Articles
Register
Sign In
Search
leana1645
@leana1645
April 2021
0
143
Report
Question
Faire une carte mentale de ce qu’il faut retenir sur la combustion.
Svp ❤️
Please enter comments
Please enter your name.
Please enter the correct email address.
Agree to
terms and service
You must agree before submitting.
Send
More Questions From This User
See All
leana1645
May 2021 | 0 Respostas
Svpppp❤️ Réécrivez l’extrait suivant en utilisant les temps du récit (passé simple/ imparfait) Nous sommes maintenant coincés entre les Marocains et la grille. Il faut monter. Il n’y a plus d’autre solution. J’entends des coups de feu. Des corps tombent. C’est alors que je vois Boubakar, sur une échelle, à quelques mètres de moi. A mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bouge plus. Il est accroché aux barbelés et ne parvient pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commencent à hurler. Ils veulent l’agripper pour le faire tomber et qu’il cède la place. Je ne réfléchis pas. Je descends dans sa direction. En quelques secondes, je suis sur lui et arrache la manche de son pull. Il me regarde avec étonnement.
Responda
leana1645
May 2021 | 0 Respostas
Svp 1 question ❤️ Quelle est la particularité des deux pronoms sujet « il » dans les extraits suivants : «Il faut monter. » « Il n’y a plus d’autre solution. » ?
Responda
leana1645
May 2021 | 0 Respostas
1 question svp. ❤️ « Je voudrais embrasser Boubakar mais nous n’avons pas le temps ». Quel la valeur d’emploi du verbe « voudrais »? (Juste sa valeur d’emploi ?)
Responda
leana1645
May 2021 | 0 Respostas
1 question svp ❤️ « Je voudrais embrasser Boubakar mais nous n’avons pas le temps ». Quel la valeur d’emploi du verbe « voudrais »?
Responda
leana1645
May 2021 | 0 Respostas
1 question svp ❤️ « Je voudrais embrasser Boubakar mais nous n’avons pas le temps ». Quel la valeur d’emploi du verbe « voudrais »?
Responda
leana1645
May 2021 | 0 Respostas
Svppp !! C’est un texte et des questions ❤️ Je cours. Je dévale la colline en serrant mon échelle. Je n’en reviens pas que nous soyons si nombreux. Je dépasse des hommes qui soufflent comme moi, avec la même rage. Je cours. Je vais vite. Je suis jeune. Il faut se frayer un passage dans la foule. Tout le monde a les yeux rivés sur la barrière. Les gardes espagnols ont réalisé maintenant. Ils hurlent dans la nuit. Que disent-ils ? Est-ce qu’ils nous ordonnent de nous arrêter ? Rien ne nous arrêtera. Certains d’entre eux se mettent à tirer en l’air. Des coups de sommation certainement. Pour nous intimider. Leurs balles ne nous font pas peur. Ils n’en auront pas suffisamment pour chacun d’entre nous. Je serre fort mon échelle. Je suis maintenant à quelques mètres de la barrière. Je la plaque contre les barbelés. Je n’ai pas le temps de regarder si elle atteint le sommet, je commence à monter. Des dizaines d’autres échelles jaillissent partout autour de moi. Les plus jeunes d’entre nous sont arrivés. L’assaut a commencé. Je monte à toute vi- tesse. Les barreaux ne cèdent pas mais l’échelle est trop courte. Il reste presque un mètre à franchir. Je m’agrippe au fil qui me fait saigner les mains. Cela n’a pas d’importance. Je veux passer. J’ai le souffle court. Les bras me tirent. Je dois tenir. La barrière est secouée de mouvements incessants. Elle se tord et grince de tous ces doigts qui l’agrippent. Je suis en haut. Il ne me reste plus qu’à passer la jambe pour descendre de l’autre côté. C’est alors qu’ils ont commencé à tirer des grenades lacrymogènes dans le tas indistinct des assaillants. J’entends les cris de ceux qui se cachent les yeux et suffoquent. Mais il y a pire. Les véhicules de police marocaine arrivent en trombe et nous prennent à revers. Nous sommes maintenant coincés entre les Marocains et la grille. Il faut monter. Il n’y a plus d’autre solution. J’entends des coups de feu. Des corps tombent. C’est alors que je vois Boubakar, sur une échelle, à quelques mètres de moi. A mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bouge plus. Il est ac- croché aux barbelés et ne parvient pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commencent à hurler. Ils veulent l’agripper pour le faire tomber et qu’il cède la place. Je ne réfléchis pas. Je descends dans sa direction. En quelques secondes, je suis sur lui et arrache la manche de son pull. Il me regarde avec étonnement. Comme un chien regarde la lune. Je lui hurle de se dépêcher. Il reprend son ascension. Nous sommes tous les deux au sommet, maintenant. Il faut faire vite. La panique s’est emparée de ceux qui sont encore à terre. Pour échapper aux coups des Marocains, ils montent en maltraitant ceux qu’ils dépassent. Chacun tente de sauver sa vie. Je fais passer la jambe morte de Boubakar au-dessus du grillage et nous descendons de l’autre côté. Les bras me tirent, je n’ai plus de force et me laisse tomber. Je chute. Je sens l’impact dur du sol. Les genoux qui me rentrent dans le ventre. Je suis fatigué mais je sens sous moi cette terre nouvelle et cela me donne une force de conquérant. Nous y sommes presque. Il ne reste plus qu’une grille à monter. Boubakar est à mes côtés. Je le sens 35 respirer comme un gibier après la course. Nous sommes tous les deux là. Je voudrais sourire car je me sens une force de titan. J’ai sauté sur l’Europe. J’ai enjambé des mers et sauté par- dessus des montagnes. Je voudrais embrasser Boubakar mais nous n’avons pas le temps. Il reste une grille à franchir. Il se relève en même temps que moi. A cet instant, le but nous semble proche. Nous ne nous doutons pas que le pire est à venir. Questions: 1. De « je cours » ligne 1 à « autour de moi »: que ressentent les migrants, dont Soleiman, avant l’assaut ? Justifiez en relevant deux exemples dans le texte. 2. Comment les gardes espagnols et marocains sont-ils perçus et décrits par Soleiman ? Relevez quelques exemples dans l’ensemble du texte. 3. La violence de l’assaut : a. Relevez trois expressions appartenant au champ lexical de la violence que subissent les migrants au cours de l’assaut. b. Cette violence n’est-elle que le fait des gardes ? Expliquez votre réponse. 4. De « Je suis fatigué mais... » à « ... des montagnes. » : a. Quel est l’état d’esprit de Soleiman à ce stade du récit ? b. Justifiez votre réponse en relevant deux procédés différents (figures de style) que vous nommerez. 5. En quoi cet événement transforme-t-il Soleiman en héros ? Plusieurs éléments de réponse sont attendus. Vous répondrez dans un paragraphe structuré, en vous appuyant sur des exemples tirés du texte.
Responda
leana1645
May 2021 | 0 Respostas
Svp cets un texte et des questions ❤️ Je cours. Je dévale la colline en serrant mon échelle. Je n’en reviens pas que nous soyons si nombreux. Je dépasse des hommes qui soufflent comme moi, avec la même rage. Je cours. Je vais vite. Je suis jeune. Il faut se frayer un passage dans la foule. Tout le monde a les yeux rivés sur la barrière. Les gardes espagnols ont réalisé maintenant. Ils hurlent dans la nuit. Que disent-ils ? Est-ce qu’ils nous ordonnent de nous arrêter ? Rien ne nous arrêtera. Certains d’entre eux se mettent à tirer en l’air. Des coups de sommation certainement. Pour nous intimider. Leurs balles ne nous font pas peur. Ils n’en auront pas suffisamment pour chacun d’entre nous. Je serre fort mon échelle. Je suis maintenant à quelques mètres de la barrière. Je la plaque contre les barbelés. Je n’ai pas le temps de regarder si elle atteint le sommet, je commence à monter. Des dizaines d’autres échelles jaillissent partout autour de moi. Les plus jeunes d’entre nous sont arrivés. L’assaut a commencé. Je monte à toute vi- tesse. Les barreaux ne cèdent pas mais l’échelle est trop courte. Il reste presque un mètre à franchir. Je m’agrippe au fil qui me fait saigner les mains. Cela n’a pas d’importance. Je veux passer. J’ai le souffle court. Les bras me tirent. Je dois tenir. La barrière est secouée de mouvements incessants. Elle se tord et grince de tous ces doigts qui l’agrippent. Je suis en haut. Il ne me reste plus qu’à passer la jambe pour descendre de l’autre côté. C’est alors qu’ils ont commencé à tirer des grenades lacrymogènes dans le tas indistinct des assaillants. J’entends les cris de ceux qui se cachent les yeux et suffoquent. Mais il y a pire. Les véhicules de police marocaine arrivent en trombe et nous prennent à revers. Nous sommes maintenant coincés entre les Marocains et la grille. Il faut monter. Il n’y a plus d’autre solution. J’entends des coups de feu. Des corps tombent. C’est alors que je vois Boubakar, sur une échelle, à quelques mètres de moi. A mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bouge plus. Il est ac- croché aux barbelés et ne parvient pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commencent à hurler. Ils veulent l’agripper pour le faire tomber et qu’il cède la place. Je ne réfléchis pas. Je descends dans sa direction. En quelques secondes, je suis sur lui et arrache la manche de son pull. Il me regarde avec étonnement. Comme un chien regarde la lune. Je lui hurle de se dépêcher. Il reprend son ascension. Nous sommes tous les deux au sommet, maintenant. Il faut faire vite. La panique s’est emparée de ceux qui sont encore à terre. Pour échapper aux coups des Marocains, ils montent en maltraitant ceux qu’ils dépassent. Chacun tente de sauver sa vie. Je fais passer la jambe morte de Boubakar au-dessus du grillage et nous descendons de l’autre côté. Les bras me tirent, je n’ai plus de force et me laisse tomber. Je chute. Je sens l’impact dur du sol. Les genoux qui me rentrent dans le ventre. Je suis fatigué mais je sens sous moi cette terre nouvelle et cela me donne une force de conquérant. Nous y sommes presque. Il ne reste plus qu’une grille à monter. Boubakar est à mes côtés. Je le sens 35 respirer comme un gibier après la course. Nous sommes tous les deux là. Je voudrais sourire car je me sens une force de titan. J’ai sauté sur l’Europe. J’ai enjambé des mers et sauté par- dessus des montagnes. Je voudrais embrasser Boubakar mais nous n’avons pas le temps. Il reste une grille à franchir. Il se relève en même temps que moi. A cet instant, le but nous semble proche. Nous ne nous doutons pas que le pire est à venir. Questions: 1. De « je cours » ligne 1 à « autour de moi »: que ressentent les migrants, dont Soleiman, avant l’assaut ? Justifiez en relevant deux exemples dans le texte. 2. Comment les gardes espagnols et marocains sont-ils perçus et décrits par Soleiman ? Relevez quelques exemples dans l’ensemble du texte. 3. La violence de l’assaut : a. Relevez trois expressions appartenant au champ lexical de la violence que subissent les migrants au cours de l’assaut. b. Cette violence n’est-elle que le fait des gardes ? Expliquez votre réponse. 4. De « Je suis fatigué mais... » à « ... des montagnes. » : a. Quel est l’état d’esprit de Soleiman à ce stade du récit ? b. Justifiez votre réponse en relevant deux procédés différents (figures de style) que vous nommerez. 5. En quoi cet événement transforme-t-il Soleiman en héros ? Plusieurs éléments de réponse sont attendus. Vous répondrez dans un paragraphe structuré, en vous appuyant sur des exemples tirés du texte.
Responda
leana1645
May 2021 | 0 Respostas
Svp cets un texte et des questions ❤️ Je cours. Je dévale la colline en serrant mon échelle. Je n’en reviens pas que nous soyons si nombreux. Je dépasse des hommes qui soufflent comme moi, avec la même rage. Je cours. Je vais vite. Je suis jeune. Il faut se frayer un passage dans la foule. Tout le monde a les yeux rivés sur la barrière. Les gardes espagnols ont réalisé maintenant. Ils hurlent dans la nuit. Que disent-ils ? Est-ce qu’ils nous ordonnent de nous arrêter ? Rien ne nous arrêtera. Certains d’entre eux se mettent à tirer en l’air. Des coups de sommation certainement. Pour nous intimider. Leurs balles ne nous font pas peur. Ils n’en auront pas suffisamment pour chacun d’entre nous. Je serre fort mon échelle. Je suis maintenant à quelques mètres de la barrière. Je la plaque contre les barbelés. Je n’ai pas le temps de regarder si elle atteint le sommet, je commence à monter. Des dizaines d’autres échelles jaillissent partout autour de moi. Les plus jeunes d’entre nous sont arrivés. L’assaut a commencé. Je monte à toute vi- tesse. Les barreaux ne cèdent pas mais l’échelle est trop courte. Il reste presque un mètre à franchir. Je m’agrippe au fil qui me fait saigner les mains. Cela n’a pas d’importance. Je veux passer. J’ai le souffle court. Les bras me tirent. Je dois tenir. La barrière est secouée de mouvements incessants. Elle se tord et grince de tous ces doigts qui l’agrippent. Je suis en haut. Il ne me reste plus qu’à passer la jambe pour descendre de l’autre côté. C’est alors qu’ils ont commencé à tirer des grenades lacrymogènes dans le tas indistinct des assaillants. J’entends les cris de ceux qui se cachent les yeux et suffoquent. Mais il y a pire. Les véhicules de police marocaine arrivent en trombe et nous prennent à revers. Nous sommes maintenant coincés entre les Marocains et la grille. Il faut monter. Il n’y a plus d’autre solution. J’entends des coups de feu. Des corps tombent. C’est alors que je vois Boubakar, sur une échelle, à quelques mètres de moi. A mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bouge plus. Il est ac- croché aux barbelés et ne parvient pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commencent à hurler. Ils veulent l’agripper pour le faire tomber et qu’il cède la place. Je ne réfléchis pas. Je descends dans sa direction. En quelques secondes, je suis sur lui et arrache la manche de son pull. Il me regarde avec étonnement. Comme un chien regarde la lune. Je lui hurle de se dépêcher. Il reprend son ascension. Nous sommes tous les deux au sommet, maintenant. Il faut faire vite. La panique s’est emparée de ceux qui sont encore à terre. Pour échapper aux coups des Marocains, ils montent en maltraitant ceux qu’ils dépassent. Chacun tente de sauver sa vie. Je fais passer la jambe morte de Boubakar au-dessus du grillage et nous descendons de l’autre côté. Les bras me tirent, je n’ai plus de force et me laisse tomber. Je chute. Je sens l’impact dur du sol. Les genoux qui me rentrent dans le ventre. Je suis fatigué mais je sens sous moi cette terre nouvelle et cela me donne une force de conquérant. Nous y sommes presque. Il ne reste plus qu’une grille à monter. Boubakar est à mes côtés. Je le sens 35 respirer comme un gibier après la course. Nous sommes tous les deux là. Je voudrais sourire car je me sens une force de titan. J’ai sauté sur l’Europe. J’ai enjambé des mers et sauté par- dessus des montagnes. Je voudrais embrasser Boubakar mais nous n’avons pas le temps. Il reste une grille à franchir. Il se relève en même temps que moi. A cet instant, le but nous semble proche. Nous ne nous doutons pas que le pire est à venir. Questions: 1. De « je cours » ligne 1 à « autour de moi »: que ressentent les migrants, dont Soleiman, avant l’assaut ? Justifiez en relevant deux exemples dans le texte. 2. Comment les gardes espagnols et marocains sont-ils perçus et décrits par Soleiman ? Relevez quelques exemples dans l’ensemble du texte. 3. La violence de l’assaut : a. Relevez trois expressions appartenant au champ lexical de la violence que subissent les migrants au cours de l’assaut. b. Cette violence n’est-elle que le fait des gardes ? Expliquez votre réponse. 4. De « Je suis fatigué mais... » à « ... des montagnes. » : a. Quel est l’état d’esprit de Soleiman à ce stade du récit ? b. Justifiez votre réponse en relevant deux procédés différents (figures de style) que vous nommerez. 5. En quoi cet événement transforme-t-il Soleiman en héros ? Plusieurs éléments de réponse sont attendus. Vous répondrez dans un paragraphe structuré, en vous appuyant sur des exemples tirés du texte.
Responda
leana1645
April 2021 | 0 Respostas
Svp cets un texte et des questions ❤️ Je cours. Je dévale la colline en serrant mon échelle. Je n’en reviens pas que nous soyons si nombreux. Je dépasse des hommes qui soufflent comme moi, avec la même rage. Je cours. Je vais vite. Je suis jeune. Il faut se frayer un passage dans la foule. Tout le monde a les yeux rivés sur la barrière. Les gardes espagnols ont réalisé maintenant. Ils hurlent dans la nuit. Que disent-ils ? Est-ce qu’ils nous ordonnent de nous arrêter ? Rien ne nous arrêtera. Certains d’entre eux se mettent à tirer en l’air. Des coups de sommation certainement. Pour nous intimider. Leurs balles ne nous font pas peur. Ils n’en auront pas suffisamment pour chacun d’entre nous. Je serre fort mon échelle. Je suis maintenant à quelques mètres de la barrière. Je la plaque contre les barbelés. Je n’ai pas le temps de regarder si elle atteint le sommet, je commence à monter. Des dizaines d’autres échelles jaillissent partout autour de moi. Les plus jeunes d’entre nous sont arrivés. L’assaut a commencé. Je monte à toute vi- tesse. Les barreaux ne cèdent pas mais l’échelle est trop courte. Il reste presque un mètre à franchir. Je m’agrippe au fil qui me fait saigner les mains. Cela n’a pas d’importance. Je veux passer. J’ai le souffle court. Les bras me tirent. Je dois tenir. La barrière est secouée de mouvements incessants. Elle se tord et grince de tous ces doigts qui l’agrippent. Je suis en haut. Il ne me reste plus qu’à passer la jambe pour descendre de l’autre côté. C’est alors qu’ils ont commencé à tirer des grenades lacrymogènes dans le tas indistinct des assaillants. J’entends les cris de ceux qui se cachent les yeux et suffoquent. Mais il y a pire. Les véhicules de police marocaine arrivent en trombe et nous prennent à revers. Nous sommes maintenant coincés entre les Marocains et la grille. Il faut monter. Il n’y a plus d’autre solution. J’entends des coups de feu. Des corps tombent. C’est alors que je vois Boubakar, sur une échelle, à quelques mètres de moi. A mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bouge plus. Il est ac- croché aux barbelés et ne parvient pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commencent à hurler. Ils veulent l’agripper pour le faire tomber et qu’il cède la place. Je ne réfléchis pas. Je descends dans sa direction. En quelques secondes, je suis sur lui et arrache la manche de son pull. Il me regarde avec étonnement. Comme un chien regarde la lune. Je lui hurle de se dépêcher. Il reprend son ascension. Nous sommes tous les deux au sommet, maintenant. Il faut faire vite. La panique s’est emparée de ceux qui sont encore à terre. Pour échapper aux coups des Marocains, ils montent en maltraitant ceux qu’ils dépassent. Chacun tente de sauver sa vie. Je fais passer la jambe morte de Boubakar au-dessus du grillage et nous descendons de l’autre côté. Les bras me tirent, je n’ai plus de force et me laisse tomber. Je chute. Je sens l’impact dur du sol. Les genoux qui me rentrent dans le ventre. Je suis fatigué mais je sens sous moi cette terre nouvelle et cela me donne une force de conquérant. Nous y sommes presque. Il ne reste plus qu’une grille à monter. Boubakar est à mes côtés. Je le sens 35 respirer comme un gibier après la course. Nous sommes tous les deux là. Je voudrais sourire car je me sens une force de titan. J’ai sauté sur l’Europe. J’ai enjambé des mers et sauté par- dessus des montagnes. Je voudrais embrasser Boubakar mais nous n’avons pas le temps. Il reste une grille à franchir. Il se relève en même temps que moi. A cet instant, le but nous semble proche. Nous ne nous doutons pas que le pire est à venir. Questions: 1. De « je cours » ligne 1 à « autour de moi »: que ressentent les migrants, dont Soleiman, avant l’assaut ? Justifiez en relevant deux exemples dans le texte. 2. Comment les gardes espagnols et marocains sont-ils perçus et décrits par Soleiman ? Relevez quelques exemples dans l’ensemble du texte. 3. La violence de l’assaut : a. Relevez trois expressions appartenant au champ lexical de la violence que subissent les migrants au cours de l’assaut. b. Cette violence n’est-elle que le fait des gardes ? Expliquez votre réponse. 4. De « Je suis fatigué mais... » à « ... des montagnes. » : a. Quel est l’état d’esprit de Soleiman à ce stade du récit ? b. Justifiez votre réponse en relevant deux procédés différents (figures de style) que vous nommerez. 5. En quoi cet événement transforme-t-il Soleiman en héros ? Plusieurs éléments de réponse sont attendus. Vous répondrez dans un paragraphe structuré, en vous appuyant sur des exemples tirés du texte.
Responda
leana1645
April 2021 | 0 Respostas
Svpppp pas du au pif Réécrivez l’extrait suivant en utilisant les temps du récit (imparfait / passé simple). Nous sommes maintenant coincés entre les Marocains et la grille. Il faut monter. Il n’y a plus d’autre solution. J’entends des coups de feu. Des corps tombent. C’est alors que je vois Boubakar, sur une échelle, à quelques mètres de moi. A mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bouge plus. Il est accroché aux barbelés et ne parvient pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commencent à hurler. Ils veulent l’agripper pour le faire tomber et qu’il cède la place. Je ne réfléchis pas. Je descends dans sa direction. En quelques secondes, je suis sur lui et arrache la manche de son pull. Il me regarde avec étonnement.
Responda
Recomendar perguntas
maceocoulon
November 2022 | 0 Respostas
je bloqué sur mon exercice quelqu'un pourrait m'aider svpNaïs a chaud et veut utiliser des moteurs munis d'une hélice comme ventilateurs. Puisque chaque moteur ne brasse que peu d'air, elle voudrait en associer plusieurs. Elle réalise en classe un circuit en série comprenant un générateur et des moteurs. a. Schématise
lblbllbl
November 2022 | 0 Respostas
Bonjour! peut on m’aider pr cet exercice svp? merci
naelysvannier311
November 2022 | 0 Respostas
Bjr pour de vous m’aider à mon capexo merci d’avance En voiture, Hélène met 15 minutes pour se rendre à son lieu de travail situé à 20 km de chez elle. a) Exprimer la durée de son trajet en heure. b) Calculer la vitesse moyenne d'Hélène en respectant la
PikaS0ra
October 2022 | 0 Respostas
Exercice 8: Reconnaître la nature d'une espèce chimique. a) Parmi les espèces chimiques suivantes, regrouper celles qui sont des molécules, celles qui sont des ions et celles qui sont des atomes. H₂O HCl He NO3- Cl- H+ Cu -Cu²+ NH3 N₂ Cl Cl₂ b) Parmi les espèces chimiques de la
andronight67
October 2022 | 0 Respostas
Bonjour pouvez m’aidez pour l’exercice 23 j’arrive pas à la question 2 et 3 Merci d’avance
kim036623
October 2022 | 0 Respostas
Trois éprouvettes graduées remplies de gaz sont retournées dans un cristallisoir rempli d'eau. Au fond de chaque éprouvette, on a placé un morceau de laine d'acier. → L'éprouvette A a été remplie de 100 ml de diazote pur.→ L'éprouvette B a été remplie de 100 ml de dioxygène pur. →
Tocam
October 2022 | 0 Respostas
Exercice 25 : Comprendre l'utilité de l'unité année-lumière. Timothée apprend que la lumière reçue cette nuit sur Terre en provenance de l'étoile Deneb a été émise lors du règne du roi des Burgondes nommé Sigismond, fils de Gondebaud. 1 Effectue une recherche afin de connaitre les dates clés du règne
leoniecch
October 2022 | 0 Respostas
Bobjour, pourriez vous m'aider pour le tableau
lillytrsn
October 2022 | 0 Respostas
Quelqu’un pourrait m’aider svp
charles5022
October 2022 | 0 Respostas
réaction incomplète de l’éthane
×
Report "Question Faire une carte mentale de ce qu’il faut retenir sur la combustion. Svp ❤️.... Pergunta de ideia de leana1645"
Your name
Email
Reason
-Select Reason-
Pornographic
Defamatory
Illegal/Unlawful
Spam
Other Terms Of Service Violation
File a copyright complaint
Description
Helpful Links
Sobre nós
Política de Privacidade
Termos e Condições
direito autoral
Contate-Nos
Helpful Social
Get monthly updates
Submit
Copyright © 2025 ELIBRARY.TIPS - All rights reserved.