Bonjour pouvez-vous m’aider à mon exercice merci d’avance
Réécrivez ce poème à l’imparfait et en mettant vieillard au pluriel
Dans les terres, de nuit baignées, je contemple, ému, les haillons d’un vieillard qui jette à poignée la moisson future aux sillons. Sa haute silhouette noire domine les profonds labours. On sent à quel point il doit croire à la fuite utile des jours. Il marche dans la plaine immense, Vas, vient, Lance la graine ou loin, rouvre sa main, et recommence, et je médite, obscur témoin. Pendant que, Déployant ses voiles, L’ombre, ou se mêle une rumeur, semble élargir jusqu’aux étoiles le geste Auguste du semeur
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guilletanaellep7ccek
Dans les terres, de nuit baignées, je contemplais, ému, les haillons de vieillards qui jetaient à poignée la moisson future aux sillons. Leurs silouettes noires dominaient les profonds labours. On sent à quel point ils devaient croire à la fuite utile des jours. Ils marchaient dans la plaine immense, venais, venaient, lançaient la graine ou loin, touchaient leurs mains, et recommencaient, et je méditais, obscur témoin. Pendant, que déployant leurs voiles, l'ombre, où se mêlaient des rumeurs, semblaient élargir jusqu'aux étoiles le geste Auguste du Semeur
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Leurs silouettes noires dominaient les profonds labours.
On sent à quel point ils devaient croire à la fuite utile des jours. Ils marchaient dans la plaine immense, venais, venaient, lançaient la graine ou loin, touchaient leurs mains, et recommencaient, et je méditais, obscur témoin.
Pendant, que déployant leurs voiles, l'ombre, où se mêlaient des rumeurs, semblaient élargir jusqu'aux étoiles le geste
Auguste du Semeur