Bonjour, pouvez vous m'aider pour la correction de ma rédaction (temps, orthographe, grammaire) s'il vous plaît ? La voici : Alors qu’il se promenait seul au bord de la mer, Pedro Alvarez vit une lettre enfermée dans une bouteille en verre. Curieux, il ouvrit la bouteille, y sortit la lettre, puis s’assit sur le sable chaud, pour la lire. San Salvador, Vendredi 25 mai 1502 Cher Chinito, Après ces longues années passées en ton absence, j’ai décidé de t’envoyer cette lettre pour te donner de mes nouvelles sur l’île où je vis à présent, car tu m’as beaucoup manqué. Je vais d’abord t’expliquer que, lors de ton départ en Espagne, j’étais triste et peiné : mais voilà, c’était pour ton bien, Chinito ! Maintenant, je vais te raconter ma vie sur l’île San Salvador avec les indiens… Lorsque je me suis installé, les indigènes firent une danse pour m’honorer, et ils versèrent quelques larmes de joie. Ensuite, je suis allé les remercier, du plus profond de mon cœur : j’étais très ému par cet accueil chaleureux. Un moment plus tard, je me dis qu’il fallait bien que je me construise une petite maisonnette pour me protéger des intempéries et pour y vivre : moi, connaissant à peine l’île, je faisais des signes avec la main pour leur expliquer que je voulais construire un abri. C’était amusant ; ils sont allés me chercher des morceaux de bois et des ficelles de bambous, puis m’aidèrent à construire une hutte : elle était magnifique ! Une semaine plus tard, j’ai appris aux indigènes quelques mots en espagnol et leur accent était très drôle ! Je pouvais donc communiquer plus facilement, car eux aussi m’ont appris quelques mots dans le langage des signes. Ils m’ont fait visiter l’île, et tu ne vas pas me croire, mais cette île a l’air presque surréaliste : le merveilleux plumage des oiseaux qui s’envolent vers le ciel azur, ont des couleurs remarquables comme le bleu, jaune, rouge… sans oublier des arbres aux fruits étoilés, et une végétation luxuriante comme des fleurs tricolores, des buissons floraux, c’est magistral ! Les indiens m’ont même appris à chasser un animal encore jamais connu, et la viande est succulente : le Waku. Voilà Pedro, pour moi tu étais comme un petit frère, et j’aimerais encore tant en dire, mais ma lettre se termine maintenant. À plus tard moi ami, je t’adore Bartolomeo (Signature) Après qu’il acheva sa lecture, Pedro Alvarez imaginait son corps en train de se glacer, malgré la chaleur infernale sur la plage. Il n’en crut pas ses yeux : il fut très ému et surtout stupéfié que cette bouteille soit arrivée jusqu’à lui, comme une coïncidence. Ses larmes coulèrent sur la lettre, et elles effacèrent l’encre noire du manuscrit de son fidèle ami, Bartolomeo.
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Bonjour, pouvez-vous m'aider pour la correction de ma rédaction en français s'il vous plaît ? ( temps,orthographes... ) La voici : Alors qu’il se promenait seul au bord de la mer, Pedro Alvarez vit une lettre enfermée dans une bouteille en verre. Inconsciemment, il ouvrit la bouteille, y sortit la lettre puis s’assit sur le sable chaud, pour la lire. San Salvador, Vendredi 25 mai 1502 Cher Chinito, Après ces longues années passées sans ta présence, j’ai décidé de t’envoyer cette lettre pour te donner de mes nouvelles sur l’île où je vis à présent, car tu m’as beaucoup manqué. Je vais d’abord t’expliquer que lors de ton départ en Espagne, j’étais triste et peiné : mais voilà, c’était pour ton bien, Chinito ! Maintenant, je vais te raconter ma vie sur l’île San Salvador avec les indiens… Lorsque je me suis installé, les indigènes firent une danse pour m’honorer, et ils versèrent quelques larmes de joie. Ensuite, je suis allé les remercier, du plus profond de mon cœur : j’étais très ému de leur générosité. Un moment plus tard, je me disais qu’il fallait bien que je me construise une petite maisonnette pour me protéger des intempéries : moi, connaissant à peine l’île, je faisais des signes avec la main pour leurs expliquer que je voulais construire un abri. C’était amusant ; ils sont allés me chercher des morceaux de bois et des ficelles de bambous, puis m’aidèrent à construire une hutte : elle était magnifique ! Une semaine plus tard, j’ai appris aux indigènes quelques principaux mots en espagnole : leur accent était très drôle ! Je pouvais donc communiquer plus facilement, car eux aussi m’ont appris quelques «mots» en langue des signes. Ils m’ont fait visiter l’île, et tu ne vas pas me croire, mais cette île à l’air presque surréaliste : le merveilleux plumage des oiseaux qui s’envolaient vers le ciel azur, avaient des couleurs remarquables comme le bleu, jaune, rouge… sans oublier les arbres aux fruits étoilés, et la végétation luxuriante, c’était magistral ! Les indiens m’ont même appris à chasser un animal encore jamais connu, et c’est délicieux. Pedro, tu étais comme un petit frère pour moi, et j’aimerais encore tant en dire, mais ma lettre s’achève maintenant. Je t’adore mon ami. Bartolomeo (Signature) Après qu’il acheva sa lecture, Pedro Alvarez imaginait son corps en train de se glacer, malgré la chaleur infernale sur la plage. Il n’en crut pas ses yeux : il fut très ému et surtout choqué que cette bouteille est arrivée jusque lui, comme une coïncidence. Ses larmes coulèrent sur la lettre, et elles effacèrent l’encre noire du manuscrit de son fidèle ami, Bartolomeo.
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Bonjour, pouvez-vous m'aider pour la correction de ma rédaction en français s'il vous plaît ? ( temps,orthographes... ) La voici : Alors qu’il se promenait seul au bord de la mer, Pedro Alvarez vit une lettre enfermée dans une bouteille en verre. Inconsciemment, il ouvrit la bouteille, y sortit la lettre puis s’assit sur le sable chaud de, pour la lire. San Salvador, Vendredi 25 mai 1502 Cher Chinito, Après ces longues années passées sans ta présence, j’ai décidé de t’envoyer cette lettre pour te donner de mes nouvelles sur l’île où je vis à présent, car tu m’as beaucoup manqué. Je vais d’abord t’expliquer que lors de ton départ en Espagne, j’étais triste et peiné : mais voilà, c’était pour ton bien, Chinito ! Maintenant, je vais te raconter ma vie sur l’île San Salvador avec les indiens… Lorsque je me suis installé, les indigènes firent une danse pour m’honorer, et ils versèrent quelques larmes de joie. Ensuite, je suis allé les remercier, du plus profond de mon cœur : j’étais très ému de leur générosité. Un moment plus tard, je me disais qu’il fallait bien que je me construise une petite maisonnette pour me protéger des intempéries : moi, connaissant à peine l’île, je faisais des signes avec la main pour leurs expliquer que je voulais construire un abri. C’était amusant ; ils sont allés me chercher des morceaux de bois et des ficelles de bambous, puis m’aidèrent à construire une hutte : elle était magnifique ! Une semaine plus tard, j’ai appris aux indigènes quelques principaux mots en espagnole : leur accent était très drôle ! Je pouvais donc communiquer plus facilement, car eux aussi m’ont appris quelques «mots» en langue des signes. Ils m’ont fait visiter l’île, et tu ne vas pas me croire, mais cette île à l’air presque surréaliste : le merveilleux plumage des oiseaux qui s’envolaient vers le ciel azur, avaient des couleurs remarquables comme le bleu, jaune, rouge… sans oublier les arbres aux fruits étoilés, et la végétation luxuriante, c’était magistral ! Les indiens m’ont même appris à chasser un animal encore jamais connu, et c’est délicieux. Pedro, tu étais comme un petit frère pour moi, et j’aimerais encore tant en dire, mais ma lettre s’achève maintenant. Je t’adore mon ami. Bartolomeo (Signature) Après qu’il acheva sa lecture, Pedro Alvarez imaginait son corps en train de se glacer, malgré la chaleur infernale sur la plage. Il n’en crut pas ses yeux : il fut très ému et surtout choqué que cette bouteille est arrivée jusque lui, comme une coïncidence. Ses larmes coulèrent sur la lettre, et elles effacèrent l’encre noire du manuscrit de son fidèle ami, Bartolomeo.
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Bonjour, pouvez-vous m'aider pour la correction de ma rédaction en français s'il vous plaît ? ( temps,orthographes... ) La voici : Alors qu’il se promenait seul au bord de la mer, Pedro Alvarez vit une lettre enfermée dans une bouteille en verre. Inconsciemment, il ouvrit la bouteille, y sortit la lettre puis s’assit sur le sable chaud de, pour la lire. San Salvador, Vendredi 25 mai 1502 Cher Chinito, Après ces longues années passées sans ta présence, j’ai décidé de t’envoyer cette lettre pour te donner de mes nouvelles sur l’île où je vis à présent, car tu m’as beaucoup manqué. Je vais d’abord t’expliquer que lors de ton départ en Espagne, j’étais triste et peiné : mais voilà, c’était pour ton bien, Chinito ! Maintenant, je vais te raconter ma vie sur l’île San Salvador avec les indiens… Lorsque je me suis installé, les indigènes firent une danse pour m’honorer, et ils versèrent quelques larmes de joie. Ensuite, je suis allé les remercier, du plus profond de mon cœur : j’étais très ému de leur générosité. Un moment plus tard, je me disais qu’il fallait bien que je me construise une petite maisonnette pour me protéger des intempéries : moi, connaissant à peine l’île, je faisais des signes avec la main pour leurs expliquer que je voulais construire un abri. C’était amusant ; ils sont allés me chercher des morceaux de bois et des ficelles de bambous, puis m’aidèrent à construire une hutte : elle était magnifique ! Une semaine plus tard, j’ai appris aux indigènes quelques principaux mots en espagnole : leur accent était très drôle ! Je pouvais donc communiquer plus facilement, car eux aussi m’ont appris quelques «mots» en langue des signes. Ils m’ont fait visiter l’île, et tu ne vas pas me croire, mais cette île à l’air presque surréaliste : le merveilleux plumage des oiseaux qui s’envolaient vers le ciel azur, avaient des couleurs remarquables comme le bleu, jaune, rouge… sans oublier les arbres aux fruits étoilés, et la végétation luxuriante, c’était magistral ! Les indiens m’ont même appris à chasser un animal encore jamais connu, et c’est délicieux. Pedro, tu étais comme un petit frère pour moi, et j’aimerais encore tant en dire, mais ma lettre s’achève maintenant. Je t’adore mon ami. Bartolomeo (Signature) Après qu’il acheva sa lecture, Pedro Alvarez imaginait son corps en train de se glacer, malgré la chaleur infernale sur la plage. Il n’en crut pas ses yeux : il fut très ému et surtout choqué que cette bouteille est arrivée jusque lui, comme une coïncidence. Ses larmes coulèrent sur la lettre, et elles effacèrent l’encre noire du manuscrit de son fidèle ami, Bartolomeo.
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Bonjour, je suis au collège et j'aurais besoin d'aide, s'il vous plaît. J'ai fait ma rédaction et je voudrais quelqu'un pour corriger mes fautes d'orthographe, les temps, les accords etc... La voici : Maman, depuis que grand-père a su que grand-mère est décédée, je n’imagine même pas la souffrance dont il a pu subir et qu’il subit en ce moment-là même. Cela doit être horrible d’apprendre la mort de celui à qui tu as partagé ta vie, quand j’y repense ... Mais voilà ma chère, ne te fais aucuns soucis, si je suis parti, il y a une bonne raison et c’est d’ailleurs mon choix. Mon but est justement de lui faire oublier toute cette peine et cette haine qu’il a en lui. Et heureusement, c’est bien le cas, heureusement ! Notre complicité est tellement fusionnelle, je dirais même comme une éclipse solaire infinie… lorsqu’il est avec moi, c’est une présence chaleureuse et bienveillante que je ressens et qui c’est me faire du bien. C’est une personne au cœur doux qui a besoin d’affection. Grand-père, c'est un vrai porte-bonheur de l'avoir dans ma vie. On peut rire de tout, sans jamais se moquer. On peut se confier, sans jamais se juger. On peut passer du temps ensemble, sans jamais s'ennuyer. C’est magique ! Les paroles sont inutiles entre nous, notre complicité étant tellement évidente… Notre rencontre inattendue m'a aussi permis de découvrir qu'il est possible, d'un seul regard, de se reconnaître et de se comprendre. Il n’a jamais rien à me demander, je devance toujours ses attentes. Il est quelqu’un de formidable. Voilà maman, pourquoi j’ai fait cette décision, je l’adore. N’oublie pas que tu restes quand même la personne la plus fantastique. Tu es le plus beau cadeau que la vie m’ait fait. Que mon quotidien soit rempli ou non, tu es toujours dans mes pensées. Et que c'est difficile maman, tout à coup, de te savoir si loin quand nous nous sentons si proches ! Comment te dire que tu me manques, tout en t'exprimant cette immense confiance que j’ai en toi. C’est étrange, j’ai de plus en plus de mal à m’endormir quand tu n’es pas là, comme s’il manquait quelque chose. Tu as tout de bien, c’est simple, avec toi je me sens tout aussi bien, tout simplement heureux et équilibré. Lorsque l’on a quelque chose comme ça, on a peur de la perdre, et c’est bien le cas avec toi ma chère mère.
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Bonjour, je suis au collège et j'aurais besoin d'aide, s'il vous plaît. J'ai fait ma rédaction et je voudrais quelqu'un pour corriger mes fautes d'orthographe, les temps, les accords etc... La voici : Maman, depuis que grand-père a su que grand-mère est décédée, je n’imagine même pas la souffrance dont il a pu subir et qu’il subit en ce moment-là même. Cela doit être horrible d’apprendre la mort de celui à qui tu as partagé ta vie, quand j’y repense ... Mais voilà ma chère, ne te fais aucuns soucis, si je suis parti, il y a une bonne raison et c’est d’ailleurs mon choix. Mon but est justement de lui faire oublier toute cette peine et cette haine qu’il a en lui. Et heureusement, c’est bien le cas, heureusement ! Notre complicité est tellement fusionnelle, je dirais même comme une éclipse solaire infinie… lorsqu’il est avec moi, c’est une présence chaleureuse et bienveillante que je ressens et qui c’est me faire du bien. C’est une personne au cœur doux qui a besoin d’affection. Grand-père, c'est un vrai porte-bonheur de l'avoir dans ma vie. On peut rire de tout, sans jamais se moquer. On peut se confier, sans jamais se juger. On peut passer du temps ensemble, sans jamais s'ennuyer. C’est magique ! Les paroles sont inutiles entre nous, notre complicité étant tellement évidente… Notre rencontre inattendue m'a aussi permis de découvrir qu'il est possible, d'un seul regard, de se reconnaître et de se comprendre. Il n’a jamais rien à me demander, je devance toujours ses attentes. Il est quelqu’un de formidable. Voilà maman, pourquoi j’ai fait cette décision, je l’adore. N’oublie pas que tu restes quand même la personne la plus fantastique. Tu es le plus beau cadeau que la vie m’ait fait. Que mon quotidien soit rempli ou non, tu es toujours dans mes pensées. Et que c'est difficile maman, tout à coup, de te savoir si loin quand nous nous sentons si proches ! Comment te dire que tu me manques, tout en t'exprimant cette immense confiance que j’ai en toi. C’est étrange, j’ai de plus en plus de mal à m’endormir quand tu n’es pas là, comme s’il manquait quelque chose. Tu as tout de bien, c’est simple, avec toi je me sens tout aussi bien, tout simplement heureux et équilibré. Lorsque l’on a quelque chose comme ça, on a peur de la perdre, et c’est bien le cas avec toi ma chère mère.
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Bonjour, je suis au collège et j'aurais besoin d'aide, 10 POINTS à gagner s'il vous plaît. J'ai fait ma rédaction et je voudrais quelqu'un pour corriger mes fautes d'orthographe, les temps, les accords etc... La voici : Maman, depuis que grand-père a su que grand-mère est décédée, je n’imagine même pas la souffrance dont il a pu subir et qu’il subit en ce moment-là même. Cela doit être horrible d’apprendre la mort de celui à qui tu as partagé ta vie, quand j’y repense ... Mais voilà ma chère, ne te fais aucuns soucis, si je suis parti, il y a une bonne raison et c’est d’ailleurs mon choix. Mon but est justement de lui faire oublier toute cette peine et cette haine qu’il a en lui. Et heureusement, c’est bien le cas, heureusement ! Notre complicité est tellement fusionnelle, je dirais même comme une éclipse solaire infinie… lorsqu’il est avec moi, c’est une présence chaleureuse et bienveillante que je ressens et qui c’est me faire du bien. C’est une personne au cœur doux qui a besoin d’affection. Grand-père, c'est un vrai porte-bonheur de l'avoir dans ma vie. On peut rire de tout, sans jamais se moquer. On peut se confier, sans jamais se juger. On peut passer du temps ensemble, sans jamais s'ennuyer. C’est magique ! Les paroles sont inutiles entre nous, notre complicité étant tellement évidente… Notre rencontre inattendue m'a aussi permis de découvrir qu'il est possible, d'un seul regard, de se reconnaître et de se comprendre. Il n’a jamais rien à me demander, je devance toujours ses attentes. Il est quelqu’un de formidable. Voilà maman, pourquoi j’ai fait cette décision, je l’adore. N’oublie pas que tu restes quand même la personne la plus fantastique. Tu es le plus beau cadeau que la vie m’ait fait. Que mon quotidien soit rempli ou non, tu es toujours dans mes pensées. Et que c'est difficile maman, tout à coup, de te savoir si loin quand nous nous sentons si proches ! Comment te dire que tu me manques, tout en t'exprimant cette immense confiance que j’ai en toi. C’est étrange, j’ai de plus en plus de mal à m’endormir quand tu n’es pas là, comme s’il manquait quelque chose. Tu as tout de bien, c’est simple, avec toi je me sens tout aussi bien, tout simplement heureux et équilibré. Lorsque l’on a quelque chose comme ça, on a peur de la perdre, et c’est bien le cas avec toi ma chère mère.
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Bonjour tous le monde ! Je dois rédiger un texte de théâtre et j'aimerais beaucoup que quelqu'un de qualifiée me corrige les éventuelles fautes. S'il vous plaît le texte est juste en bas :) Ps : Ne vous occuper pas des phrases entre parenthèses Timothée : - Bonjour Madame ! Je viens chercher Lucas s’il vous plaît. Est-il occupé ? La mère : - Bonjour Timothée, oui je m’en rappelle, vous avez prévu d’aller au cinéma aujourd’hui. Le problème est que je l’ai privé de sortie ! (En criant) Timothée : (En s’étonnant) - Comment ça ? La mère : - N’est tu point au courant de ce que Lucas a fait ? (En soupirant) Hier, il n’est pas rentré à l’heure prévue et est resté jusqu’à la nuit avec ses cousins ! Timothée : - Pourquoi a-t-il fait cela ? Pourtant, je n’étais pas présent lorsqu’il est sorti hier… La mère : - Je n’en ai aucune idée, mais la seule chose que je sais, c’est qu’il l’a fait volontairement ! (En s’énervant) Timothée : - Ah bon ? Ce n’est vraiment pas une bonne action qu’il ait faite ! Je vous l’accorde. (En haussant ses épaules) Mais connaissant Lucas, je suis sûr qu’il fera tout pour se faire pardonner de ce petit malentendu et présentera ses excuses auprès de vous, madame. La mère : (En haussant ses épaules) - Mais penses-tu que des simples paroles suffiront pour qu’il se fasse pardonner ?! Je sais très bien qu’il recommencera s’il veut… Timothée : (En s’exclamant) – Vous avez raison ! Les excuses sont des simples paroles que la plupart du temps, on ne tient pas, je vous le concède. Mais je vous assure : Lucas ne recommencera plus ce qu’il a fait de mal. La mère : Comment le sais-tu ? Bien que vous soyez meilleurs amis et que tu connais très bien Lucas, cela ne m’explique pas pourquoi il devrait se dire de ne plus recommencer ces mauvaises actions, vois-tu. Et imagine si ses excuses ne sont pas sincères ! Timothée : - (En hochant la tête) Oui ! Il est vrai que parfois, on ne s’excuse pas sincèrement et que l’on recommence à faire des erreurs, comme vous le dites. Mais je vous le promets : Lucas s’excuse à chaque fois qu’il commet une erreur auprès de moi et ses amis, et même auprès des personnes qu’il déteste ! Alors pourquoi ne s’excuserais-t-il pas auprès de sa propre mère ? La mère : - C’est vrai… D’un côté tu as raison. Bon, je laisse exceptionnellement Lucas sortir et ne le prive plus de sortie à une seule condition : qu’il ne recommence plus ces âneries ! Timothée : - Merci infiniment ! Lucas ne recommencera plus, c’est promis. (En sautant de joie) La mère : - Je vous fais confiance : ne faites pas de bêtises ! Timothée : - D’accord madame, bonne journée ! (En lui faisant un geste avec la main) Merci d'avance !
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Bonjour, pouvez vous m'aider pour ma rédaction d'histoire s'il vous plaît ? Je suis un esclave et je dois raconter ma vie (capture de ma tribu, traversée de l'atlantique, vie dans les plantations, etc...). Je l'ai déjà écrite, mais c'est juste pour les éventuelles fautes d'orthographe, tournures des phrases etc... La voici ( et merci d'avance à ceux qui veulent m'aider !) : Jeudi 23 Août, 1847, Afrique Ce jour-là, en Afrique, j’étais tranquillement avec ma famille. Tout allait bien et je vécu jusqu’à la, une belle vie. Soudainement, des nègres d’une autre tribu se sont précipités vers moi. Ils étaient au nombre de quatre. Je ne comprenais rien de ce qu’il m’arrivait : ils m’ont violemment jeté dans un filet très étroit. Puis, lorsque j’essayais de me débattre, ils me fouettaient à la corde. C’était vraiment douloureux. J’étais à ce moment-là, privé de ma liberté, et je ne pouvais plus voir ma famille. J’ai finalement compris qu’ils m’ont capturé en tant que futur esclave, tout çà, pour de simples marchandises. Ensuite, une fois arrivé au lieu souhaité, plusieurs autres nègres et moi ont été embarqués en force dans un navire. J’étais entassé, serré et aussi attaché par des chaînes aux autres esclaves. Ce fut une vraie torture : l’expédition durais plus d’un mois. Lors des tempêtes, je me blessais contre les parois du bateau, et les chaînes me déchirais la peau. Je fus à peine nourris, et les plus faibles à la traversée, mourraient. Quand je voyais, les autres esclaves qui étaient jetés comme des objets dans l’océan, je pleurais de rage, et j’espérais que cela ne m’arrive pas. L’hygiène étais vraiment pauvre, et à un moment, je me sentais très faible. Je priais pour que cette traversée s’achève pour de bon… Mardi 2 Octobre, 1847, France Lorsque l’expédition fut achevée, je ne savais dans quel pays je me trouvais, puis j’ai très vite su que je me trouvais en France. J’étais aligné à côté de plusieurs autres esclaves sur une estrade, puis une vente aux enchères s’était déclenchée : j’étais vendu tel un animal et c’était vraiment comme un marché de bestiaux. Une fois que mon « futur » maître m’avais acheté, je fus emmené dans une pièce insalubre, sale, sans hygiène et sombre pendant quelques instants. Puis, on m’a emmené dans les plantations. C’était vraiment la pire douleur que je n’avais jamais connue auparavant, même, dirais-je, pire que la traversée en bateau. Mon maître me faisait travailler tous les jours, jour et nuit, forcé d’obéir à tous ses ordres. Une fois, je n’ai pas obéi à l’une de ses demandes en tentant de m’échapper, mais ses gardes m’ont attrapé, et j’ai subi à la coupure de mon mollet gauche, qui était d’ailleurs, vraiment douloureuse. Heureusement que mon maître me la fait soigner, il était obligé, car je ne pense pas que j’aurais survécu en me vidant de mon sang. Je faisais mille prières pour que l’esclavage soit aboli, et c’est ainsi un an après, en 1848, que l’esclavage fut définitivement, achevé…
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