La figure de style employée ici est une métaphore. Le château est comparé à un "spectre", un fantôme : "ruines"", "grand spectre", "l'air d'un squelette"
On observe le champ lexical de la mort : "sinistres", "abandonné", "grises", "noirs", "sombre","carcasse vide et sombre", "squelette", "oiseaux de proie", "funèbre" et "terreur".
Le lecteur est terrifié par cette description : on a l'impression d'être dans un château hanté : " en entendant crier les gonds rouillés", 'ruiné", "le château semblait abandonné", "la bise sifflait".. Cette description fait ressortir l'humeur "légère" de Mademoiselle de Verneuil qui avait des pensées "d'amour et de coquetterie" et qui n'est pas en harmonie avec le décor. On se demande ce qu'elle fait là!
Lista de comentários
Réponse :
bonjour,
Explications :
La figure de style employée ici est une métaphore. Le château est comparé à un "spectre", un fantôme : "ruines"", "grand spectre", "l'air d'un squelette"
On observe le champ lexical de la mort : "sinistres", "abandonné", "grises", "noirs", "sombre","carcasse vide et sombre", "squelette", "oiseaux de proie", "funèbre" et "terreur".
Le lecteur est terrifié par cette description : on a l'impression d'être dans un château hanté : " en entendant crier les gonds rouillés", 'ruiné", "le château semblait abandonné", "la bise sifflait".. Cette description fait ressortir l'humeur "légère" de Mademoiselle de Verneuil qui avait des pensées "d'amour et de coquetterie" et qui n'est pas en harmonie avec le décor. On se demande ce qu'elle fait là!