Bonjour pouvez vous m'aider svp 5) Cherchez dans le poème tous les éléments qui peuvent sembler ambigus a cause de la disparition de la ponctuation ( Exemple : dans la première strophe, le sens est différent si l'on imagine un point où une virgule après "Seine".) EXPLIQUÉ.
Et nos amours (doit être relié au vers suivant pour l'interrogation mais on aurait pu penser qu'il se reliait au vers précédent à l'oral mais bouge prouve qu'il est relié au suivant)
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l’onde si lasse
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente (peut être relié au vers précédent ou au vers suivant)
Et comme l’Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913
Explications :
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lyanab66100
pouvez vous m'aider pour mes autres questions svp
lyanab66100
selon vous le poète rend il un véritable hommage au sentiments amoureux
rrrrr22444
Bonjour nioget j'espère que vous allez bien. je voudrais savoir si vous pouvez m'aider dans mon devoir svp en Français :. voici le lien :https://nosdevoirs.fr/devoir/4779244
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Réponse :
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours (doit être relié au vers suivant pour l'interrogation mais on aurait pu penser qu'il se reliait au vers précédent à l'oral mais bouge prouve qu'il est relié au suivant)
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l’onde si lasse
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente (peut être relié au vers précédent ou au vers suivant)
Et comme l’Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913
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