bonjour Reecris le passage en utilisant un vocabulaire pejoratif pour assombrir la journee stp J’aime ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois la Seine qui coule, le long de mon jardin, derrière la route, presque chez moi, la grande et large Seine qui va de Rouen au Havre, couverte de bateaux qui passent. À gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville aux toits bleus, sous le peuple pointu des clochers gothiques. Ils sont innombrables, frêles ou larges, dominés par la flèche de fonte de la cathédrale, et pleins de cloches qui sonnent dans l’air bleu des belles matinées, jetant jusqu’à moi leur doux et lointain bourdonnement de fer, leur chant d’airain que la brise m’apporte, tantôt plus fort et tantôt plus affaibli, suivant qu’elle s’éveille ou s’assoupit. Comme il faisait bon ce matin !
Réécris le passage en utilisant un vocabulaire péjoratif pour assombrir la journée :
Je n’aime pas ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois des immeubles qui se construisent, le long de mon parking, derrière la route, presque chez moi, les plaques d'égout qui dégagent des odeurs nauséabondes.
À gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville polluée et engluée, bordée par une autoroute interminable. Les camions qui circulent y sont innombrables, cernés par des semblants d'espaces verts mal entretenus qui dominent dans l’air pollué des tristes matinées, jetant jusqu’à moi cette pluie incessante, ces rues sales, son air lugubre, ainsi que l'amabilité bien cachée de ses habitants.
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Bonjour,
Réécris le passage en utilisant un vocabulaire péjoratif pour assombrir la journée :
Je n’aime pas ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois des immeubles qui se construisent, le long de mon parking, derrière la route, presque chez moi, les plaques d'égout qui dégagent des odeurs nauséabondes.
À gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville polluée et engluée, bordée par une autoroute interminable. Les camions qui circulent y sont innombrables, cernés par des semblants d'espaces verts mal entretenus qui dominent dans l’air pollué des tristes matinées, jetant jusqu’à moi cette pluie incessante, ces rues sales, son air lugubre, ainsi que l'amabilité bien cachée de ses habitants.