bonjour excusez moi de vous dérange je veux une situation finale pour ce texte
Il était une fois un roi jeune, beau et puissant qui gouvernait un royaume immense et prospère.st Aveuglé par la haute autorité qu'il avait sur ses N nombreux sujets, il se laissait parfois aller dans des actes d'injustice qu'il regrettait aussitôt après les avoir commis. Un jour, il fit sévèrement fouet- ter un innocent et en eut beaucoup de remords. Un matin, alors qu'il se promenait à cheval à la campagne, il vit se dresser devant lui un vieillard à la barbe blanche et à la stature imposante et majestueuse. Après l'avoir bien observé, le patriarche lui dit d'une voix calme et froide : - O roi ! tu t'es rendu coupable d'une faute grave que tu devras expier. Tu es condamné à connaître sept années de souffrance, de privation et de misère. Je te laisse cependant le choix : désires-tu les vivre maintenant que tu es jeune ou plus tard quand tu deviendras vieux ? Je préfère subir maintenant le châtiment que je mérite, répondit spontanément le monarque. Puis le vénérable vieillard s'évanouit dans une atmosphère vaporeuse tandis que le souverain qui semblait sortir d'un rêve reprenait, au pas de sa monture, le chemin du palais. - - Tahar Oussedik, « L'Hydre à sept têtes », Contes populaires 3/ Relevez
La famine s'abattit sur son royaume, ses sujets eurent faim mais lui aussi. Il devint malade et perdit une bonne partie de ses chevaux. les courtisans le délaissèrent et cela dura sept longues années. Le vieillard vint frapper à sa porte et demanda audience ; le roi le reçut mais paraissait très affaibli. Il ne reconnut pas le vieillard qui lui demanda l'aumône pour l'éprouver. Le roi n'avait plus rien, il prit son manteau et le donna au vieillard qui prit la parole : "Sire, vous êtes devenu bon. Tous vos biens vous seront rendus. Votre santé sera restaurée mais n'oubliez pas la leçon."
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La famine s'abattit sur son royaume, ses sujets eurent faim mais lui aussi. Il devint malade et perdit une bonne partie de ses chevaux. les courtisans le délaissèrent et cela dura sept longues années. Le vieillard vint frapper à sa porte et demanda audience ; le roi le reçut mais paraissait très affaibli. Il ne reconnut pas le vieillard qui lui demanda l'aumône pour l'éprouver. Le roi n'avait plus rien, il prit son manteau et le donna au vieillard qui prit la parole : "Sire, vous êtes devenu bon. Tous vos biens vous seront rendus. Votre santé sera restaurée mais n'oubliez pas la leçon."