Réécris ce passage en remplaçant « je » (pronom personnel de la première personne du singulier) par « elle » (pronom personnel de la troisième personne du singulier au féminin) « J'ai été puni un jour : c'est, je crois, pour avoir roulé sous la poussée d'un grand, entre les jambes d'un petit pion qui passait par là, et qui est tombé derrière par-dessus tête ! [...] Il m'a mis aux arrêts ; - il m'a enfermé lui-même dans une étude vide. » (Jules Vallès, L'Enfant, 1879) Mettez le texte au passé et remplacez M. Brulé par « les maîtres ». M. Brulé nous attend, la blouse bien sanglée, les mains dans le dos,les lunettes déjà méfiantes sur le nez. On entre un par un. La salle de classe attend dans une pénombre bleutée. On dirait une chapelle. Lemaître a tiré les grands rideaux. Il ne faut pas qu'il y ait le moindre morceau de ciel pour nous distraire. (Daniel Picouly, le Champ de Personne.)
Réécris ce passage en remplaçant « je » (pronom personnel de la première personne du singulier) par « elle » (pronom personnel de la troisième personne du singulier au féminin)
« Elle a été punie un jour : c'est, je crois, pour avoir roulé sous la poussée d'un grand, entre les jambes d'un petit pion qui passait par là, et qui est tombé derrière par-dessus tête ! [...] Elle m'a mis aux arrêts ;
- Elle m'a enfermé elle-même dans une étude vide. » (Jules Vallès, L'Enfant, 1879) .
Mettez le texte au passé et remplacez M. Brulé par « les maîtres ».
Les maîtres nous attendaient, la blouse bien sanglée, les mains dans le dos, les lunettes déjà méfiantes sur le nez. On entra un par un. La salle de classe attendait dans une pénombre bleutée. On aurait dit une chapelle. Le maître a tiré les grands rideaux. Il ne fallait pas qu'il y ait le moindre morceau de ciel pour nous distraire. (Daniel Picouly, le Champ de Personne.)
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moizeee
Bonjour peut tu m'aider sous mon dernier post s'il te plaît personne ne veut ..me répondre !! :(
hggg
Elle a été punie un jour : c’est, elle croit, pour avoir roulé sous la poussée d’un grand, entre les jambes d’un petit pion qui passait par là, et qui est tombé derrière par-dessus tête ! Il lui a mis aux arrêts ; Il l’a enfermée lui-même dans une étude vise.
Les maîtres nous attendaient, leurs blouses bien sanglées, leurs mains dans le dos, leurs lunettes déjà méfiantes sur le nez. On entra un par un. La salle de classe attendait dans une pénombre bleutée. On aura dit une chapelle. Les maîtres avaient tiré les grands rideaux. Il ne fallait pas qu’il y ait le moindre morceau de ciel pour nous distraire.
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Bonjour,
Réécris ce passage en remplaçant « je » (pronom personnel de la première personne du singulier) par « elle » (pronom personnel de la troisième personne du singulier au féminin)
« Elle a été punie un jour : c'est, je crois, pour avoir roulé sous la poussée d'un grand, entre les jambes d'un petit pion qui passait par là, et qui est tombé derrière par-dessus tête ! [...] Elle m'a mis aux arrêts ;
- Elle m'a enfermé elle-même dans une étude vide. » (Jules Vallès, L'Enfant, 1879) .
Mettez le texte au passé et remplacez M. Brulé par « les maîtres ».
Les maîtres nous attendaient, la blouse bien sanglée, les mains dans le dos, les lunettes déjà méfiantes sur le nez. On entra un par un. La salle de classe attendait dans une pénombre bleutée. On aurait dit une chapelle. Le maître a tiré les grands rideaux. Il ne fallait pas qu'il y ait le moindre morceau de ciel pour nous distraire. (Daniel Picouly, le Champ de Personne.)
d’un petit pion qui passait par là, et qui est tombé derrière par-dessus tête ! Il lui a mis aux arrêts ;
Il l’a enfermée lui-même dans une étude vise.
Les maîtres nous attendaient, leurs blouses bien sanglées, leurs mains dans le dos, leurs lunettes déjà méfiantes sur le nez.
On entra un par un. La salle de classe attendait dans une pénombre bleutée. On aura dit une chapelle.
Les maîtres avaient tiré les grands rideaux.
Il ne fallait pas qu’il y ait le moindre morceau de ciel pour nous distraire.