Je vous prie de m'aider. Pleins de bons points pour vous.
Aidez-moi, je vous en supplie. Mon avenir est entre vos mains!
Il me faut une réponse dans les 24H qui vont suivre.
Merci.
Lisez d'abord ce texte :
Texte B.Molière, Tartuffe (acte V, scène 7 – v.1861-1908)
Au dénouement de la pièce, Orgon comprend qu'il a été la dupe de Tartuffe,
un faux dévot qui n'en voulait qu'à son bien et qu'à sa femme, Elmire. Bien
que son entourage l'ait prévenu des manigances de Tartuffe, Orgon s'est
obstiné dans son amitié pour lui. C'est donc une cruelle désillusion pour lui.
Dans la dernière scène, un nouvel événement se produit. Tartuffe, absent
depuis la fin de l'acte IV, revient pour prendre possession de la maison d'Orgon,
léguée par un acte notarié qu'il lui a extorqué malhonnêtement...
Scène dernière
L'exempt(1), TARTUFFE, ORGON, VALÈRE, ELMIRE, MARIANE, etc.
TARTUFFE
Tout beau, Monsieur, tout beau, ne courez point si vite ;
Vous n'irez pas fort loin pour trouver votre gîte,
Et de la part du Prince(2) on vous fait prisonnier.
ORGON
Traître, tu me gardais ce trait pour le dernier !
C'est le coup, scélérat, par où tu m'expédies(3),
Et voilà couronner toutes tes perfidies.
TARTUFFE
Vos injures n'ont rien à(4) me pouvoir aigrir,
Et je suis pour le Ciel appris(5) à tout souffrir.
CLÉANTE
La modération est grande, je l'avoue !
DAMIS(6)
Comme du Ciel l'infâme impudemment se joue !
TARTUFFE
Tous vos emportements ne sauraient m'émouvoir,
Et je ne songe à rien qu'à faire mon devoir.
MARIANE
Vous avez de ceci grande gloire à prétendre,
Et cet emploi pour vous est fort honnête à prendre.
TARTUFFE
Un emploi ne saurait être que glorieux
Quand il part du pouvoir qui m'envoie en ces lieux.
ORGON
Mais t'es-tu souvenu que ma main charitable,
Ingrat, t'a retiré d'un état misérable ?
TARTUFFE
Oui, je sais quels secours j'en ai pu recevoir ;
Mais l'intérêt du Prince est mon premier devoir ;
De ce devoir sacré la juste violence
Étouffe dans mon coeur toute reconnaissance,
Et je sacrifierais à de si puissants noeuds
Ami, femme, parents, et moi-même avec eux.
ELMIRE
L'imposteur !
DORINE
Comme il sait de traîtresse manière
Se faire un beau manteau de tout ce qu'on révère !
CLÉANTE
Mais, s'il est si parfait que vous le déclarez,
Ce zèle qui vous pousse et dont vous vous parez,
D'où vient que pour paraître il s'avise d'attendre
Qu'à poursuivre sa femme il ait su vous surprendre,
Et que vous ne songez à l'aller dénoncer
Que lorsque son honneur l'oblige à vous chasser ?
Je ne vous parle point, pour devoir en distraire(7),
Du don de tout son bien qu'il venait de vous faire ;
Mais le voulant traiter en coupable aujourd'hui,
Pourquoi consentiez-vous à rien(8) prendre de lui ?
TARTUFFE, à l'Exempt(9).
Délivrez-moi, Monsieur, de la criaillerie,
Et daignez accomplir votre ordre, je vous prie.
L'EXEMPT
Oui, c'est trop demeurer sans doute à l'accomplir.
Votre bouche à propos m'invite à le remplir ;
Et, pour l'exécuter, suivez-moi tout à l'heure(10)
Dans la prison qu'on doit vous donner pour demeure.
TARTUFFE
Qui ? moi, Monsieur ?
L'EXEMPT
Oui, vous.
TARTUFFE
Pourquoi donc la prison ?
L'EXEMPT
Ce n'est pas vous à qui j'en veux rendre raison.
(À Orgon)
Remettez-vous, Monsieur, d'une alarme si chaude.
Nous vivons sous un prince ennemi de la fraude,
Un prince dont les yeux se font jour dans les coeurs,
Et que ne peut tromper tout l'art des imposteurs.
(...)
1. L'officier royal chargé des arrestations.
2. Le prince = le roi Louis XIV.
3. Achever, porter le dernier coup. Tu m'expédies = tu m'achèves.
4. À = pour.
5. « Être appris » = être instruit.
6. C'est le fils d'Orgon. Damis est revenu (V, 3) pour sauver son père du danger qu'il encourt suite à la disparition de la cassette de son ami Argas, un frondeur, qu'il tenait cachée chez lui pour le protéger, et que Tartuffe a remis à la justice royale (V,6).
7. « pour devoir en distraire » = alors que ce don aurait dû vous détourner de dénoncer Orgon.
8. Rien = quelque chose (étymologiquement « rien » vient de res en latin qui signifie « chose »). Rien a pris progressivement
un sens négatif en français parce qu'employé avec la négation « ne ».
9. Officier de la garde personnelle du roi.
Travail d'écriture :
Vous ferez le commentaire de l'extrait de Tarfuffe(texte B).
Je vous remercie du fond du coeur pour votre aide.
Merci encore.
Lista de comentários
Je vais te donner des idées mais pas faire ta rédac
Introduction
tu dois énoncer l'idée générale puis il ya la présentation du texte , un petit résumé annonce du plan.
Il n'est pas de bon ton de se moquer de la religion, du clergé , et le mensonge , la méchanceté ne sont jamais récompensés.
Molière écrit Tartuffe en 1669, au 17ème siècle.C'est une comédie en 5 actes et en vers
L'extrait présenté se situe vers la fin de la pièce ,au moment du dénouement.
Tartuffe, faux dévot , abuse de l'incrédulité d'un honnête homme afin de lui dérober ses biens, mais il sera démasqué et puni.
Nous étudierons dans un premier temps les signes de la religion dans ce passage,
puis les aspects relatifs à la tromperie et ses conséquences
pour commence le développement :
cite des parties du textes: regarde le champs lexical,
je t'aide il y par rapport à la religion: dévot,et je suis pour le Ciel appris(5) à tout souffrir,devoir sacré,sacrifierais,
Qu'à poursuivre sa femme il ait su vous surprendre,ceci est anti-cléricale, tu peux dire comment penser qu'un homme religieux puisse faire une telle chose.
par rapport à la tromperie:
traître, scélérat perfidies traîtresses manières, prison,imposteur, ennemi de la fraude
Qu'à poursuivre sa femme il ait su vous surprendre,( il a essayé de prendre la femme du maître des lieux)
en conclusion:
il faut faire le bilan de ton travail et une ouverture , peut -être en parlant d'un autre texte où il est question de religion et de personnes qui se font avoir.
TU PEUX FAIRE UNE OUVERTURE
EN DISANT TOUT SE FINI BIEN, et que Molière aurait pu discuter avec Jean de La Fontaine
puisse dans l'une de ses fables, il disait:"Garde-toi, tant que tu vivras, de juger des gens sur la mine." Le Cochet, le Chat, et le Souriceau. Mais après tout,ils l'ont peut-être fait.
Voilà une aide à plus.