Bonjour,pourriez vous m'aidez pour ma rédaction voici le sujet: Il arrive souvent qu'on se méfie des gens qu'on ne connaît pas et même qu'on en ait peur. Vous rapporterez un dialogue entre deux élèves de votre classe (vous pouvez être un des deux) dans lequel l'un des deux défendra l'idée qu'il est bon d'accueillir des étrangers, des personnes différentes et même des personnes handicapées. L'autre donnera des arguments opposés. Ce dialogue s'insérera dans un récit. Dans l'introduction, vous évoquerez rapidement l'arrivée d'un « nouveau » (ou d'une nouvelle) qui fut à l'origine de la discussion. Dans la conclusion, vous direz comment les deux protagonistes se séparent. Vous respecterez les règles qui permettent de rapporter des paroles directement.Merci d'avance :)
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Aelisse
Le matin, le professeur était entré suivi d'un nouveau. Il avait dit que celui-ci s'appelait X (choisir un nom), et qu'il fallait être sympas avec lui. Sympas, sympas, je veux bien moi, mais on le connaît pas! Il a aussi rajouté que X avait des appareils pour mieux entendre, qu'il avait des problèmes d'audition. Nous avons eu une heure de permanence après ça. Le surveillant en était à sa cinquième heure, il nous laissa discuter, mais pas trop fort bien sûr. Avec mon ami, qui était dans ma classe, nous étions calmes, mais on s'enflammait vite. D'où le mots quotidien dans le carnet. Je me tournais vers lui et commençais: "T'en penses quoi, du nouveau? - Ah, X? - Ouais, dis-je - Il a l'air... différent de nous. Je suis pas sûr de m'entendre avec lui. - Bah faudrait qu'on lui parle pour savoir s'il est différent. - Bah vas-y toi, ose! - Ouais mais.. C'est vrai, c'est pas facile. Mais ça fait du bien de voir une nouvelle tête dans la classe en tout cas. - Parle pour toi. Moi, je préfère qu'on reste entre nous, on se connaît au moins. Lui, on le connaît pas, donc j'irai pas le voir. - Mais, objectais-je, on ne se connaissais pas non plus avant de nous rencontrer. - Ouais, peut-être, mais toi je sentais qu'on pouvait être amis. Lui, non. - Et s'il avait pas eu le problème à ses oreilles, tu aurais fais quoi? - Bah... Je suppose que je l'aurais mieux senti. - Donc, en fait, tu dis que ceux qui sont différents devraient pas venir ici? - Non, c'est pas ça! C'est juste que..." Le surveillant était devant nos tables, l'air mécontent: "Si je vous ai permis de bavarder, ce n'est pas une raison pour parler aussi fort, messieurs, donc calmez-vous ou je vous sépare. - Oui, monsieur, dîmes-t-on en chœur." Il s'éloigna, recadrant d'autres élèves bavardant. Il fallait nous comprendre, c'était le vendredi, la dernière heure avant de rentrer, nous avions hâte! Je repris là où on en était: "Moi, je dis que tu devrais être plus ouvert, on apprend beaucoup de ceux qui sont différents. - Mais ils me rendent mal à l'aise, j'ai peur de leur réaction si je leur parle. - C'est juste ça? On lui parlera, au nouveau, demain. - Tu lui parleras tout seul alors.. - Tu te rends compte que tu me parles? - Euh, oui, pourquoi? - Tu me parles, continuais-je, et je suis différent, moi aussi. - Mais non, c'est pas pareil. - En quoi c'est pas pareil? Il n'entend pas bien, je suis albinos. Nous sommes différents. Mais c'est ça qui fait qu'on s'ouvre au monde. - Ouais, c'est pas faux.. - Donc, on ira lui parler demain? - Pff.. Si tu veux, termina-t-il" L'heure finissait tranquillement, nous nous séparâmes en nous disant à demain, j'avais hâte!
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Aelisse
Ton devoir de français? C'est à dire, c'est pas celui-là?
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Nous avons eu une heure de permanence après ça. Le surveillant en était à sa cinquième heure, il nous laissa discuter, mais pas trop fort bien sûr. Avec mon ami, qui était dans ma classe, nous étions calmes, mais on s'enflammait vite. D'où le mots quotidien dans le carnet. Je me tournais vers lui et commençais:
"T'en penses quoi, du nouveau?
- Ah, X?
- Ouais, dis-je
- Il a l'air... différent de nous. Je suis pas sûr de m'entendre avec lui.
- Bah faudrait qu'on lui parle pour savoir s'il est différent.
- Bah vas-y toi, ose!
- Ouais mais.. C'est vrai, c'est pas facile. Mais ça fait du bien de voir une nouvelle tête dans la classe en tout cas.
- Parle pour toi. Moi, je préfère qu'on reste entre nous, on se connaît au moins. Lui, on le connaît pas, donc j'irai pas le voir.
- Mais, objectais-je, on ne se connaissais pas non plus avant de nous rencontrer.
- Ouais, peut-être, mais toi je sentais qu'on pouvait être amis. Lui, non.
- Et s'il avait pas eu le problème à ses oreilles, tu aurais fais quoi?
- Bah... Je suppose que je l'aurais mieux senti.
- Donc, en fait, tu dis que ceux qui sont différents devraient pas venir ici?
- Non, c'est pas ça! C'est juste que..."
Le surveillant était devant nos tables, l'air mécontent:
"Si je vous ai permis de bavarder, ce n'est pas une raison pour parler aussi fort, messieurs, donc calmez-vous ou je vous sépare.
- Oui, monsieur, dîmes-t-on en chœur."
Il s'éloigna, recadrant d'autres élèves bavardant. Il fallait nous comprendre, c'était le vendredi, la dernière heure avant de rentrer, nous avions hâte!
Je repris là où on en était:
"Moi, je dis que tu devrais être plus ouvert, on apprend beaucoup de ceux qui sont différents.
- Mais ils me rendent mal à l'aise, j'ai peur de leur réaction si je leur parle.
- C'est juste ça? On lui parlera, au nouveau, demain.
- Tu lui parleras tout seul alors..
- Tu te rends compte que tu me parles?
- Euh, oui, pourquoi?
- Tu me parles, continuais-je, et je suis différent, moi aussi.
- Mais non, c'est pas pareil.
- En quoi c'est pas pareil? Il n'entend pas bien, je suis albinos. Nous sommes différents. Mais c'est ça qui fait qu'on s'ouvre au monde.
- Ouais, c'est pas faux..
- Donc, on ira lui parler demain?
- Pff.. Si tu veux, termina-t-il"
L'heure finissait tranquillement, nous nous séparâmes en nous disant à demain, j'avais hâte!