Dans les phrases
ci- dessous, relever les groupes, adjectivaux puis  indiquez pour 
chacun de ces groupes s'il s’agit  d’un  degré d’intensité ou d’un
degré de comparaison. Précisez ensuite le degré de comparaison ou le degré
d’intensité

1        
D’
abord le chef de famille, si peu digne de ce titre, notre père, Jacques Rezeau.


2        
Rien
n’est plus écœurant que le civet 
quotidien.


3        
 Tu te venges en réitérant le coup de
fourchette sur le dos de la main de Freddie, en choisissant l’endroit le  plus sensible,  a la jointure des doigts.


4        
 Tu n’es pas encore le  plus fort, mon garçon, dit-elle posément.


5        
 Revenir seul, c’est de la folie Paule ! 
protesta faiblement papa, aussi blanc que nous.


6        
 La haine est un levier plus puissant  que l’amour.


7        
 Mon grand- père était un homme extrêmement
droit et il allait droit au but.


8        
Il
était plutôt petit, très étroit de poitrine, un peu vouté.


 





Please enter comments
Please enter your name.
Please enter the correct email address.
You must agree before submitting.

Lista de comentários


More Questions From This User See All
identifier pour chacun de ces  texte quel type de progression thématiques vous avez pus  identifier. vous   justifier a chaque fois vos réponseTexte1) charlotte se définit par cette phrase ; elle a treize ans, ce qu’on appelle l’âge ingrat. Pour elle, les vacances s’annoncent sans charme ; elle va rester dans le petit village ou son père est artisan avant de l’accompagner dans le  Doubs. Elle s’ennuie et parfois, l’adolescente timide explose et passe sa mauvaise humeur sur son père, veuf et un peu dépassé, sur son frère, sur la bonne et même sur sa  copine lulu. Elle n’est ni  odieuse ni foncièrement méchante,  mais elle rêve d’autre chose, d’une autre vie Il y a 3 sortes de thématiques dans un texte: le thème constant, le thème linéaire ; et le thème éclaté, ou dérivéTexte2)    elle portait cet affreux petit sac en taffetas noir avec lequel les veilles femmes s’enveloppent l’occiput, et qui dépassait son bonnet de nuit relevé par des mouvements du sommeil. Ce  désordre donnait à cette tête  l’air menaçant que les peintres prêtent aux sorcières. Les tempes, les oreilles et la nuque, assez peu cachées, laissaient voir leur caractère aride et sec ; leurs rides âpres se recommandaient par des tons rouges peu agréables à œil et que faisait encore ressortir la couleur quasi blanche de la camisole nouée au cou par des cordons  vrillés. Les bâillements de cette camisole entr’ ouverte montraient une poitrine comparable à celle  d’une  vieille paysanne peu  soucieuse de sa  laideur.  Texte3)    l’homme était  impressionnant. «  Sa figure était d’un blanc sale, et son  crane ridé, dégarni de cheveux, avait une vague  ressemblance avec  un quartier de granit. Quelques mèches plates et grises, placées de chaque  côté de sa  tête, descendaient sur le collet de son habit crasseux et boutonné jusqu’au cou(…) sa  barbe était  longue. Sa  méchante cravate  noire tout usée, déchirée, laissait voir un cou protubérant, fortement sillonné. Composé de veines grosses comme  des cordes. Un large cercle brun, meurtri, se dessinait  sous chacun de ses yeux. »
Responda

Helpful Social

Copyright © 2025 ELIBRARY.TIPS - All rights reserved.