Quelle traduction préférez vous? pourquoi ?
Traduction 1.
L'appartement de l'Imperatrice était éclairé d'une faible lumière. Agripplne
n'avalt à ses côtés qu'une de ses femmes ; son effrol s'accroît de moment en
moment. La servante d'Agripplne s'éloignant : « Et toi, tu m'abandonnes aussi !
>> lui dit sa maitresse. A l'instant, elle aperçolt Anicet. « Si vous me visitez de la
part de Néron, dit-elle, allez lui apprendre que je suis guérie ; si vous venez
m'assassiner, je ne croiral point que mon fils alt ordonné un parricide. » Elle
était dans son lit. Les meurtriers l'environnent, le trlérarque lui décoche un coup
de bâton sur la tête. Agrippine, le milieu du corps avancé vers le centurion, qui
tiralt son glalve, lui dit : « Frappe mon ventre ... » Et elle explre percée de
plusleurs coups.
Diderot, Essai sur les règnes de Claude et de Néron, ch. 71, 1782.
Traduction 2.
Dans la chambre, Il n'y avait qu'une falble lueur, et une seule esclave avec
Agrippine, de plus en plus inquiéte, Puls, comme la servante s'éloignait, « Toi
aussi, tu m'abandonnes », lance-t-elle ; se retournant, elle voit Anicetus et lui
dit que, s'il était venu pour lui rendre visite, il pouvait annoncer son
rétablissement, s'il allait commettre un crime, elle ne saurait l'imputer à son
fils : Il n'avait pas commandé un parricide. Les assassins entourent le lit, et le
triérarque lui asséna, le premier, un coup de bâton sur la tête ; déjà le
centurion dégalnait pour lui donner la mort ; alors, montrant son abdomen, a
Frappe au ventre », s'écria-t-elle, et, percée de coups, elle expira.
Trad. P. Wullleumier, Annales de Tacite, coll. Budé, 1978.
Traduction 3.
Dans la chambre, il n'y avait qu'une petite lumière et une seule servante, et
Agrippine, de plus en plus inqulète. Et comme la servante s'en allait : « Toi
aussi, tu m'abandonnes », lui dit-elle, se tournant, elle vit derrière elle Anicetus
et elle lui dit que, s'il était venu pour lui rendre visite, il pouvait annoncer qu'elle
était rétablie, si, au contraire, il préparalt un mauvais coup, elle ne croirait pas
que ce soit de la part de son fils : Il n'avait pas ordonné un parricide. Les
assassins entourent le lit et, le premier, le trlérarque frappe d'un coup de bâton
à la tête ; et comme le centurion sortait son épée pour lui porter le coup fatal,
elle lui montra son sein : « Frappe au ventre », dit-elle et, percée de coups, elle
expira
P. Grimal, Euvres complètes de Tacite, Gallimard, La Pléiade, 1990.

boujour j'ai besoin aide svpppp vous pouvez aidé merci beaucoup infiniment !!!!!!!
​justifier svp!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
4fois je vous demande svp aidez moi mais supprimer pas mon devoir svppppp
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