Bonjour pourriez vous m'aider pour les question de 1 à 9. Merci beaucouo a tous ceux qui m'aideront car j'en ai vraiment besoin et c'est urgent
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bauduinsarah
1) Le titre "MON enfance" possession elle LUI appartient le "Je" présent dans toute la chanson et pronom "me" qui fait référence au chanteur-auteur Et certains épisodes de sa vie sont très détaillés : "L'hiver j'étais au ventre De la grande maison Qui avait jeté l'ancre Au nord parmi les joncs L'été à moitié nu Mais tout à fait modeste Je devenais indien"
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bauduinsarah
De plus sa famille est très proche : ils ont des réunions de famille à priori : de ces ronds de famille
bauduinsarah
b. Sa famille à donc l'air très casanière, elle ne veut pas partir découvrir le monde ce qui est pour le petit garçon très frustrant : j'avais l'il du berger mais le cur de l'agneau et "Les hommes au fromage S'enveloppaient de tabac Flamands taiseux et sages Et ne me savaient pas Moi qui toutes les nuits Agenouillé pour rien Arpégeais mon chagrin Au pied du trop grand lit Je voulais prendre un train Que je n'ai jamais pris"
bauduinsarah
4) Le monde des adultes semble ennuyeux (et pas ennuyant !!!!!!!) et absolument prosaïque : ils sont dans une routine interminable, ils restent chez eux ne bougent pas, ne voyagent pas restent coincés en quelques sorte dans le petit monde et leur confort
bauduinsarah
Mais ils sont quand même sensibles : Je m'étonnais surtout D'être de ce troupeau Qui m'apprenait à pleurer
bauduinsarah
Essaye de faire le reste seul avec le thème du voyage et le thème lyrique tu peux déjà biena avncer, il faut essayer de travailler par toi même !
bauduinsarah
et pense à rédiger un peu plus les questions qui valent plus de points !
suleymaslan68
Ok merci beaucoup tu ma vraiment aider merci
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le "Je" présent dans toute la chanson et pronom "me" qui fait référence au chanteur-auteur
Et certains épisodes de sa vie sont très détaillés :
"L'hiver j'étais au ventre
De la grande maison
Qui avait jeté l'ancre
Au nord parmi les joncs
L'été à moitié nu
Mais tout à fait modeste
Je devenais indien"
S'enveloppaient de tabac
Flamands taiseux et sages
Et ne me savaient pas
Moi qui toutes les nuits
Agenouillé pour rien
Arpégeais mon chagrin
Au pied du trop grand lit
Je voulais prendre un train
Que je n'ai jamais pris"
D'être de ce troupeau
Qui m'apprenait à pleurer