1) Les deux poèmes mettent en évidence le lien entre l'amour et la mort. Ils expriment l'idée que l'amour peut être une source de souffrance intense, au point de causer une maladie presque mortelle. Dans le premier poème, le poète compare son amour à une maladie, et dans le deuxième, il affirme qu'il "trépasse" pour son amour, soulignant ainsi la notion de mourir d'amour.
2) Le premier poème fait écho au mythe antique de Perséphone, qui a été enlevée par Pluton et emmenée aux Enfers. L'image de la grenade évoque le fruit que Perséphone aurait mangé dans les Enfers, ce qui la retient captive. Cette image suggère que l'amour est à la fois captivant et destructeur, tout comme Perséphone est captivée par le fruit de la grenade.
3) Les antithèses dans le poème de Ronsard sont les suivantes :
- "Maintenant plein de froid, maintenant de chaleur" : Contraste entre le froid et la chaleur pour décrire les fluctuations de l'amour.
- "Yeux qui fîtes sur moi la première embuscade" : Contraste entre les yeux de l'être aimé qui sont à la fois une attaque (embuscade) et une source de désir.
- "Je n'ai artère, nerf, tendon, veine ni pouls" : Contraste entre l'absence de signes vitaux physiques et la fièvre continue de l'amour.
4) Dans le dernier tercet, Ronsard reprend la comparaison entre l'amour et la grenade en affirmant que les grains de l'amour (les sentiments amoureux) ont encore la force de retenir comme les grains de la grenade (le fruit de Perséphone). Cette comparaison suggère que même si l'amour peut être douloureux, il conserve sa force captivante et irrésistible.
5) Les deux derniers vers du poème de Ronsard disent : "Que de signe et d'effet vous ne connaissez point." Cette phrase signifie que l'amour est si puissant et complexe qu'il dépasse la compréhension humaine. Les signes et les effets de l'amour sont insondables et mystérieux, ce qui renforce l'idée de la puissance de l'amour.
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chloemendonca
mercii tu me sauve la vie et j'ai finalement compris se poeme
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Voici Les Réponses
1) Les deux poèmes mettent en évidence le lien entre l'amour et la mort. Ils expriment l'idée que l'amour peut être une source de souffrance intense, au point de causer une maladie presque mortelle. Dans le premier poème, le poète compare son amour à une maladie, et dans le deuxième, il affirme qu'il "trépasse" pour son amour, soulignant ainsi la notion de mourir d'amour.
2) Le premier poème fait écho au mythe antique de Perséphone, qui a été enlevée par Pluton et emmenée aux Enfers. L'image de la grenade évoque le fruit que Perséphone aurait mangé dans les Enfers, ce qui la retient captive. Cette image suggère que l'amour est à la fois captivant et destructeur, tout comme Perséphone est captivée par le fruit de la grenade.
3) Les antithèses dans le poème de Ronsard sont les suivantes :
- "Maintenant plein de froid, maintenant de chaleur" : Contraste entre le froid et la chaleur pour décrire les fluctuations de l'amour.
- "Yeux qui fîtes sur moi la première embuscade" : Contraste entre les yeux de l'être aimé qui sont à la fois une attaque (embuscade) et une source de désir.
- "Je n'ai artère, nerf, tendon, veine ni pouls" : Contraste entre l'absence de signes vitaux physiques et la fièvre continue de l'amour.
4) Dans le dernier tercet, Ronsard reprend la comparaison entre l'amour et la grenade en affirmant que les grains de l'amour (les sentiments amoureux) ont encore la force de retenir comme les grains de la grenade (le fruit de Perséphone). Cette comparaison suggère que même si l'amour peut être douloureux, il conserve sa force captivante et irrésistible.
5) Les deux derniers vers du poème de Ronsard disent : "Que de signe et d'effet vous ne connaissez point." Cette phrase signifie que l'amour est si puissant et complexe qu'il dépasse la compréhension humaine. Les signes et les effets de l'amour sont insondables et mystérieux, ce qui renforce l'idée de la puissance de l'amour.