« Il y a quelques jours, Mouloud est mort. Depuis dix ans il vivait dans la rue, dans notre quartier. Il avait sa grille de métro, au croisement de deux rues, dans un renfoncement, juste à côté de la boulangerie. C'était son territoire. Sur le trajet de l'école élémentaire, pendant quelques années, je l'ai vu là, tous les matins et tous les soirs. Les élèves le connaissaient bien. Au début, on avait peur de lui. Et puis on s'y était habitués. On le saluait. On s'arrêtait pour discuter. Il refusait d'aller dans les foyers parce qu'ils n'acceptaient pas son chien. Même quand il faisait très froid. Les gens lui donnaient des couvertures, des vêtements, de la nourriture. il avait ses habitudes au café d'en face,
réécrivez le début du texte jusqu'à le "café d'en face" en remplaçant " Mouloud" par "Mouloud et Bruno ". s'il vous plaît
Il y a quelques jours, Mouloud et Bruno sont mort. Depuis dix ans lis vivaient dans la rue, dans notre quartier. Ils avaient leurs grilles de métro, au croisement de deux rues, dans un renfoncement, juste à côté de la boulangerie. C'était leurs territoires. Sur le trajet de l'école élémentaire, pendanr quelques années, je les ai vu là,tous les matins et soirs. Les élèves les connaissaient bien. Au début, on avait peur d'eux. Et puis on s'y était habitués. On les saluait. On s'arrêtait pour discuter. Ils refusaient d'aller dans les foyers parce qu'ils n'acceptaient pas leurs chiens. Même quand il faisait très froid. Les gens leurs donnaient des couvertures, des vêtements, de la nourriture. Ils avaient leurs habitudes au café d'en face.
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Il y a quelques jours, Mouloud et Bruno sont mort. Depuis dix ans lis vivaient dans la rue, dans notre quartier. Ils avaient leurs grilles de métro, au croisement de deux rues, dans un renfoncement, juste à côté de la boulangerie. C'était leurs territoires. Sur le trajet de l'école élémentaire, pendanr quelques années, je les ai vu là,tous les matins et soirs. Les élèves les connaissaient bien. Au début, on avait peur d'eux. Et puis on s'y était habitués. On les saluait. On s'arrêtait pour discuter. Ils refusaient d'aller dans les foyers parce qu'ils n'acceptaient pas leurs chiens. Même quand il faisait très froid. Les gens leurs donnaient des couvertures, des vêtements, de la nourriture. Ils avaient leurs habitudes au café d'en face.