SVP , vraiment je vous en supplie , merci a la personne qui m'aidera !!
Si vous voulez le texte de Albert Camus le Voici :
« La pluie de New York est une pluie d’exil. Abondante, visqueuse et compacte, elle coule inlassablement entre les hauts cubes de ciment, sur les avenues soudain assombries comme des fonds de puits. Réfugié dans un taxi, arrêté aux feux rouges, relancé aux feux verts, on se sent tout à coup pris au piège, derrière les essuie-glaces monotones et rapides, qui balaient une eau sans cesse renaissante. On s’assure qu’on pourrait ainsi rouler pendant des heures, sans jamais se délivrer de ces prisons carrées, de ces citernes où l’on patauge, sans l’espoir d’une colline ou d’un arbre vrai. Dans la brume grise, les gratte-ciel devenus blanchâtres se dressent comme les gigantesques sépulcres d’une ville de morts, et semblent vaciller un peu sur leurs bases. Ce sont alors les heures de l’abandon. Huit millions d’hommes, l’odeur de fer et de ciment, la folie des constructeurs, et cependant l’extrême pointe de la solitude. « Quand même je serrerais contre moi tous les êtres du monde, je ne serais défendu contre rien. »
C’est peut-être que New York n’est plus rien sans son ciel. Tendu aux quatre coins de l’horizon, nu et démesuré, il donne à la ville sa gloire matinale et la grandeur de ses soirs, à l’heure où un couchant enflammé s’abat sur la VIIIème Avenue et sur le peuple immense qui roule entre ses devantures, illuminées bien avant la nuit. Il y a aussi certains crépuscules sur le Riverside, quand on regarde l’autostrade qui remonte la ville, en contrebas, le long de l’Hudson, devant les eaux rougies par le couchant ; et la file ininterrompue des autos au roulement doux et bien huilé laisse soudain monter un chant alterné qui rappelle le bruit des vagues. je pense à d’autres soirs enfin, doux et rapides à vous serrer le cœur, qui empourprent les vastes pelouses de Central Park à hauteur de Harlem. Des nuées de négrillons s’y renvoient une balle avec une batte de bois, au milieu de cris joyeux, pendant que de vieux Américains, en chemise à carreaux, affalés sur des bancs, sucent avec un reste d’énergie des glaces moulées dans du carton pasteurisé, des écureuils à leurs pieds fouissant la terre à la recherche de friandises inconnues. Dans les arbres du parc, un jazz d’oiseaux salue l’apparition de la première étoile au-dessus de l’Impérial State et des créatures aux longues jambes arpentent les chemins d’herbe dans l’encadrement des grands buildings, offrant au ciel un moment détendu leur visage splendide et leur regard sans amour. Mais que ce ciel se ternisse, ou que le jour s’éteigne, et New York redevient la grande ville, prison le jour, bûcher la nuit. Prodigieux bûcher en effet, à minuit, avec ses millions de fenêtres éclairées au milieu d’immenses pans de murs noircis qui portent ce fourmillement de lumières à mi-hauteur du ciel comme si tous les soirs sur Manhattan, l’île aux trois rivières, un gigantesque incendie s’achevait qui dresserait sur tous les horizons d’immenses carcasses enfumées, farcies encore par des points de combustion. »
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Réponse :
Explications :
bonjour voici les réponses
2) chauves signifie a la ligne 11 que les rues et trottoirs de new york sont tellement pleines , pour le poète il manque au paysage plusieurs parcs ou milieux natuels pour respirer mieux .
3) la fièvre vous saisit en bond de jaguar veut dire que tellement il y'a de voitures qui circulent , , aucun pâturages que des grands immeubles , sa dérange le poète car il y'a beaucoup de pollution ce qui et difficile pour respirer et les rues de new york sont tellement pleines qu'ont peut finir par si perdre .
4) a mon avis il parle des rues de new york qui sont pleines car il dit les têtes foudroient le ciel donc sa parle de plusieurs personnes et , les fûts livides veut dires qu'ils voyez des visage au teint extrêmement pâle et terne, je crois que la figures de styles et une métaphore.
donc a mon avis il parle des rues pleines de new york .
5) ?
6) bilan:
pour le poète la ville de new york et pleines il y'a tellement de voitures qu'on ne peux difficilement respirer , il y'a aucun pâturages, que des immeubles aucun égout même les oiseux meurt sur les terrasses .
pour moi il veut dire que Manhattan et une ville dangereuse.
a) La personnification est une figure de style qui consiste à attribuer des propriétés humaines, à un animal ou à une chose inanimée (objet concret ou abstraction) que l'on fait vouloir, parler, agir, à qui l'on s'adresse.
b) ?
B/ un poème en musique
1- ?
2- je pense que avec lire ce poème avec un morceau de jazz dans les oreilles sa marie bien le texte au morceau .
Voila les réponses j'espère t'avoir aider bonne journée a toi