est vite
recouvert par les eaux. Après quoi l'auteur de cet exploit revint vers la rive où il mit pied à terre
car il se sentait de taille à mettre en fuite devant lui cent adversaires. Il tire du fourreau son
épée d'acier pendant que l'autre se remet sur pied et dégaine à son tour une solide épée bien
luisante. Ils se ruent au corps à corps.
Lancelot ou le chevalier à la charrette, Chrétien de TROYES
1) Réécrivez le texte ci-dessous en commençant par «Celui qui aurait pour charge de
défendre le gué serait....)
Celui qui avait pour charge de défendre le gué fut le premier à porter un coup à son adversaire
et il le frappa avec une violence telle que sa lance vola en éclats ; mais ce dernier riposte avec
tant de vigueur qu'il l'envoie valser les quatre fers en l'air au milieu du gué où il est vite
recouvert par les eaux. Après quoi l'auteur de cet exploit revint vers la rive où il mit pied à terre
car il se sentait de taille à mettre en fuite devant lui cent adversaires. Il tire du fourreau son
épée d'acier pendant que l'autre se remet sur pied et dégaine à son tour une solide épée bien
luisante. Ils se ruent au corps à corps.
Lancelot ou le chevalier à la charrette, Chrétien de TROYES
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Bonjour,
Le conditionnel se construit ainsi :
➡️ radical du futur + terminaison à l'imparfait
Celui qui aurait pour charge de défendre le gué serait le premier à porter un coup à son adversaire et il le frapperait avec une violence telle que sa lance volerait en éclat ; mais ce dernier riposterait avec tant de vigueur qu'il l'enverrait valser les quatre fers en l'air au milieu du gué où il serait vite recouvert par les eaux.
Après quoi l'auteur de cet exploit reviendrait vers la rive où il mettrait pied à terre car il se sentirait de taille à mettre en fuite devant lui cent adversaires. Il tirerait du fourreau son épée d'acier pendant que l'autre se remettrait sur pied et degainerait à son tour une solide épée bien luisante. Ils se rueraient au coprs à corps.
Bonne journée !