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Alya01
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Alya01
May 2021 | 1 Respostas
Bonsoir pouvez-vous m'aidez pour la question n'1 s'il vous plait. merci
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Alya01
May 2021 | 1 Respostas
Bonsoir, j'ai besoin d'aide pour cet exercice s'il vous plait .merci d'avance bonne soirée
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Alya01
May 2021 | 1 Respostas
Bonsoir j'ai besoin d'aide s'il vous plait. merci d'avance
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Alya01
May 2021 | 0 Respostas
Bonsoir j'ai vraiment besoin d'aide pour cette exercice svp
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Alya01
April 2021 | 0 Respostas
Bonjour pouvez-vous m'aidez svp je ne comprends pas.
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Alya01
April 2021 | 0 Respostas
bonjour j'ai besoin d'aide s'il vous plait
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Alya01
April 2021 | 0 Respostas
Bonsoir pouvez-vous m'aidez s'il vous plait, merci d'avance
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Alya01
April 2021 | 0 Respostas
Bonjour, j'aurai besoin d'aide pour cette question en droit s'il vous plait . Merci d'avance
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Alya01
April 2021 | 0 Respostas
bonsoir pouvez vous m'aidez svp je n'arrive pas merci d'avance
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Alya01
April 2021 | 0 Respostas
bonsoir, j'aurai besoin d'aide svp (c'est en droit )merci d'avance
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Alya01
April 2021 | 0 Respostas
bonsoir j'ai du mal avec cette question en droit svp merci d'avance 16) Comment Steve Jobs aurait-il pu s'appeler s'il était né en France et n'avait pas été adopté ?
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Alya01
April 2021 | 0 Respostas
Bonjour pouvez vous m'aidez pour faire cette explication linéaire s'il vous plait je n'y arrive pas : Silence général. Le vent se tait. La nature a l’air d’une morte et ne respire plus. Sur le mat, où je vois déjà poindre un léger feu Saint-Elme, la voile détendue tombe en plis lourds. Le radeau est immobile au milieu d’une mer épaisse et sans ondulations. Mais, si nous ne marchons plus, à quoi bon conserver cette toile, qui peut nous mettre en perdition au premier choc de la tempête ? « Amenons-la, dis-je, abattons notre mât ! Cela sera prudent ! — Non, par le diable ! s’écrie mon oncle, cent fois non ! Que le vent nous saisisse ! que l’orage nous emporte ! mais que j’aperçoive enfin les rochers d’un rivage, quand notre radeau devrait s’y briser en mille pièces ! » Ces paroles ne sont pas achevées que l’horizon du sud change subitement d’aspect. Les vapeurs accumulées se résolvent en eau, et l’air, violemment appelé pour combler les vides produits par la condensation, se fait ouragan. Il vient des extrémités les plus reculées de la caverne. L’obscurité redouble. C’est à peine si je puis prendre quelques notes incomplètes. Le radeau se soulève, il bondit. Mon oncle est jeté de son haut. Je me traîne jusqu’à lui. Il s’est fortement cramponné à un bout de câble et parait considérer avec plaisir ce spectacle des éléments déchaînés. Hans ne bouge pas. Ses longs cheveux, repoussés par l’ouragan et ramenés sur sa face immobile, lui donnent une étrange physionomie, car chacune de leurs extrémités est hérissée de petites aigrettes lumineuses. Son masque effrayant est celui d’un homme antédiluvien, contemporain des ichthyosaures et des megatheriums Cependant le mât résiste. La voile se tend comme une bulle prête à crever. Le radeau file avec un emportement que je ne puis estimer, mais moins vite encore que ces gouttes d’eau déplacées sous lui, dont la rapidité fait des lignes droites et nettes. « La voile ! la voile ! dis-je, en faisant signe de l’abaisser. — Non ! répond mon oncle. — Nej, » fait Hans en remuant doucement la tête. Cependant la pluie forme une cataracte mugissante devant cet horizon vers lequel nous courons en insensés. Mais avant qu’elle n’arrive jusqu’à nous le voile de nuage se déchire, la mer entre en ébullition et l’électricité, produite par une vaste action chimique qui s’opère dans les couches supérieures, est mise en jeu. Aux éclats du tonnerre se mêlent les jets étincelants de la foudre ; des éclairs sans nombre s’entre-croisent au milieu des détonations ; la masse des vapeurs devient incandescente ; les grêlons qui frappent le métal de nos outils ou de nos armes se font lumineux ; les vagues soulevées semblent être autant de mamelons ignivomes sous lesquels couve un feu intérieur, et dont chaque crête est empanachée d’une flamme. Mes yeux sont éblouis par l’intensité de la lumière, mes oreilles brisées par le fracas de la foudre ! Il faut me retenir au mât, qui plie comme un roseau sous la violence de l’ouragan ! ! !
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Alya01
April 2021 | 0 Respostas
bonjour pouvez vous m'aidez pour trouver une problematique mon plan est : I. le calme avant la tempete II. Les elements se déchainent III. L'apocalypse c'est ce texte : Silence général. Le vent se tait. La nature a l’air d’une morte et ne respire plus. Sur le mat, où je vois déjà poindre un léger feu Saint-Elme, la voile détendue tombe en plis lourds. Le radeau est immobile au milieu d’une mer épaisse et sans ondulations. Mais, si nous ne marchons plus, à quoi bon conserver cette toile, qui peut nous mettre en perdition au premier choc de la tempête ? « Amenons-la, dis-je, abattons notre mât ! Cela sera prudent ! — Non, par le diable ! s’écrie mon oncle, cent fois non ! Que le vent nous saisisse ! que l’orage nous emporte ! mais que j’aperçoive enfin les rochers d’un rivage, quand notre radeau devrait s’y briser en mille pièces ! » Ces paroles ne sont pas achevées que l’horizon du sud change subitement d’aspect. Les vapeurs accumulées se résolvent en eau, et l’air, violemment appelé pour combler les vides produits par la condensation, se fait ouragan. Il vient des extrémités les plus reculées de la caverne. L’obscurité redouble. C’est à peine si je puis prendre quelques notes incomplètes. Le radeau se soulève, il bondit. Mon oncle est jeté de son haut. Je me traîne jusqu’à lui. Il s’est fortement cramponné à un bout de câble et parait considérer avec plaisir ce spectacle des éléments déchaînés. Hans ne bouge pas. Ses longs cheveux, repoussés par l’ouragan et ramenés sur sa face immobile, lui donnent une étrange physionomie, car chacune de leurs extrémités est hérissée de petites aigrettes lumineuses. Son masque effrayant est celui d’un homme antédiluvien, contemporain des ichthyosaures et des megatheriums Cependant le mât résiste. La voile se tend comme une bulle prête à crever. Le radeau file avec un emportement que je ne puis estimer, mais moins vite encore que ces gouttes d’eau déplacées sous lui, dont la rapidité fait des lignes droites et nettes. « La voile ! la voile ! dis-je, en faisant signe de l’abaisser. — Non ! répond mon oncle. — Nej, » fait Hans en remuant doucement la tête. Cependant la pluie forme une cataracte mugissante devant cet horizon vers lequel nous courons en insensés. Mais avant qu’elle n’arrive jusqu’à nous le voile de nuage se déchire, la mer entre en ébullition et l’électricité, produite par une vaste action chimique qui s’opère dans les couches supérieures, est mise en jeu. Aux éclats du tonnerre se mêlent les jets étincelants de la foudre ; des éclairs sans nombre s’entre-croisent au milieu des détonations ; la masse des vapeurs devient incandescente ; les grêlons qui frappent le métal de nos outils ou de nos armes se font lumineux ; les vagues soulevées semblent être autant de mamelons ignivomes sous lesquels couve un feu intérieur, et dont chaque crête est empanachée d’une flamme. Mes yeux sont éblouis par l’intensité de la lumière, mes oreilles brisées par le fracas de la foudre ! Il faut me retenir au mât, qui plie comme un roseau sous la violence de l’ouragan ! ! !
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Alya01
April 2021 | 0 Respostas
bonjour quelqu'un peut m'aidez pour l'analyse linaire de ce texte s'il vous plait je n'y arrive pas Silence général. Le vent se tait. La nature a l’air d’une morte et ne respire plus. Sur le mat, où je vois déjà poindre un léger feu Saint-Elme, la voile détendue tombe en plis lourds. Le radeau est immobile au milieu d’une mer épaisse et sans ondulations. Mais, si nous ne marchons plus, à quoi bon conserver cette toile, qui peut nous mettre en perdition au premier choc de la tempête ? « Amenons-la, dis-je, abattons notre mât ! Cela sera prudent ! — Non, par le diable ! s’écrie mon oncle, cent fois non ! Que le vent nous saisisse ! que l’orage nous emporte ! mais que j’aperçoive enfin les rochers d’un rivage, quand notre radeau devrait s’y briser en mille pièces ! » Ces paroles ne sont pas achevées que l’horizon du sud change subitement d’aspect. Les vapeurs accumulées se résolvent en eau, et l’air, violemment appelé pour combler les vides produits par la condensation, se fait ouragan. Il vient des extrémités les plus reculées de la caverne. L’obscurité redouble. C’est à peine si je puis prendre quelques notes incomplètes. Le radeau se soulève, il bondit. Mon oncle est jeté de son haut. Je me traîne jusqu’à lui. Il s’est fortement cramponné à un bout de câble et parait considérer avec plaisir ce spectacle des éléments déchaînés. Hans ne bouge pas. Ses longs cheveux, repoussés par l’ouragan et ramenés sur sa face immobile, lui donnent une étrange physionomie, car chacune de leurs extrémités est hérissée de petites aigrettes lumineuses. Son masque effrayant est celui d’un homme antédiluvien, contemporain des ichthyosaures et des megatheriums Cependant le mât résiste. La voile se tend comme une bulle prête à crever. Le radeau file avec un emportement que je ne puis estimer, mais moins vite encore que ces gouttes d’eau déplacées sous lui, dont la rapidité fait des lignes droites et nettes. « La voile ! la voile ! dis-je, en faisant signe de l’abaisser. — Non ! répond mon oncle. — Nej, » fait Hans en remuant doucement la tête. Cependant la pluie forme une cataracte mugissante devant cet horizon vers lequel nous courons en insensés. Mais avant qu’elle n’arrive jusqu’à nous le voile de nuage se déchire, la mer entre en ébullition et l’électricité, produite par une vaste action chimique qui s’opère dans les couches supérieures, est mise en jeu. Aux éclats du tonnerre se mêlent les jets étincelants de la foudre ; des éclairs sans nombre s’entre-croisent au milieu des détonations ; la masse des vapeurs devient incandescente ; les grêlons qui frappent le métal de nos outils ou de nos armes se font lumineux ; les vagues soulevées semblent être autant de mamelons ignivomes sous lesquels couve un feu intérieur, et dont chaque crête est empanachée d’une flamme. Mes yeux sont éblouis par l’intensité de la lumière, mes oreilles brisées par le fracas de la foudre ! Il faut me retenir au mât, qui plie comme un roseau sous la violence de l’ouragan ! ! !
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Alya01
March 2021 | 0 Respostas
Bonsoir pouvez vous m’aidez pour cet exo svp
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Alya01
February 2021 | 0 Respostas
Bonsoir j'ai besoin d'aide svp can we say that black friday is a threat to thanksgiving? merci d'avance
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Alya01
February 2021 | 0 Respostas
Bonjour pouvez-vous m'aidez à analyser ce passage du poème, ''les moutons noirs '' Les canons membres génitaux Engrossent l'amoureuse terre Le temps est aux instincts brutaux Pareille à l'amour est la guerre
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Alya01
February 2021 | 0 Respostas
Bonsoir pouvez-vous m'aider pour mon exercice en math svp : ex 1''completer les series logiques par le nombre qui pourrait convenir : 1. (-1; 3; (-9);27;(-81;? 2. 2;5;9;14;20;?
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Alya01
February 2021 | 0 Respostas
Bonjours, je ne comprend pas cette exercice pouvez vous m'aidez ? Voici le sujet : La directrice des ventes d'un sites de jeux vidéo en ligne à recensé 3000 abonnés au 1er juin 2017. Elle est inquiète car le nombre d'abonnés ne peut être inférieur à 2000. Une étude lui permet d'élaborer un modèle selon lequel, chaque année: -entre le 1er juin et le 31 octobre, 80 clients s'abonnent; -entre le 1er novembre et le 31 mai, le nombre d'abonnés subit une baisse de 5% de son effectif par rapport à celui du 31 octobre qui précède. On modélise l'évolution du nombre d'abonnés par une suite (Un). Selon ce modele, pour tout entier naturel n, Un, désigne le nombre d'abonnés au 1 juin de l'année 2017 + n. On a donc U0=3 000. 1. Justifier que U1=2 926 2. Justifier que, pour tout entier naturel n, Un+1 = 0,95Un +76. 3. Les craintes de la directrice sont-elles justifiées? Si oui, déterminer avec le tableur ou la calculatrice l'année où le nombre d'abonnés sera inférieur à 2 000. Merci d'avance pour vos réponse qui j'espère m'aideront pour faire cette exercice
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Alya01
February 2021 | 0 Respostas
Bonsoir, '' quels sont les objectifs de l'haussmanisation ? '' pouvez-vous m'aidez svp?
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Alya01
February 2021 | 0 Respostas
Bonsoir pouvez-vous m'aidez pour l'exercice 62 svp
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Alya01
February 2021 | 0 Respostas
Bonsoir, à quel autre texte peut on faire le lien avec la fable l’huître et les plaideurs svp
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Alya01
February 2021 | 0 Respostas
Bonjour pouvez vous m’aidez svp
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Alya01
February 2021 | 0 Respostas
Bonsoir, j'aurai besoin d'aide, pouvez-vous m'aidez à trouver la problématique de cette fable s'il vous plait.. merci bonne soirée L'huitre et les plaideurs Un jour deux Pèlerins sur le sable rencontrent Une Huître que le flot y venait d'apporter : Ils l'avalent des yeux, du doigt ils se la montrent ; A l'égard de la dent il fallut contester. L'un se baissait déjà pour amasser la proie ; L'autre le pousse, et dit : « Il est bon de savoir Qui de nous en aura la joie. Celui qui le premier a pu l'apercevoir En sera le gobeur ; l'autre le verra faire. - Si par là on juge l'affaire, Reprit son compagnon, j'ai l'œil bon, Dieu merci. - Je ne l'ai pas mauvais aussi, Dit l'autre, et je l'ai vue avant vous, sur ma vie. - Hé bien ! vous l'avez vue, et moi je l'ai sentie. » Pendant tout ce bel incident, Perrin Dandin1 arrive : ils le prennent pour juge. Perrin fort gravement ouvre l'Huître, et la gruge2, Nos deux Messieurs le regardant. Ce repas fait, il dit d'un ton de Président : « Tenez, la cour vous donne à chacun une écaille Sans dépens, et qu'en paix chacun chez soi s'en aille. » Mettez ce qu'il en coûte à plaider aujourd'hui ; Comptez ce qu'il en reste à beaucoup de familles ; Vous verrez que Perrin tire l'argent à lui, Et ne laisse aux plaideurs que le sac et les quilles3.
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