Bonjour tout le monde ! pouvez vous me dire si ma fiche de synthèse pour les TPE vous semble correcte ? Merci d'avance. SUJET : L’Homme gagnerait il à «Avoir un œil d'aigle» J’ai choisi ce sujet car je trouve que l’aigle a une vue remarquable par rapport aux autres animaux. De plus l’œil animal est très intéressant. Et selon moi avec ce sujet il était facile de mettre en évidence l’SVT ainsi que la Physique. En plus de cela nous avions déjà étudié auparavant l’œil en physique avec le chapitre 1 : Vision et images, ce qui m’a permis d’avoir déjà quelques connaissances. Au départ nous étions 3, et nous hésitions entre plusieurs problématiques qui tournés tous autour du même sujet : la perception du monde en couleurs. Mais nous nous sommes rendu compte qu’un autre groupe faisait déjà cela. Du coup on c’est intéressé d’avantage à la vision animale. Après avoir longtemps réfléchit a quelle animale nous pouvions étudier on c’est enfin mis d’accord sur l’aigle mais à 2 seulement moi et Stéphanie car Rebecca à dû changer de lycée. Notre problématique était : "Quels sont les structures dans l'œil de l'aigle qui lui permettent une telle acuité visuelle ? " Nous avons donc commencés à faire des recherches sur la vision de l’aigle ainsi que la composition de son œil en salle informatiques. Puis nous avons demandé de l’aide à nos professeurs pour voire si ce que nous avons fait jusqu'à présent était correcte. Elles nous conseiller d’aller au CDI pour pouvoir obtenir d’autres informations sur la vision de l’aigle. Elles ont également précisé qu’il fallait changer notre problématique car celles- ci n’était pas une problématique mais plus un sujet d’exposé. Nous sommes donc allez moi et ma camarade Stéphanie au CDI mais malheureusement nous avons trouvés aucun documents intéressent pour nos TPE. Nous avons donc continué la recherche d’informations sur internet mais sans problématique car on n’avait aucunes idées. Puis fin Novembre on a pensé a l’expression « avoir un œil d’aigle » et à partir de cette expression nous avons pu définir notre problématique : L’Homme gagnerait il à «Avoir un œil d'aigle». Nous avons réalisés 2 expérience en physique : une avec la maquette de l’œil, avec laquelle on a modélisé l’œil humain et celui de l’aigle pour pouvoir voire si la forme ovale de l’œil de l’aigle permet a celui-ci de voir plus loin et grâce au résultats obtenue nous avons vue que oui. La deuxième expérience consistée à voir si la vergence du cristallin de l’aigle permette de voir plus loin et plus nette. Pour réaliser celle-ci nous avons utilisé un banc optique et les résultats obtenue on confirmer notre hypothèse. Mais nous n’avons pas pu prendre la vrai vergence de l’œil humain qui est d’environ 50 δ, car le lycée ne possède que des lentilles de 20 δ maximum. Nous avons également fait 1 dissection et une observation au microscope en se qui concerne la partie SVT. Tous t’abord nous n’avons pas pu avoir une coupe de rétine d’aigle car cela est bien évidement trop compliqué à trouver. Mais les préparatrices nous ont préparé une coupe de rétine humaine, ainsi que le microscope. Nous avons eu un problème lors de l’observation, nous n’avons pas pu distinguer les bâtonnets mais seulement les cônes. Ensuite nous avons disséqué 2 yeux de taureau et 2 de vache frais que ma camarade Stéphanie a réussis à obtenir à un abattoir pas loin de chez elle. Nous avons effectués cette dissection dans le laboratoire d’SVT, les préparatrices nous avaient préparé tout le matériel nécessaire. Nous avons eu du mal à organiser nos informations puisque une fois le TPE finis nous l’avons montré a la professeure d’SVT et celle-ci nous as dit que ont avait toute les informations nécessaires mais que le plan ne répondait pas réellement a notre problématiques. Elle nous alors donné un plan. Il fallait donc réorganiser toute nos informations en fonctions du nouveau plan. Finalement, même si par moments ça a été difficiles ce TPE a été bénéfique pour moi puisque il m’a permis de faire des choses que je n’ai pas forcement l’habitude de faire tel que la dissection d’un œil que je n’avais jamais fait auparavant par exemple. J’ai aussi particulièrement apprécié de travailler avec ma camarade Stéphanie qui m’a appris énormément de chose même si d’habitude je préfère travailler toute seule. Toute les 2 nous étions bien coordonnée chacune savait ce qu’elle avait à faire, tout était préparer a l’avance. De plus ces TPE m’on aussi permit d’approfondir certaines notion que nous n’avons pas vue en cour.
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Bonjour est ce que quelqu'un pourais m'aider a anlyser ce court passage de FLAUBERT L'education sentimentale ? De retour à Paris et invité chez Rosanette Bron, une courtisane, Frédéric découvre une soirée déguisée médiocre, qui l’écœure. La société s'y révèle grotesque et pathétique Frédéric, s’étant rangé contre le mur, regarda le quadrille devant lui. Un vieux beau, vêtu, comme un doge vénitien, d’une longue simarre de soie pourpre, dansait avec Mme Rosanette, qui portait un habit vert, une culotte de tricot et des bottes molles à éperonsd’or. Le couple en face se composait d’un Arnaute chargé deyatagans et d’une Suissesse aux yeux bleus, blanche comme du lait,potelée comme une caille, en manches de chemise et corset rouge.Pour faire valoir sa chevelure qui lui descendait jusqu’auxjarrets, une grande blonde, marcheuse à l’Opéra, s’était mise enfemme sauvage ; et, par-dessus son maillot de couleur brune,n’avait qu’un pagne de cuir, des bracelets de verroterie, et undiadème de clinquant, d’où s’élevait une haute gerbe en plumes depaon. Devant elle, un Pritchard, affublé d’un habit noirgrotesquement large, battait la mesure avec son coude sur satabatière. Un petit berger Watteau, azur et argent comme un clairde lune, choquait sa houlette contre le thyrse d’une Bacchante,couronnée de raisins, une peau de léopard sur le flanc gauche etdes cothurnes à rubans d’or. De l’autre côté une Polonaise, enspencer de velours nacarat, balançait son jupon de gaze sur ses basde soie gris perle, pris dans des bottines roses cerclées defourrure blanche. Elle souriait à un quadragénaire ventru, déguiséen enfant de choeur, et qui gambadait très haut, levant d’une mainson surplis et retenant de l’autre sa calotte rouge. Mais la reine,l’étoile, c’était mademoiselle Loulou, célèbre danseuse des balspublics. Comme elle se trouvait riche maintenant, elle portait unelarge collerette de dentelle sur sa veste de velours noiruni ; et son large pantalon de soie ponceau, collant sur lacroupe et serré à la taille par une écharpe de cachemire, avait,tout le long de la couture, des petits camélias blancs naturels.
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