Bonsoir, Pouvez-vous me corriger mes fautes d'orthographes, reformulez mes phrases ou apporter des idées supplémentaires? Texte: Les vagues Lors de mon dixième anniversaire, j’eus le plus beau cadeau que personne n’aurait pu me faire. Le matin même, nous quittions la capitale bruyante pour rejoindre la Normandie. Cela pourrait paraître surprenant mais je n’avais jamais vu la mer auparavant. Je ne connaissais que les images et les nombreux documentaires qui lui étaient consacrées. Les routes furent très embouteillées mais une bonne atmosphère familiale régnait dans la voiture. Nous riions et chantions les refrains des chansons émis par le poste de radio. Le temps était typique du nord de la France : très maussade. Aucuns rayons de soleil ne pouvaient percer l’épaisseur de nuages grisonnants qui envahissait le ciel. En début d’après-midi, nous arrivions enfin à destination. A peine la voiture arrêtée que je me précipitais vers le sable humide. L’odeur marine me chatouillait délicatement les narines tandis que le sable remplissait mes chaussures. J’escaladais péniblement la dune. Lorsque j’arrivai au sommet, je fus ébahi par le spectacle qui s’offrait à moi. Les vagues déchainées, transportant des algues venues du large, venaient se fracasser violemment contre les rochers dans un bruit de tonnerre. Le peu de surfeurs qui avaient osé s’aventurer sur l’océan, s’élançaient sur les vagues et accomplissaient des figures plus spectaculaires les unes que les autres. Certains chutaient de plusieurs mètres de haut, alors je retenais mon souffle et je me rassurais quand je les voyais remonter à la surface. Hypnotisé par la beauté de la mer, je me déchaussais et m’élançais promptement sur le sable humide afin de savourer la sensation de l’eau salée si souvent décrite dans les documentaires. Lorsque j’atteignis l’eau, un frisson parcourut mon corps. Mon rêve se réalisait enfin, la mer m’avait fait un accueille inoubliable. Malheureusement, nous rentrâmes à la fin de la journée mais je ne fus pas déçu d’avoir assisté à ce magnifique spectacle. Je repartais quand même avec un charmant coquillage en guise de souvenir.
Les vagues Lors de mon dixième anniversaire, j’ai eu le plus beau cadeau que personne nul ne m'aurait offert. Le matin même, nous quittions la capitale bruyante pour rejoindre la Normandie. Cela pourrait paraître surprenant mais je n’avais jamais vu la mer auparavant, je ne connaissais que les images et les nombreux documentaires qui lui étaient consacrées. Les routes furent très embouteillées, cependant une bonne atmosphère familiale régnait dans la voiture. Nous riions et chantions les refrains des chansons émises par le poste de radio. Le temps était typique du nord de la France, en l’occurrence très maussade. Aucun rayon de soleil ne pouvait percer l’épaisseur de nuages épais qui envahissaient le ciel. En début d’après-midi, nous arrivions enfin à destination. A peine la voiture arrêtée, je me suis précipitée vers le sable humide qui me chatouillait doucement les pieds. L’odeur marine enivrait délicatement mes narines tandis que le sable remplissait mes chaussures. J’escaladais péniblement la dune lorsque j’arrivai au sommet, je fus ébahi par le spectacle qui s’offrait à moi. Les vagues déchainées, transportant des algues venues du large, venaient se fracasser violemment contre les rochers dans un bruit de tonnerre. Les seuls surfeurs qui avaient osé s’aventurer sur l’océan, s’élançaient sur les vagues et accomplissaient des figures plus spectaculaires les unes que les autres. Certains chutaient de plusieurs mètres de haut, alors je retenais mon souffle et je me rassurais quand je les voyais remonter à la surface. Hypnotisé par la beauté de la mer, je me déchaussais et m’élançais promptement sur le sable humide afin de savourer la sensation de l’eau salée si souvent décrite dans les documentaires. Lorsque j’atteignis l’eau, un frisson parcourut mon corps, mon rêve se réalisait enfin, la mer m’avait fait un accueil inoubliable. Malheureusement, nous rentrâmes à la fin de la journée mais je ne fus pas déçu d’avoir pu profiter de ce magnifique spectacle. Je repartais quand même avec un charmant coquillage en guise de souvenir.
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Les vaguesLors de mon dixième anniversaire, j’ai eu le plus beau cadeau que personne nul ne m'aurait offert. Le matin même, nous quittions la capitale bruyante pour rejoindre la
Normandie. Cela pourrait paraître surprenant mais je n’avais jamais vu la mer auparavant, je ne connaissais que les images et les nombreux documentaires qui lui étaient consacrées. Les routes furent très embouteillées, cependant une bonne atmosphère familiale régnait dans la voiture. Nous riions et chantions les refrains des chansons émises par le poste de radio. Le temps était typique du nord de la France, en l’occurrence très maussade.
Aucun rayon de soleil ne pouvait percer l’épaisseur de nuages épais qui envahissaient le ciel. En début d’après-midi, nous arrivions enfin à destination. A peine la voiture arrêtée, je me suis précipitée vers le sable humide qui me chatouillait doucement les pieds. L’odeur marine enivrait délicatement mes narines tandis que le sable remplissait mes chaussures. J’escaladais péniblement la dune lorsque j’arrivai
au sommet, je fus ébahi par le spectacle qui s’offrait à moi. Les vagues déchainées,
transportant des algues venues du large, venaient se fracasser violemment
contre les rochers dans un bruit de tonnerre. Les seuls surfeurs qui avaient osé
s’aventurer sur l’océan, s’élançaient sur les vagues et accomplissaient des
figures plus spectaculaires les unes que les autres. Certains chutaient de
plusieurs mètres de haut, alors je retenais mon souffle et je me rassurais
quand je les voyais remonter à la surface. Hypnotisé par la beauté de la mer,
je me déchaussais et m’élançais promptement sur le sable humide afin de
savourer la sensation de l’eau salée si souvent décrite dans les documentaires.
Lorsque j’atteignis l’eau, un frisson parcourut mon corps, mon rêve se
réalisait enfin, la mer m’avait fait un accueil inoubliable. Malheureusement,
nous rentrâmes à la fin de la journée mais je ne fus pas déçu d’avoir pu profiter de
ce magnifique spectacle. Je repartais quand même avec un charmant coquillage en
guise de souvenir.