Bonjour, svp j’ai vrmt besoin d’aide (15 points en jeu) 1- a) Qui rend visite à Claude Gueux dans sa cellule le jour de son exécution ? Que font ces différents personnages ? (1,5 point) b) Comment qualifierais-tu l’attitude de Claude Gueux à l’égard des différents visiteurs ? Cite le texte entre guillemets pour justifier ta réponse. (1,5 point) 2- Quel objet Claude Gueux a-t-il réclamé en premier ? Pourquoi cet objet est-il si important pour lui ? (1 point) 3- « Sur sa demande, on lui avait rendu les ciseaux avec lesquels il s’était frappé. Il y manquait une lame, qui s’était brisée dans sa poitrine. » (l. 16-17) a) À quel temps sont conjugués les deux verbes soulignés ? (0,5 point) b) À quelle forme sont ces deux verbes ? (0,5 point) c) Précise le sens de cette forme pour chacun de ces deux verbes (que tu recopieras). (1 point) d) Recopie entre guillemets trois autres verbes qui sont à la même forme que les deux verbes soulignés. (1,5 point) 4- « Il dit aussi qu’il désirait qu’on ajoutât à ce legs la ration de pain qu’il aurait dû manger ce jour-là. » (l. 18-19). Comment sont rapportées les paroles de Claude Gueux ? 5- «-Pourlespauvres.»(l.34etl.38) a) Comment sont rapportées ces paroles de Claude Gueux ? b) Que t’aprennent ces paroles sur le caractère de Claude Gueux ? (0,5 point) (0,5 point) (1 point) (0,5 point) (1 point) 6- a) Qui est Albin ? b) Quels sont les deux présents que Claude Gueux donne à Albin ? c) Que peut symboliser chacun de ces deux présents ? Deux réponses sont donc attendues.
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svp c’est a rendre dans une heure Vuelve a escribir la receta de las enchiladas conjugando los verbos entre paréntesis en imperativo afirmativo en segunda persona de singular o en segunda persona de plural según las informaciones dadas. (Réécris la recette des enchiladas en conjuguant les verbes entre parenthèses à l’impératif affirmatif à la deuxième personne du singulier ou à la deuxième personne du pluriel selon les informations données). LAS ENCHILADAS Paloma y Lola: .............................. (Trocear) los trescientos cincuenta gramos de filetes de pollo con un cuchillo. Paloma y Lola: .............................. (Hacer) dorar los trocitos en una sartén. Paloma: .............................. (Remover) continuamente con una cuchara de palo. Lola: .............................. (Lavar) el perejil, el pimiento verde o amarillo, los seis tomates, la cebolla y la lechuga en un cuenco. Lola: .............................. (Trocear) la verdura menos la lechuga. Lola: .............................. (Cortar) la cebolla. Paloma: .............................. (Calentar) la verdura troceada a fuego suave con la salsa para tacos y doscientos gramos de maíz unos diez minutos. Lola: .............................. (Calentar) doce tortillas en el microondas un minuto. Paloma y Lola: .............................. (Rellenar) las tortillas con los ingredientes. Lola: .............................. (Poner) las hojas de lechuga en una fuente antes de servir. merci d’avance :)
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salut alors c’est juste une question de francais mercii 2- Recopie dans le premier paragraphe une proposition subordonnée conjonctive qui est complément circonstanciel de temps. Encadre la conjonction de subordination qui l’introduit. le premier paragraphe ; « Ma pauvre sœur, Paris est un étrange gouffre : on y trouve à dîner pour dix-huit sous, et le plus simple dîner d’un restaurat1 élégant coûte cinquante francs ; il y a des gilets et des pantalons à quatre francs et quarante sous, les tailleurs à la mode ne vous les font pas à moins de cent francs. On donne un sou pour passer les ruisseaux des rues 5 quand il pleut. Enfin la moindre course en voiture vaut trente-deux sous. Après avoir habité le beau quartier, je suis aujourd’hui hôtel de Cluny, rue de Cluny, dans l’une des plus pauvres et des plus sombres petites rues de Paris, serrée entre trois églises et les vieux bâtiments de la Sorbonne2. J’occupe une chambre garnie3 au quatrième étage de cet hôtel, et, quoique bien sale et dénuée, je la paye encore quinze francs par 10 mois. Je déjeune d’un petit pain de deux sous et d’un sou de lait, mais je dîne très bien pour vingt-deux sous au restaurat d’un nommé Flicoteaux, lequel est situé sur la place même de la Sorbonne. Jusqu’à l’hiver ma dépense n’excédera pas soixante francs par mois, tout compris, du moins je l’espère. Ainsi mes deux cent quarante francs suffiront aux quatre premiers mois. D’ici là, j’aurai sans doute vendu L’Archer de 15 Charles IX et les Marguerites4. N’ayez donc aucune inquiétude à mon sujet. Si le présent est froid, nu, mesquin, l’avenir est bleu, riche et splendide. La plupart des grands hommes ont éprouvé les vicissitudes5 qui m’affectent sans m’accabler. [...]
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