Bonjour quelqu’un peut corriger ma rédaction je suis nul en français.
Bien souvent, il m’arrive de remonter dans le temps par la pensée, je me souviens de certains événements. aujourd’hui j’ai grandis et compris.
J’avais huit ans la première fois que je vous ais vu , mon père m’emmena au dépôt de bois. Puis je vous vois, les yeux vers le soleil alors que le regard de tous le monde était rivés sur moi. J’espérais de capter votre attention avec tous mes tours de balle, mais non vous aviez toujours les yeux au soleil. Après avoir abandonnée, j’entends le son de votre voix. Vous me tendis votre bras pour me donner trois pommes que j’accepte. A la nuit tombée je me glissais dans mon lit avec un gros sourire en pensant à ce moment. Au cours des jours on s’est rapproché, vous mangiez tous ce que je vous donner allant jusqu’à des cerises avec les noyaux à une souris. Vous étiez parti aussi vite que vous êtes venu et depuis je vous ais jamais revue.
Bien souvent, il m’arrive de remonter dans le temps par la pensée, je me souviens de certains événements. aujourd’hui j’ai grandis et compris.
J’avais huit ans la première fois que je vous ais vu , mon père m’emmena au dépôt de bois. Puis je vous vois, les yeux vers le soleil alors que le regard de tous le monde était rivés sur moi. J’espérais de capter votre attention avec tous mes tours de balle, mais non vous aviez toujours les yeux au soleil. Après avoir abandonnée, j’entends le son de votre voix. Vous me tendis votre bras pour me donner trois pommes que j’accepte. A la nuit tombée je me glissais dans mon lit avec un gros sourire en pensant à ce moment. Au cours des jours on s’est rapproché, vous mangiez tous ce que je vous donner allant jusqu’à des cerises avec les noyaux à une souris. Vous étiez parti aussi vite que vous êtes venu et depuis je vous ais jamais revue.
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Bonjour
Correction :
Bien souvent, il m’arrive de remonter dans le temps par la pensée, je me souviens de certains événements. aujourd’hui j’ai grandi et j'ai compris.
J’avais huit ans la première fois que je vous ai vu, mon père m’avait emmenée au dépôt de bois. Je vous y ai vu, vos yeux dirigés vers le soleil alors que tous les autres regards étaient rivés sur moi. J’espérais capter votre attention avec tous mes tours de balle, mais non, vos yeux fixaient toujours le soleil. Après avoir abandonné, j’entendis le son de votre voix. Vous me tendiez votre bras pour me donner trois pommes que j’ai acceptées. A la nuit tombée, je me glissai dans mon lit avec un gros sourire en pensant à ce moment. Au cours des jours, nous nous sommes rapprochés, vous mangiez tout ce que je vous donnais allant des cerises avec leurs noyaux jusqu'à même une souris crue. Vous êtes parti aussi vite que vous êtes venu et depuis je ne vous ai jamais revu.