bonjour j'ai besoin d'aide svp 1) les vers de ce poème sont des alexandrins : séparé les 12 syllabes par un [ / ] et comptez-les au dessous. 2) observer le quatrième vers : quel est son rôle par rapport à ceux qui précèdent ? 3) observé le neuvième vers : que ouvre vous dire au sujet de sa construction ? Nommez cette figure de style. 4) le poète choisit de donner la parole aux enfants dans son poème : 4.a Montrez a quel moment précis du texte il le fais. 4.b a votre avis pourquoi fait il cela ? 5) relève deux champs lexicaux dominants et inscrivez pour chaque champs lexicaux au moins quatre. mots les composants. 6) Victor Hugo s'oppose t'il au travail en général? justifiée 7) diriez vous de ce poème qu'il est actuel ? 8) quel type de phrase dominant relevez vous dès vers 17 a 34 ? a votre avis pourquoi l'auteur a t il fait ce choix ? 9) "Éternellement" v.5 donnez nature et fonction de mot et expliquer sa formation. Merci d'avance pour votre aide.
6) Victor Hugo s'oppose t'il au travail en général? justifier
Non il s’oppose au travail des enfants qui est source de destruction pour eux, ils sont fragiles fiévreux, pâles, innocents et on leur enlève tout cela en les faisant travailler comme des adultes dans d'horribles souffrances
7) diriez-vous de ce poème qu'il est actuel ?
Il peut être actuel dans le sens où dans certains pays les enfants sont exploités et travaillent dans des conditions terribles et extrêmes
8) quel type de phrase dominant relevez-vous dès vers 17 à34 ? à votre avis pourquoi l'auteur a t il fait ce choix ?
Il y a des phrases exclamatives, puis des contradictions » Appolon bossu » qui montre la destruction de leur beauté, « Voltaire crétin » , même l’intelligence est détruite. C’est un véritable réquisitoire contre le travail des enfants
9) "Éternellement" v.5 donnez nature et fonction de mot et expliquer sa formation.
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Réponse :
bonjour
Explications :
voici des éléments pour t'aider dans ton travail
1) les vers de ce poème sont des alexandrins : séparé les 12 syllabes par un [ / ] et comptez-les au dessous.
Où /vont/ tous/ ces/ enfants/ dont/ pas/ un/ seul/ ne/
rit ?
Ces/ doux/ êtres/ pen/sifs /que /la /fiè/vre/ mai/grit ?
Ces/ filles /de/ huit/ ans/ qu'on/ voit/ che/mi/ner/ seules ?
Ils/ s'en/ vont /tra/vai/ller/ quinze/ heures/ sous/ des/ meu/les
Ils /vont/, de/ l'aube au/ soir/, faire é/ter/nel/le/ment
(j'ai fait le début je te laisse terminer...)
Dans la même prison le même mouvement.
Accroupis sous les dents d'une machine sombre,
Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre,
Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,
Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer.
Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue.
Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue.
Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las.
Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !
Ils semblent dire à Dieu : - Petits comme nous sommes,
Notre père, voyez ce que nous font les hommes !
Ô servitude infâme imposée à l'enfant !
Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant
Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, oeuvre insensée,
La beauté sur les fronts, dans les coeurs la pensée,
Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! -
D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin !
Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre,
Qui produit la richesse en créant la misère,
Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil !
Progrès dont on demande : Où va-t-il ? que veut-il ?
Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme,
Une âme à la machine et la retire à l'homme !
Que ce travail, haï des mères, soit maudit !
Maudit comme le vice où l'on s'abâtardit,
Maudit comme l'opprobre et comme le blasphème !
Ô Dieu ! qu'il soit maudit au nom du travail même,
Au nom du vrai travail, sain, fécond, généreux,
Qui fait le peuple libre et qui rend l'homme heureux !
2) observez le quatrième vers : quel est son rôle par rapport à ceux qui précèdent ?
ici ce ne sont plus des enfants, ils sont considérés comme des adultes
3) observez le neuvième vers : que pouvez-vous dire au sujet de sa construction ? Nommez cette figure de style.
il s’agit d’une antithèse « innoncents- bagne ; anges- enfer ». Cela montre que les enfants ne sont pas faits pour travailler
4) le poète choisit de donner la parole aux enfants dans son poème :
4.a Montrez à quel moment précis du texte il le fait.
« Petits comme nous sommes….font les hommes »
4.b à votre avis pourquoi fait il cela ?
Il s’agit d’accentuer le fait que ce ne sont que des enfants, innocents
5) relève deux champs lexicaux dominant et inscrivez pour chaque champ lexical au moins quatre. mots les composants.
champ lexical du travail : « travailler, quinze heures, meules, machine… »
champ lexical de l’horreur : « monstre, enfer, dents, hideux … »
6) Victor Hugo s'oppose t'il au travail en général? justifier
Non il s’oppose au travail des enfants qui est source de destruction pour eux, ils sont fragiles fiévreux, pâles, innocents et on leur enlève tout cela en les faisant travailler comme des adultes dans d'horribles souffrances
7) diriez-vous de ce poème qu'il est actuel ?
Il peut être actuel dans le sens où dans certains pays les enfants sont exploités et travaillent dans des conditions terribles et extrêmes
8) quel type de phrase dominant relevez-vous dès vers 17 à34 ? à votre avis pourquoi l'auteur a t il fait ce choix ?
Il y a des phrases exclamatives, puis des contradictions » Appolon bossu » qui montre la destruction de leur beauté, « Voltaire crétin » , même l’intelligence est détruite. C’est un véritable réquisitoire contre le travail des enfants
9) "Éternellement" v.5 donnez nature et fonction de mot et expliquer sa formation.
éternellement : adverbe, CC de manière :
formation : radical « éternel » ; suffixe « ement »