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Caramelos
June 2019 | 1 Respostas
bonjour j'ai besoin de vous. URGENCE Donnez l'écriture décimale de chaque nombre. 1. 2.26 x 10^5 2) 0.00708 x 10^2 3) 73200 x 10^-5 4) 5 x 10^-4 Ecrire les nombres suivants sous la forme d'une puissance de 10 en détaillant le calcul. 1) 10^2 x 10^6 2) 10^4 x 10^-2 3) 10^-13 x 10^-15 4) 10^-8 x 10^6
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Caramelos
June 2019 | 1 Respostas
Bonjour urgence svp , je n'arrive a faire cet exercice ci-dessous aidez moi MERCI !
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Caramelos
June 2019 | 1 Respostas
Bonsoir, aidez moi svp j'ai besoins des réponse. Donnez les classes grammatical, de "m'" et de "gens" Donnez la fonction des mots entre crocher [ ] , dans le texte ci-dessous. Voici le texte : Je savais que la maladie m'avait beaucoup changée,mais j'ignorais [que je pusse inspirer du dégoût]. Métisse de père inconnu,[l'unique qualité que les gens me reconnaissent] était ce qu'ils appelaient .Que me restait-il dès lors que je [l']avais perdue? Plus que jamais j'avais besoin de mon instruction.Je voulus retourner sans tarder à Saignon.J'en informait ma mère qui ne comprit pas .Vouloir partir alors qu'elle me soignait mieux que quiconque était [la preuve] que je ne l'aimais pas .
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Caramelos
June 2019 | 1 Respostas
Bonsoir , pouvez-vous m'aider pour une réécriture assez courtes Merci ! Imaginez que la narratrice a une soeur : réécrivez ce passage ci-dessous à la première personne du pluriel et au présent, en faisant toutes les modifications nécessaires Voici le texte : Toute la chaleur de mon corps avait reflué vers mon visage. Le tambour qui battait à coups sourds dans mes oreilles, c’était mon cœur. J’avais de la peine à avaler ma salive. Les filles avaient cessé de parler et me regardaient. Un silence épais m’environnait, comme si la plage s’était vidée tout à coup.
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Caramelos
June 2019 | 1 Respostas
Bonsoir ! Besoin d'aide pour une question ! Merci 1) La ou j'ai mis les crocher [ ]. Qu'est-ce qui caractérise le comportement de la narratrice? Citez le texte à l'appui de votre réponse. Voici le texte ^.^ D’ailleurs je ne suis pas mourante. Je vais à la plage me baigner. Ma mère n’eut pas le temps de me retenir : j’avais gagné la porte, mon maillot de bain à la main. Je l’avais acheté l’été précédent, quand la mode – copiée sur Esther Williams -1 avait incité quelques filles à prendre des leçons de natation. Sur l’insistance de Ghi, déjà bonne nageuse et qui voulait me faire goûter le « plaisir incomparable de s’ébattre dans l’eau», j’avais choisi une combinaison dont la coupe, quoique classique, laissait une longue échancrure dans le dos. Je ne l’avais jamais portée, n’ayant su vaincre ni ma pudeur ni surtout ma peur de l’eau. Ce n’était pas le moment choisi pour me revêtir d’un maillot, je le savais bien. Mais j’avais besoin de faire n’importe quoi pour compenser le sentiment d’impuissance qui m’écrasait. [Il y avait peu de monde sur la plage, une dizaine de ; personnes dont quelques filles, la cuisse ronde, les épaules pleines, toutes belles et bien faites. Je m’installai à un endroit isolé, mal dans ma peau. Les filles bavardaient et riaient; des groupes de garçons passaient et repassaient, | profitant des nudités offertes. Gênée, je gardais les yeux rivés sur le sable dont l’éclat m’aveuglait. Trois d’entre eux se dirigèrent vers moi. Je fis mine d’être absorbée dans les arabesques que je traçais d’un doigt mécanique.] Lorsqu’ils furent à ma hauteur, l’un d’eux lança tout haut : – Pouah ! Quel sac d’os ! Toute la chaleur de mon corps avait reflué vers mon visage. Le tambour qui battait à coups sourds dans mes oreilles, c’était mon cœur. J’avais de la peine à avaler ma salive. Les filles avaient cessé de parler et me regardaient. Un silence épais m’environnait, comme si la plage s’était vidée tout à coup. Ma fierté exigeait que je demeurasse là encore quelque temps. Je continuai à tracer sur la grève des signes que je ne voyais pas. Je m’en voulus de provoquer ma propre humiliation. Que n’étais-je restée chez moi? J’étais laide, cette cruelle vérité on me l’avait jetée au visage, cinglante comme une gifle. J’avais cent ans quand je me levai enfin. Je savais que la maladie m'avait beaucoup changée,mais j'ignorais que je pusse inspirer du dégoût.Métisse de père inconnu,l'unique qualité que les gens me reconnaissent était ce qu'ils appelaient .Que me restait-il dès lors que je l'avais perdue? Plus que jamais j'avais besoin de mon instruction.Je voulus retourner sans tarder à Saignon.J'en informait ma mère qui ne comprit pas .Vouloir partir alors qu'elle me soignait mieux que quiconque était la preuve que je ne l'aimais pas .Elle pleura,répétant inlassablement qu'elle était la plus malheureuse des mères et moi la plus ingrate des filles.Sa peine me déchirait mais j'avais besoin d'être soutenue par l'affection et l'estime des autres,et cela ni ma mère ni ma famille ne pouvaient me l'apporter.Sans doute aurais-je dû lui raconter ma mésaventure,mais la pudeur nous empêcha toujours de nous confier.une fois de plus,l'incompréhension et le malentendu nous séparèrent.
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Caramelos
June 2019 | 1 Respostas
Bonjour , [EXTREME URGENCE] aidez moi svp..! Je n'aarive pas a répondre aux questions.. Questions : 1) A quelle personne est raconté ce texte ? A qui ce pronom renvoie t-il ? 2) Pourquoi la narratrice veux-elle se rendre à la plage ? Donnez au moins deux raisons. 3)En vous appuyant sur l'ensemble du texte que pouvez-vous dire des relations entre la mère et la fille. Merci. Voici le texte ci-dessous. D’ailleurs je ne suis pas mourante. Je vais à la plage me baigner. Ma mère n’eut pas le temps de me retenir : j’avais gagné la porte, mon maillot de bain à la main. Je l’avais acheté l’été précédent, quand la mode – copiée sur Esther Williams -1 avait incité quelques filles à prendre des leçons de natation. Sur l’insistance de Ghi, déjà bonne nageuse et qui voulait me faire goûter le « plaisir incomparable de s’ébattre dans l’eau», j’avais choisi une combinaison dont la coupe, quoique classique, laissait une longue échancrure dans le dos. Je ne l’avais jamais portée, n’ayant su vaincre ni ma pudeur ni surtout ma peur de l’eau. Ce n’était pas le moment choisi pour me revêtir d’un maillot, je le savais bien. Mais j’avais besoin de faire n’importe quoi pour compenser le sentiment d’impuissance qui m’écrasait. Il y avait peu de monde sur la plage, une dizaine de ; personnes dont quelques filles, la cuisse ronde, les épaules pleines, toutes belles et bien faites. Je m’installai à un endroit isolé, mal dans ma peau. Les filles bavardaient et riaient; des groupes de garçons passaient et repassaient, | profitant des nudités offertes. Gênée, je gardais les yeux rivés sur le sable dont l’éclat m’aveuglait. Trois d’entre eux se dirigèrent vers moi. Je fis mine d’être absorbée dans les arabesques que je traçais d’un doigt mécanique. Lorsqu’ils furent à ma hauteur, l’un d’eux lança tout haut : – Pouah ! Quel sac d’os ! Toute la chaleur de mon corps avait reflué vers mon visage. Le tambour qui battait à coups sourds dans mes oreilles, c’était mon cœur. J’avais de la peine à avaler ma salive. Les filles avaient cessé de parler et me regardaient. Un silence épais m’environnait, comme si la plage s’était vidée tout à coup. Ma fierté exigeait que je demeurasse là encore quelque temps. Je continuai à tracer sur la grève des signes que je ne voyais pas. Je m’en voulus de provoquer ma propre humiliation. Que n’étais-je restée chez moi? J’étais laide, cette cruelle vérité on me l’avait jetée au visage, cinglante comme une gifle. J’avais cent ans quand je me levai enfin. Je savais que la maladie m'avait beaucoup changée,mais j'ignorais que je pusse inspirer du dégoût.Métisse de père inconnu,l'unique qualité que les gens me reconnaissent était ce qu'ils appelaient .Que me restait-il dès lors que je l'avais perdue? Plus que jamais j'avais besoin de mon instruction.Je voulus retourner sans tarder à Saignon.J'en informait ma mère qui ne comprit pas .Vouloir partir alors qu'elle me soignait mieux que quiconque était la preuve que je ne l'aimais pas .Elle pleura,répétant inlassablement qu'elle était la plus malheureuse des mères et moi la plus ingrate des filles.Sa peine me déchirait mais j'avais besoin d'être soutenue par l'affection et l'estime des autres,et cela ni ma mère ni ma famille ne pouvaient me l'apporter.Sans doute aurais-je dû lui raconter ma mésaventure,mais la pudeur nous empêcha toujours de nous confier.une fois de plus,l'incompréhension et le malentendu nous séparèrent.
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Caramelos
May 2019 | 1 Respostas
Bonsoir ! J'ai vraiment besoin de votre aide pour l'exercice a. et b. du grand 8 . Svp c vraiment important sa serrais vraiment aimable de votre par de m'aider cela et ma dernière solution. Merci ! ( il y a le pdf )
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Caramelos
May 2019 | 2 Respostas
Bonjour ! J'ai une question toute simple mais importante ! La voici : Pourquoi voter est il un acte démocratique ?
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Caramelos
May 2019 | 1 Respostas
Bonjour ! J'ai une question toute simple mais importante ! La voici : Pourquoi voter est il un acte démocratique ?
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Caramelos
May 2019 | 1 Respostas
Bonjour ! Je n'ai pas compris mon exercice quelqu'un peu m'aidez ! ? On considère les expressions suivantes : C= 2–1 3 (1 2 )² et D=4×10−3×5×109 3×106 . Justifier, en détaillant les calculs, que C = D. (Pour le pdf c'est juste l'exercice 2 les autres je l'ai est fait juste l'exercice 2 voila ) Merci d'avance !
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Caramelos
May 2019 | 1 Respostas
: La légende du jeu d'échecs. Un jour, le sage Sissa présenta un jeu d'échecs à son roi. Le souverain demanda à Sissa ce que celui-ci souhaitait en échange. Sissa demanda au roi de déposer un grain de blé sur la première case, deux sur la deuxième case, quatre sur la troisième, huit sur la quatrième et ainsi de suite pour remplir l'échiquier en doublant la quantité de grains à chaque case. 1) Quel nombre de grains de blé le roi devrait-il déposer sur la dernière case de l'échiquier, c'est-à-dire la soixante-quatrième ? 2) Un grain de blé pèse environ 0,05 g. Quelle serait la masse de blé, déposée sur la dernière case ? Help me please j'a rien compris
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Caramelos
May 2019 | 1 Respostas
Écrire sous la forme 2n , où n est un entier, le volume en cm3 d'un cube d'arête 16 cm. (2n = 2 puissance n) (cm3 = centimètre cube) AIDEZ moi svp et détailler c important
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