Bonjour, pouvez vous m'aider s'il vous plaît ? Merci d'avance ☺ (question à 20 points) Exercice 9 : Lis ce texte contre la peine de mort, puis réponds aux consignes suivantes.a. Quel est le passage qui sert d'exemple ? b. Quels sont les deux noms par lesquels l'auteur désigne son exemple ? c. Quel est le verbe qui introduit l'exemple ? Loin d'édifier le peuple, [le spectacle des exécutions] le démoralise, et ruine en lui toute sensibilité [...]. Les preuves abondent, et encombreraient notre raisonnement si nous voulions en citer. Nous signalerons pourtant un fait [...]. Il est du 5 mars, dernier jour du carnaval. A Saint-Pol, immediatement après l'exécution d'un incendiaire nomme Louis Camus, une troupe de masques est venue danser autour de l'échafaud encore fumant. Victor Hugo, Le Dernier Jour d'un condamné, préface de 1832. Exercice 10 :Quels sont les connecteurs ? Quels sont les exemples ? La Première Guerre mondiale est considérée comme une guerre totale. En effet, en premier lieu, tous les acteurs du monde écono- mique sont mobilisés pour répondre aux besoins des armées. Ainsi, toutes les industries du pays sont réquisitionnées pour fournir équipements ou ravitaillement. Mais la société tout entière se mobilise egalement, comme en témoigne le développement du travail feminin. Il s'agit enfin d'une guerre totale par le contrôle de l'engagement moral des populations par les gouvernements, notamment par la censure et la propagande. En conclusion, on peut parler d'une guerre totale, car toute la population, combattante ou non, et tous les moyens de production sont consacrés à la guerre. ​
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Bonjour, pouvez vous m'aider s'il vous plaît ? Merci d'avance ☺ (question à 20 points)Exercice 9 :Lis ce texte contre la peine de mort, puis réponds aux consignes suivantes.a. Quel est le passage qui sert d'exemple ?b. Quels sont les deux noms par lesquels l'auteur désigne son exemple ? c. Quel est le verbe qui introduit l'exemple ?Loin d'édifier le peuple, [le spectacle des exécutions] le démoralise, et ruine en lui toute sensibilité [...]. Les preuves abondent, et encombreraient notre raisonnement si nous voulions en citer. Nous signalerons pourtant un fait [...]. Il est du 5 mars, dernier jour du carnaval. A Saint-Pol, immediatement après l'exécution d'un incendiaire nomme Louis Camus, une troupe de masques est venue danser autour de l'échafaud encore fumant. Victor Hugo, Le Dernier Jour d'un condamné, préface de 1832. Exercice 10 :Quels sont les connecteurs ? Quels sont les exemples ? La Première Guerre mondiale est considérée comme une guerre totale. En effet, en premier lieu, tous les acteurs du monde écono- mique sont mobilisés pour répondre aux besoins des armées. Ainsi, toutes les industries du pays sont réquisitionnées pour fournir équipements ou ravitaillement. Mais la société tout entière se mobilise egalement, comme en témoigne le développement du travail feminin. Il s'agit enfin d'une guerre totale par le contrôle de l'engagement moral des populations par les gouvernements, notamment par la censure et la propagande. En conclusion, on peut parler d'une guerre totale, car toute la population, combattante ou non, et tous les moyens de production sont consacrés à la guerre. ​
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Bonjour, pouvez vous m'aider pour mon devoir de français s'il vous plaît ? Merci aux plus généreux/ses <33. En face les adversaires occupent toute la chaussée. Au téléobjectif, Dumont isole quelques tireurs au visage déformé par des ritues de haine. Ils chargent en longeant les façades. Une femme surprise sur son seuil recule horrifiée sa main portée à la bouche pour étouffer ses cris. Philippe opère avec une précision d'automate. Les boîtiers semblent valser dans ses mains, tenus tantôt à l'horizontale et tantôt à la verticale, avec une adresse de jongleur. Les doigts règlent les bagues, manipulent les boutons. Le déclencheur cliquette sur un rythme accéléré. Les instantanés s'emmagasinent à une cadence infernale. Un mouvement tournant se dessine, une tentative de dégagement, mais la masse a mal manœuvré. Tombant dans le piège tendu par les Britanniques, elle se laisse enfermer comme dans une nasse à l'intersection d'une avenue et de deux rues. Là, d'autres troupes sont postées, appuyées par une auto mitrailleuse. Philippe reste au coude à coudre avec ses voisins, sans cesser de photographier. Les projectiles ont changé. Après les gaz, les Anglais usent de balles de caoutchouc. Faites pour dissuader, elles devraient, en principe, toucher aux jambes, mais leurs trajectoires atteignent des fronts, des torses, des mains. Les gens hurlent et commence à refuer. Soudain, les blindés s'ébranlent, et "sans sommation", des tirs de mitrailleuses se déclenchent sur des manifestants "sans armes". Terrifiés, il se plaquent au sol, s'égaillent ou s'engouffrent dans les maisons. Philippe bondit derrière une palissade et s'accroupit. Une fois encore son "Canon" se lève et shoote.(L.24) A l'opposé de la place, sur un trottoir, six hommes se sont aplatis. Un vieillard les limite. Des cheveux gris dépassent de sa casquette. Il rampe, il est touché. Il redresse la tête et tente vainement de se traîner plus loin. Une rafale l'immobilise définitivement. Sur l'asphate, une tache brune coule. Elle s'étale La scène, un instant vide, s'anime de nouveau. Un crâne chauffe apparaît à ras de terre, derrière une borne. Des épaules larges. Sur le bras une croix rouge se détache. Le personnage se coule en direction de la forme inerte. Philippe peut suivre tous les gestes du sauveteur. Il pose sa tête sur la poitrine du blessé, l'ausculte. Plus rien. Alors, ses doigts abaissent doucement les paupières du mort. La fusillade a cessé. A son tour, une femme s'approche. Elle s'abat à genoux et prie. La séquence s'achève sur un gros plan de ses mains jointes. (L.35) Philippe pivote pour observer un autre angle du carrefour. A mi-hauteur, la fumée des gaz lacrymogène flotte. Elle tend un voile gris sinistre devant les façades. Les gens affalés se relèvent lentement, comme hallucinés. Un groupe de trois hommes marchant de front s'avance. Ils portent entre eux un corps disloqué. Les bras pendent. La tête ensanglantée ballotte et ses longues mèches brunes ondulent. Ce sera la dernière image. Le déclic de l'obturateur a changé de son, indiquant que le magasin de pellicules est vide. a Alors, Philippe Dumont se relève, hagard. Rétrospectivement, une peur immense l'envahit, un frisson d'horreur le secoue. (L.46) Emotion différées jusqu'à cet instant, abolies par la nécessité de faire correctement son métier. H. Pirotte. Flash sur un reporter, Bibliothèque de l'amitié, 1978.1.a. Relevez toutes les phrases dont le sujet est le nom et/ou le prénom du reporter. b. Qu'apprend ainsi le lecteur du travail de ce reporter ?2.a. Quel événement le reporter couvre-t-il ?b. Quelles sont les quatre grandes étapes de son reportage ? c. Comment le reporter se comporte-t-il pendant qu'il photographie ? Justifiez.3. L. 24 à 35 :a. Quelles sont les caractéristiques des phrases ? b. Que traduisent-elles selon vous ? 4.a. Qu'est-ce que, pour ce reporter, "faire correctement son métier" (l.46) ? Expliquez.b. Selon vous, ce reporter fait-il preuve de qualités ? Justifiez.​
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