Je dois faire une rédaction. C'est la rédaction du brevet blanc 2016 sauf que j'ai pas d'idée. J'ai choisis le sujet 1 mais je n'arrive pas à me projeter dans l'histoire j'ai vraiment pas d'idée pour la suite si quelqu'un pourrait me donner quelque idées ou si des personnes qui l'ont fait peuvent m'aider sa serait gentille merci.
« Il faut que je me lève, que je marche, que je parle à quelqu’un… »
je me hisse hors de la tranchée, et je m'aventure à quelques pas de celle ci, la nuit et le brouillard me m'empêchent d'être repéré par mes supérieurs et par l'ennemi .
Le froid me saisit et le vent me fait chanceler , car je ne suis plus abrité par la profondeur de la tranchée. Mais je ressens un bien être immense de pouvoir marcher et respirer sans trop sentir la puanteur habituelle d'urine, de crottin et de sueur.
Soudain devant moi, une forme plus foncée que la nuit me fait sursauter , je m'approche et je reconnais l'uniforme de l'ennemi. Dans ma précipitation à sortir de mon trou, je n'ai emporté aucune arme, mais mon besoin de parler me pousse à avancer vers le danger.
Je découvre avec surprise un homme très jeune ,presque un enfant. La lueur de sa cigarette éclaire un visage si doux , que je ne peux m’empêcher de le prendre en pitié.
Je le salue en français, et il me répond en baragouinant , il a l'air de comprendre un peu notre langue.
- « Bonsoir, que fais tu si près des tranchés françaises ? Lui demandai je.
- fumer, puis perdu dans la nuit.....répondit -il en articulant chaque mot.
- tu seras fusillé, si on te découvre . lui dis je
- ya, ya.... "
mais il n'a pas l'air de comprendre et continue à me regarder avec ses yeux ronds qui brillent dans la nuit noire comme deux étoiles.
Nous parlâmes peu, mais à travers ces quelques mots et nos regards, nous avons exprimé notre douleur, notre ennui et notre peur.Puis nous sommes partis chacun de notre côté vers notre camp.
Cette rencontre me réconforta car elle me permit de comprendre que l'ennemi n'est pas invincible et connaît les mêmes souffrances que nous.
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bonsoir
voici quelques idées:
« Il faut que je me lève, que je marche, que je parle à quelqu’un… »
je me hisse hors de la tranchée, et je m'aventure à quelques pas de celle ci, la nuit et le brouillard me m'empêchent d'être repéré par mes supérieurs et par l'ennemi .
Le froid me saisit et le vent me fait chanceler , car je ne suis plus abrité par la profondeur de la tranchée. Mais je ressens un bien être immense de pouvoir marcher et respirer sans trop sentir la puanteur habituelle d'urine, de crottin et de sueur.
Soudain devant moi, une forme plus foncée que la nuit me fait sursauter , je m'approche et je reconnais l'uniforme de l'ennemi. Dans ma précipitation à sortir de mon trou, je n'ai emporté aucune arme, mais mon besoin de parler me pousse à avancer vers le danger.
Je découvre avec surprise un homme très jeune ,presque un enfant. La lueur de sa cigarette éclaire un visage si doux , que je ne peux m’empêcher de le prendre en pitié.
Je le salue en français, et il me répond en baragouinant , il a l'air de comprendre un peu notre langue.
- « Bonsoir, que fais tu si près des tranchés françaises ? Lui demandai je.
- fumer, puis perdu dans la nuit.....répondit -il en articulant chaque mot.
- tu seras fusillé, si on te découvre . lui dis je
- ya, ya.... "
mais il n'a pas l'air de comprendre et continue à me regarder avec ses yeux ronds qui brillent dans la nuit noire comme deux étoiles.
Nous parlâmes peu, mais à travers ces quelques mots et nos regards, nous avons exprimé notre douleur, notre ennui et notre peur.Puis nous sommes partis chacun de notre côté vers notre camp.
Cette rencontre me réconforta car elle me permit de comprendre que l'ennemi n'est pas invincible et connaît les mêmes souffrances que nous.